L Hypocrisie Dans Le Misanthrope De Moliere

mis(o) mném(o) mon(o) morph(o) my(o) discours, logopède, science, savant astrologue grand macrocosme, mégalithe, mégalomane malacologie cartomancie kleptomane, pyromanie mélopée mésosphère métaphysique, métamorphose métronome, mètre microbe misanthrope mnémotechnique monologue morphologie myopathie mou divination passionné, fou obsession chant milieu après, changement mesure petit haine mémoire seul forme muscle holo homéo hom(o) hor(o) hydr(o) hygro hyper hypn(o) 15 Cours Vocabulaire

manifeste que ce dernier fut longtemps oublié de l’Histoire. Dans la littérature médiévale aristocratique et bourgeoise, le vilain est l’antihéros, porteur de toutes les bassesses dont témoigne son aspect physique et moral. Puis vint le pâtre matois de Molière ou le berger d’idylle au XVIIIe siècle. En somme, le paysan ne figure guère, en somme, dans la conscience historique, artistique ou littéraire, si ce n’est sous forme de fiction. Il faut les années 1840 pour voir la « découverte » et la réhabilitation

d’entre elles seraient peut-être ce que nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n’a manqué à Térence que d’être moins froid : quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères ! Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon et le barbarisme, et d’écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux

d’entre elles seraient peut-être ce que nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n’a manqué à Térence que d’être moins froid : quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères ! Il n’a manqué à Molière que d’éviter le jargon et le barbarisme, et d’écrire purement : quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces

d'entre elles seraient peut-être ce que nous avons dans notre langue de mieux écrit. 38 (IV) Il n'a manqué à Térence que d'être moins froid: quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères! Il n'a manqué à Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement: quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des moeurs, quelles images, et quel fléau du ridicule! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux

...........................................................................................232 LIVRE SIXIIÈME. ASPECTS VARIÉS D'URSUS........................................................................................263 I. CE QUE DIT LE MISANTHROPE.................................................................................................263 II. CE QU'IL FAIT..............................................................................................................................

...........................................................................................232 LIVRE SIXIIÈME. ASPECTS VARIÉS D'URSUS........................................................................................263 I. CE QUE DIT LE MISANTHROPE.................................................................................................263 II. CE QU'IL FAIT..............................................................................................................................

2 Jean-Louis Guez de Balzac (1597?—1654) Les entretiens, Le Prince, Socrate chrétien.] 38 (IV) Il n'a manqué à Térence que d'être moins froid: quelle pureté, quelle exactitude, quelle politesse, quelle élégance, quels caractères! Il n'a manqué à Molière que d'éviter le jargon et le barbarisme, et d'écrire purement: quel feu, quelle naïveté, quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des moeurs, quelles images, et quel fléau du ridicule! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux

parents en improvisant un petit bal. Les plus beaux hommes de la France échangeaient en ce temps−là des coups de sabre avec les plus beaux hommes de la coalition ; la laideur de Pons s'appela donc originalité, d'après la grande loi promulguée par Molière dans le fameux couplet d'Eliante. Quand il avait rendu quelque service à quelque belle dame, il s'entendit appeler quelquefois un homme charmant, mais son bonheur n'alla jamais plus loin que cette parole. Pendant cette période, qui dura six ans environ

– Surtout ne dégénère pas on homme, lui disait son ami. Le loup ne mordait jamais, l’homme quelquefois. Du moins, mordre était la prétention d’Ursus. Ursus était un misanthrope, et, pour souligner sa misanthropie, il s’était fait bateleur. Pour vivre aussi, car l’estomac impose ses conditions. De plus ce bateleur misanthrope, soit pour se compliquer, soit pour se compléter, était médecin. Médecin c’est peu, Ursus était ventriloque. On le voyait parler sans que sa bouche remuât. Il copiait