L Hypothèse D Un Inconscient Psychique Est Elle Contradictoire

tout, nous sommes bien capables de faire des choix et même si un tel inconscient existe, dès lors qu’on le reconnait, on peut être libre juger de ce que l’on pense et veut faire.C. La notion d’inconscient conduit-elle réellement à une remise en cause de notre liberté ?………………………………………….PB : quel est le bon problème ? A - si un tel inconscient existe, faut-il alors renoncer à faire de nous des sujets libres ? B - si un tel inconscient existe, alors doit-il être compris comme ce qui nie notre liberté

« L'inconscient est une méprise sur le Moi, c'est une idolâtrie du corps. » Alain, Éléments de philosophie. INCONSCIENT Le terme d'inconscient peut renvoyer à deux acceptions différentes. On peut en effet définir l'inconscient négativement, comme ce qui n'est pas conscient, comme le non-conscient. Mais on peut aussi définir l'inconscient positivement, comme une réalité psychique possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres. Dans ce cas, l'inconscient renvoie à la découverte

l’hypothèse de l’existence de processus inconscients. Remplace l’hypnose par « l’association libre » dire toutes les pensées qui viennent à l’esprit, sans tri, sans jugement, ni discrimination  L’association libre = règle fondamentale de la cure psychanalytique I. Théorie Psychanalytique = Métapsychologie Métapsychologie de Freud = ensemble de théories psychologiques et psychopathologiques. Ensemble de modèles pour rendre compte du fonctionnement psychique. 3 points de vue (liés et fonctionne

contraire selon la théorie de Freud, nous devons bien admettre qu’une majeure partie de nos actes, de nos pensées et de nos désirs échappe à notre conscience effective. C’est donc devoir renoncer à la toute puissance du sujet. - Non conscient et inconscient : Antérieurement, la philosophie avait déjà ébauché des manifestations de non conscient dans la perception du sujet. - Leibniz, par exemple lorsqu’il décrit l’expérience familière de la contemplation des vagues déferlant sur la plage ;

qu’il a compris cela, le phénomène a disparu. Il éprouvait une réminiscence. - si pensée consciente : pas de pensée inconsciente. B – Différence partielle : Leibniz - l’âme pense toujours. Pas d’intermittence de la conscience. Pour comprendre le passage du sommeil à la vie éveillée : 2 types de pensées : - petites perceptions : on ne les aperçoit pas, pensées inconscientes. - aperceptions On entend tout mais on n’aperçoit pas tout. Dans réveil : effets de seuil. Des pensées dont on a

m'illusionner sur mes propres défauts et qualités, ou me faire croire qu'un événement que je redoute n'arrivera pas. D'où le problème : chacun peut, semble t-il, s'illusionner sur lui même ou faire preuve de mauvaise foi et cependant la chose est contradictoire, voire impensable. Comment peut-on en effet être victime d'une manipulation dont on est soi même l'auteur, comment ne pas être conscient d'une vérité qu'en même temps qu'on l'a connaît ? La conscience, en un mot, ne me rend-elle pas entièrement

contraire selon la théorie de Freud, nous devons bien admettre qu’une majeure partie de nos actes, de nos pensées et de nos désirs échappe à notre conscience effective. C’est donc devoir renoncer à la toute puissance du sujet. Non conscient et inconscient : Antérieurement, la philosophie avait déjà ébauché des manifestations de non conscient dans la perception du sujet. Leibniz, par exemple lorsqu’il décrit l’expérience familière de la contemplation des vagues déferlant sur la plage ; évoque

sens, un mensonge intérieur, dans lequel, se cachant ce que par ailleurs on sait, on se traite soi même comme un autre. Comme tel, il suppose que l'on puisse être à la foi soi même et autre que soi, une sorte de double personnalité, ce qui est contradictoire. C'est ce que remarque Kant, au paragraphe 9 de La Doctrine de la vertu : « Il est facile d'en expliquer la réalité de nombreux mensonges intérieurs (...), il est difficile d'en expliquer la possibilité, parce qu'une seconde personne est requise

large qui est une théorie du psychisme. Le mot hystérie est dérivé du mot grec hystéra qui signifie matrice et l’utérus. On sait aujourd’hui que ça n’est pas réservé aux femmes. L’originalité de l’hystérie se résigne dans le faite que les conflits psychiques s’expliquent de manière théâtrale ce qui fait que les médecins on eut tendances à en pas le prendre au sérieux. Freud va considérer ce côté théâtrale comme un symptôme. La particularité de l’hystérie au XIXe siècle, apparaissent des symptômes corporelles

mensonge à soi, en ce sens, un mensonge intérieur, dans lequel, se cachant ce que par ailleurs on sait, on se traite soi même comme un autre. Comme tel, il suppose que l'on puisse être à la foi soi même et autre que soi, ce qui est, semble-t-il, contradictoire. C'est ce que remarque Kant, au paragraphe 9 de La Doctrine de la vertu : « Il est facile d'en expliquer la réalité de nombreux mensonges intérieurs (...), il est difficile d'en expliquer la possibilité, parce qu'une seconde personne est requise