L Homme Qui Vivait Sous Terre

semblaient s'endormir sous l'accumulation de cette mousse épaisse et légère.    Aucun bruit ne traversait plus la campagne immobile. Seuls les corbeaux, par bandes, décrivaient de longs festons dans le ciel, cherchant leur vie inutilement, s'abattant tous ensemble sur les champs livides et piquant la neige de leurs grands becs.    On n'entendait rien que le glissement vague et continu de cette poussière tombant toujours.    Cela dura huit jours pleins, puis l'avalanche s'arrêta. La terre avait sur le dos

importante cités de la Grèce antique, elle abritait autrefois un célèbre temple d’Aphrodite. Prés de lui vivait le fils de Chioné, Autolycos, qui se disait fils d’Hermès. Il était passé maître dans l'art de voler. Hermès lui avait donné le pouvoir de métamorphoser toutes les bêtes qu'il volait. Autolycos vola des animaux a Sisyphe qui s’en rendu compte. Sisyphe fut rusé et décida de marquer ses bêtes sous le sabot. La nuit même, Autolycos, comme à son habitude, le vola. Le lendemain, Sisyphe inspecta l’étable

LES GRANDES ENIGMES NON RESOLUES Le yeti (L’abominable homme des neiges) : DIAPO 1 : Le yeti serait une créature hybride (mi-homme, mi-animal). Il serait observé dans les forets de l’Himalaya. C’est une Figure traditionnelle tibétaine popularisée sous le nom “d’abominable homme des neiges. DIAPO 2 : Il apparaît dans des œuvres littéraires et bande déssiné comme l’album Tintin au Tibet d'Hergé, comme un singe géant au cœur sensible (montrer la photo). En 1974, une jeune népalaise est attaquée

Douleurs dans ton coeur plein d'effroi Se planteront bientôt comme dans une cible; Le Plaisir vaporeux fuira vers l'horizon Ainsi qu'une sylphide au fond de la coulisse; Chaque instant te dévore un morceau du délice A chaque homme accordé pour toute sa saison. Trois mille six cents fois par heure, la Seconde Chuchote: Souviens-toi! - Rapide, avec sa voix D'insecte, Maintenant dit: Je suis Autrefois, Et j'ai pompé ta vie avec ma trompe immonde! Remember

froid, le vent, le silence. Jusqu’à ce son très faible. A plus de 900 mètres sous la glace, quelque chose appelle. Les sondeurs révèlent la présence de ruines à une profondeur de 900 mètres qui auraient 900000 ans. Au milieu des ruines, il y a un émetteur d’ultra-sons qui émet un signal. Tous trouvent que c’est de la folie. Mais après avoir accepté l’évidence, dans l’euphorie générale une expédition vers le centre de la Terre se met en place par les puissances du monde qui vont aider la France pour

suivîmes jusqu'à l'hôtellerie où ces voitures descendent. Nous n'avions pas d'autre motif que la curiosité. Il en sortit quelques femmes, qui se retirèrent aussitôt. Mais il en resta une, fort jeune, qui s'arrêta seule dans la cour, pendant qu'un homme d'un âge avancé, qui paraissait lui servir de conducteur, s'empressait pour faire tirer son équipage des paniers. Elle me parut si charmante que moi, qui n'avais jamais pensé à la différence des sexes, ni regardé une fille avec un peu d'attention

hanté par la pensée du Mal. D'une beauté sublime, l'enfant s'est engagé sur le chemin d'une existence à succès. Son père mourut quand il n'avait que 4 ans. À 9 ans, il fut gravement blessé au pied et il boita. Soudain, l'adolescent disparaît. Il se terre douze années de suite dans le giron maternel. Ces années solitaires lui firent découvrir en lui une à une -il les exorcisa avec sa plume- ces dispositions du « caractère » humain qu'un esprit solitaire peut connaître : l'esthète stérile, le spéculateur

la société en général. Il est enfermé et isolé dans sa chambre car les membres de sa famille ne supportent pas sa vue. La nouvelle s'achève par la mort du personnage, avec cet épitaphe : « Venez donc voir, il est crevé, il est là, il est couché par terre, il est crevé comme un rat » Pourquoi métamorphoser ? Si la métamorphose est un sujet traditionnel, Kafka ne lui donne t-il pas également un aspect original et unique. Faut-il noter également, en tant que caractéristique récurrente de l'auteur, le

Un dénommé Dutilleul découvre qu'il a le pouvoir de passer à travers les murs. A la base, il est pourtant un homme « normal », avec sa barbiche noire et son poste d' « employé de troisième classe au ministère de l'Enregistrement ». Plutôt que de prendre le traitement que lui a prescrit son médecin, Dutilleul a tendance à abuser de son pouvoir et il en profite pour rendre fou un sous-chef tyrannique et abusif de bureau. Puis il devient Garou-Garou, un gentleman cambrioleur qui ne craint pas de

l’auteur. Evidemment, au hasard des histoires, il n’était pas question de proposer des rôles à des personnages quelconques. Tous les acteurs sont excessifs. Exagérés ? À peine. Plutôt, bien cernés : certains reviennent hanter plusieurs romans successifs sous des avatars divers. On a là un déballage de sentiments à épisodes où le docteur nous dit tout. Les pulsions, les phantasmes et les cris de coeur ne font pas toujours dans la dentelle, mais ils sont terriblement humains. Jacqueline HARPMAN - 5