L'Homme que j'aime

ramène à soi. Il appelle à se laisser toucher et émouvoir par l’autre en tant qu’autre comme un bien en lui-même. Ce qui commande mon agir, c’est le bien objectif de la personne et cet agir rend présent en moi le bonheur. Ce que j’aime c’est toi, ta personne avant tout et j’aime aussi ce que je reçois de toi. L’amour spirituel s’accomplit s’il est reçu par un autre et devient réciproque.Le thème de l’amitié est particulièrement bien traité chez Aristote. Pour Aristote, l’amitié est à distinguer de la

relation [analogique], tels que le second englobe le premier, et, par suite, est une métacommunication (Watzlawick, P., Helmick Beavin, J. & Jackson, Don D., 1972, Une logique de la communication, trad.de l’américain par J. Morche, Paris, Seuil, p. 52). L’homme est le seul organisme capable d’utiliser ces deux modes de communication : digital et analogique. La communication analogique, c’est « pratiquement toute communication non verbale ». Son sens ne doit pas être restreint aux seuls mouvements corporels

intégré tout ça mais je suis aussi certain que d’autres sont à côté de la plaque. J’ai eu plusieurs fois l’occasion d’entendre les théories de potes du genre « Faire l’Amour, pour moi c’est quelque chose de sublime que je partage avec la fille que j’aime, l’osmose, etc. » Je vois le truc d’ici : un petit AFC à peu près aussi énergique qu’une méduse endormie, qui bouge mollement entre les cuisses de sa copine en poussant des petits gémissements plaintifs à la James Blunt : « Je t’aime ! C’est génial

moins des illusions, ils prennent leur désir pour la réalité. Dans une perspective athée, Freud (athéisme radical) : la religion est une illusion par excellence. Elle répond aux désirs fondamentaux de l'Homme : l'envie d'être sauvé, de répondre à toutes les incertitudes du hasard et donne à l'Homme ce qu'aucun objet temporel et observable ne peut donner. -Celui qui est athée voit derrière la position qu'est la croyance le désir d'être satisfait, le désir de sortir de ce temps que tout emporte

La Liberté par la poésie Sommaire -Préface p1-2 16eme siècle -tableau «  liberté » d’Alain Gaudin p3 -poème « J'aime la liberté, et languis en service » de Joachim Du Bellay p4 -tableau « Vue de la cellule du baron de Besenval à la prison du hâtelet » de Hubert Robert p5 -poème « Douce Liberté désirée » de Philippe Desportes p6 19eme siècle -peinture « liberté » artiste inconnu p7 -poème « liberté ! » de Victor Hugo p8

l'infidélité maintenant je souhaite oublié tout sa et avancé vais le bonheur avec une femme bonne et fidèle Quand a moi je suis très gentil sérieux, Intelligent, bien éduquer compréhensif, courageux etc MON PROFIL ET AUSSI POUR LA FEMME QUE JE VOUDRAIS AVOIR J'aime les restos , shopping , cinéma , Internet , concert , piscine, cuisine, plage , discothèque , balades entre couple , et pleines d'autres choses,aimer c'est se comprendre sans se parler aimer c'est apprendre à se respecter Je ne fume pas et je ne consomme

faut pas se laisser berner par l’auteur en effet même si il semble proposer un tableau parfait de l’Age d’or, Voltaire désacralise l’Age d’or. Voltaire refuse de mêler a ce qui ont recycler le mythe de l’Age d’or dans des conceptions nouvelle de l’homme que l’on retrouve au 18eme siècle sous la plume par exemple de Rousseau. On le remarque au vers 1 avec la formule « regrettera qui veut » qui souligne que Voltaire prend ses distances par rapport à la description qui suit. Les reproches que Voltaire

« L’araignée qui sourit » de Redon et « J’aime l’araignée et l’ortie » de Victor Hugo sont deux œuvres qui abordent la laideur, l’horreur, chacune de façon différente, l’une sous forme de peinture et l’autre dans la poésie.   Tout droit sortie d’un monde fantastique, une araignée aux dimensions gigantesques, pourvues d’yeux et d’un sourire humain, semble s’engager dans une danse macabre : tel est le sujet choisit par Redon pour cette peinture de 1881.Redon ose s’aventurer dans la monstruosité,

La poésie du XVIe siècle: L'humanisme (1530-1600): L’humanisme est une attitude philosophique qui met l’Homme et les valeurs humaines au cœur de ses questionnements. Redécouvrant les grands textes de l'Antiquité, le mouvement humaniste affirme sa foi dans les capacités de connaissance que possède l'être humain. Les principes de cette époque sont fondés sur la confiance de l'homme et sur l'esprit européen. L'humanisme insiste sur les « trois P » : pédagogie, philosophie et philologie, et

la limite du familier à certains passages, ce qui est original et sort du commun et par conséquent attise notre curiosité. Elle a l'art de se mettre complètement dans la peau de son personnage et de nous donner envie de lire la suite. Ensuite j'aime beaucoup cette histoire parce qu'elle est amusante et que l'on peut facilement s'identifier au personnage (bien que le fait qu'un homme inconnu invite brusquement une jeune femme à dîner n'arrive pas tous les jours..!) grâces à ses pensées qu'elle