L'Homme qui tua Liberty Valance

chroniques sociales. " Je suis un paysan qui fait des films de paysan ", disait-il. Et c'est vrai que peu de cinéastes ont accordé autant d'importance à la terre, au pays qui vous a vu naître et dont vous êtes chassé, aux rapports charnels qui unissent l'homme et le sol qu'il cultive et auquel il s'accroche. C'est le chantre de ce temps solide où la femme aime son mari, où la famille s'abrite sous une maison, vit sur une terre, aime cette terre " tout ce bonheur qui va se trouver bouleversé, écorché à même

Etats-Unis L’Homme qui tua Liberty Valance Le western est un genre de film apparu pratiquement lors de la naissance du cinéma, en 1895, qui traite de la conquête de l’ouest américain au XIX siècle. Dans tout western, il y a toujours des aspects qui reviennent : le bon, le méchant, le Far West, le saloon, les cow-boys, le sheriff, le chemin de fer … Les trois thèmes principaux sont : la conquête de l’Ouest, les guerres indiennes et la guerre de Sécession. Ici, le film L’homme qui tua Liberty Valance

processus d'appropriation d'un territoire gigantesque de l’ouest américain par la force. Donc, c’est un genre cinématographique typiquement américain. Au moyen d’une analyse du film Stagecoach de John Ford de 1939 et du film The man who shot Liberty Valance de John Ford de 1962, à travers quels éléments peut-on observer une évolution stylistique entre ces films? Ceci va se produire à travers la comparaison des caractéristiques de la période classique western et de la période moderne western.

du pouvoir de faire quelque chose DOC 2 : B. Chantebout- « Droit constitutionnel et science politique » L’Etat cherche à se faire accepter par le corps social  légitimité Doc 3 : Extraits du manuel de 1ere ES L’homme qui tua Liberty Valance Ransom Soddard tue liberty valance Pourvoir et légitimité Les ressources du pouvoir ne se limitent pas au seul exercice de la force Ressource antithétique de la force  la légitimité WEBER : pas de domination durable sans une légitimité minimale

la fureur de leur désir et s’anéantissent. Mais, Dempsey Rae (interprété par Kirk Douglas), le héros de L’homme qui n’a pas d’étoile (1954), appartient à une autre race : idéaliste convaincu, il paraît avoir tiré les leçons de la démesure et de la souffrance, et s’engage dans une odyssée sans fin. Pourtant, son individualisme se heurte à des dangers qu’il ne peut éviter bien longtemps. L’homme qui n’a pas d’étoile semble renouer avec l’Epopée, forme que le western des années « 50 » n’a cessé de remettre

des indiens et l'exploitation des pionniers pauvres (Johnny Guitar, La flèche brisée, un homme nommé cheval). Le western se fait ensuite réflexion globale sur la violence constitutive de l'Amérique à l'aune de la guerre de Corée puis du Vietnam (L'homme de l'ouest, Il était une fois dans l'ouest, Les portes du paradis), avant que n'émerge la question de l'autre aux Etats-Unis, de l'altérité des noirs et des Indiens (Danse avec les loups, Impitoyable). L'évolution du western se lit à travers celle

spaghettis par exemple. Quelques grands westerns : * Le bon, la brute et le truand est un western spaghetti réalisé par Sergio Leone en 1966. * Il était une fois dans l’ouest est un film de Sergio Leone sorti en 1968. * L’homme qui tua Liberty Valance est un film américain en noir et blanc de John Ford, sorti en 1962. C'est un western de deux heures qui est fondé sur le roman de Dorothy M. Johnson. Quelques lieux de tournage de ces films : * Le lieu le plus symbolique du western

« Il était une fois dans l’ouest » Après la trilogie des dollars, les aventures de l’homme sans nom , Sergio Leone entame en 1969 une nouvelle trilogie : Il était une fois la révolution , il était une fois en Amérique et ce que nous intéresse aujourd’hui « il était une fois dans l’ouest » , ces films sont souvent réalistes et mélancoliques avec « il était une fois dans l’ouest » Sergio Leone réalise son western le plus symbolique et à vocation la moins divertissante. Dans ce film Sergio Leone

542 | 200. | 8.0 | Slumdog Millionaire (2008) | 392,224 | 201. | 8.0 | Autopsie d'un meurtre (1959) | 29,403 | 202. | 8.0 | Un crime dans la tête (1962) | 49,913 | 203. | 8.0 | L'odyssée de Pi (2012) | 207,621 | 204. | 8.0 | L'homme qui tua Liberty Valance (1962) | 36,635 | 205. | 8.0 | L'exorciste (1973) | 196,531 | 206. | 8.0 | La horde sauvage (1969) | 47,501 | 207. | 8.0 | La corde (1948) | 60,322 | 208. | 8.0 | Barry Lyndon (1975) | 64,435 | 209. | 8.0 | Le Hobbit: Un voyage

(1961) L’éclipse (1962) Le désert rouge (1964) Blow-up (1967) Profession : reporter (1975) Identification d’une femme (1982) « Presque tous les films d’Antonioni sont à voir » Jack ARNOLD : Richard ATTENBOROUGH : L’étrange créature du lac noir (1954) L’homme qui rétrécit (1957) Ah ! Dieu que la guerre est jolie ! (1969) Gandhi (1982) Chaplin (1993) Faut pas prendre les enfants du bon dieur pour des canards sauvages (1968) Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais elle cause (1970) Le diable