L Homme Seul Peut Bien Penser

connaissons mieux que personne. Ensuite, il ne faut pas négliger la possibilité que nous ne serrions pas seuls à nous connaitre vraiment, qu’il peut y avoir d’autres places en dehors de nous-mêmes : celles tenues par autrui. Les autres en tant que conscience ne pourraient-ils pas, eux aussi, avoir accès à ce que nous sommes et donc nous connaitre aussi bien si ce n’est mieux que nous ? Mais entre notre point de vue sur nous-mêmes et celui d’autrui, lequel est le meilleur ? Pour répondre à ces questions

Décembre 2007 La Séance du mois de Peter Weir (1999) > Philosophie Introduction The Truman show > Terminales Ce film de Peter Weir (1999), fable sur un homme dont la vie est un gigantesque show télévisé, est l’occasion d’une réflexion sur plusieurs thèmes philosophiques : la vérité, l’existence, la liberté, le bonheur. Cette séquence pourra s’appuyer sur le visionnage de tout ou partie du film. Dans le cadre de la réflexion philosophique, quelques extraits nous paraissent particulièrement

pouvoir d’agir seul, sans engagements et indépendamment alors peut-on dire qu’être cultivé nous permet d’agir selon notre plein gré, de nous sentir libre ? • On distingue l’homme de l’animal de part leur nature. En effet, si l’on considère que l’animal a une nature de telle sorte que les caractéristiques qui permettent de le définir, celui-ci les acquiert seul, sans avoir besoin d’une éducation tandis que l’homme n’a pas de nature au sens de nature dans laquelle on peut dire que l’animal

à une pensée différente. La conscience est aussi bien le moyen d'éprouver que je ne demeure pas absolument le même. Autrement dit, il y a une altérité au cœur même du sujet: "Je est un autre" (Rimbaud). Cette altérité, cette altération n'est-elle pas de nature à compromettre la connaissance que je peux avoir de moi-même? Que signifie "moi-même"? Est-on jamais soi-même? Cela supposerait une coïncidence à soi qui n'est peut-être jamais donnée. Du seul fait que j'ai conscience de moi-même, est-ce que

Incipit de Bel-Ami, Guy de Maupassant. Le texte étudié provient de l’œuvre Bel-Ami écrit par Guy de Maupassant et publié en 1885, il faut savoir que c’est un écrivain issu du courant naturaliste. Nous nous demanderons en quoi cet incipit peut nous faire prendre conscience de l’enjeu du roman. Pour ce fait nous verrons dans un premier plan l’annonce de l’univers du roman à travers l’incipit, Dans un second plan le portrait symbolique d’un personnage omniprésent et dans un troisième plan l’annonce

caractéristiques, elle n’en a pas. Déjà Hegel, je crois, la présentait ainsi, bien qu’il la concevait différemment: La liberté est la raison. La raison La raison est la facultéde penser. Cette faculté est un pouvoir naturel, inné. Ce pouvoir est la liberté. Il s’agit bien davantage que la liberté d’exprimer sa pensée: c'est laliberté ou le pouvoir de penser. Reconnaître ce pouvoir, c’est en prendre conscience. Grâce à la liberté de penser on peut concevoir les autres libertés. Toutefois, il y a une certaine réciprocité

explique dans cette seconde partie du Discours sur l'origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes que le travail est une servitude imposée par le progrès technique. En effet, il défend l'idée que les hommes étaient libres, heureux et sains bien avant que le progrès technique interpelle et crée des inégalités entre les hommes. Il défend à travers ce texte sa thèse, c'est à dire le fait que la civilisation est la source de la corruption des hommes. Nous analyserons donc dans le premier temps

En premier lieu, l’histoire de la demoiselle d’honneur vient nous frapper par l’amour éprouvé entre les personnages, qui à la fois si puissant, peut surpasser les erreurs d’infidélités faites l’un envers l’autre. Dans cette nouvelle, nous sommes la journée de mariage d’un jeune couple. La narratrice est la sœur cadette de la mariée. Elle nous raconte que sa sœur tout au long de sa vie, avant son mariage, n’agissait que sur des coups de têtes. Pour la première fois celle-ci ne revenait pas sur

1° Autour du texte. La couverture : Sur la couverture de ce livre on voit 5 personnes qui marchent dans un lieu public, on distingue 2 horloges et un lampadaire donc ce lieu est extérieur et fait donc penser à une gare. La lecture d’une des nouvelles confirme que cette scène se déroule bien dans une gare car le personnage prononce le titre «  Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part » Lorsqu’il descend de son train. Le titre et sa fonction : Le titre est significatif : Il nous révèle

trouvera des sous-rubriques correspondant également aux notions des programmes ; près de la moitié des sujets se réfèrent en effet à deux, voire trois notions. Par exemple, dans la rubrique sur le bonheur, la sous-rubrique sur autrui comporte le sujet : « Peut-on faire le bonheur d’autrui ? ». C’est de cette manière qu’on pourra trouver les sujets se rapportant aux notions couplées dans les programmes. Par exemple, si l’on cherche des sujets sur la matière et l’esprit, on les trouvera dans la sous-rubrique