L Hégémonie Européenne

Contradiction interne au système. 2. Triangle d’incompatibilité de Mundell Flemming : on ne peut pas avoir taux de changes fixes, liberté de mouvement de capitaux et politique monétaire indépendante 3. Système asymétrique fondé sur hégémonie du dollar : problème de la Nième monnaie. Rueff : les USA bénéficient d’un droit de seigneuriage. 4. Système s’effondre : le 15 août 1971 : suppression de la convertibilité externe et Accords de la Jamaïque en 1976. II. En raison de l’échec

grandes lignes de la stratégie proposée par Zbigniew Brzezinski en 1997 (dans son livre Le Grand Échiquier), ils tâchent avant tout d’isoler la Russie, seule véritable menace à leur hégémonie militaire. L’isolement de la Russie passe par le contrôle du reste de l’Eurasie et en particulier par le maintien des protectorats européens et japonais dans la sphère d’influence américaine. Le moyen de maintenir cette prise, et plus généralement de donner l’impression que les États-Unis sont indispensables à la planète

modèle politique la monarchie constitutionnelle avec à la tête le roi Vittorio Emanuele II et avec un Parlement qui limites son pouvoir. Cavour est vivement en outre convaincu de l'importance d'insérer le problème italien dans un cadre international européen, il envoie ainsi 15 000 hommes dans la bataille de la Crimée du 1853, (la guerre était née à la suite de l'effritement de l'empire ottoman. En 1859, un an après avoir stipulé les traités de Plombières avec Napoleon III, il commence la seconde guerre

internationale La faim n’est due ni à une fatalité, ni à une situation géographique ni à un phénomène climatologique. Elle est avant tout une conséquence des politiques économiques imposées par les pays développés et leur aspiration à accroître leur hégémonie. Les subventions à la production et aux exportations des pays du Nord leur permettent d’inonder les marchés du Sud de produits à bas prix, concurrençant les produits locaux. Les pays du Sud abandonnent leur diversité et leur souveraineté alimentaires

internationaux :La différence culturelle et l’éducation : les émergences des approches interculturelles => La diversité culturelle à l’école - Abdel-Jalil Akkari montre les trois facteurs historiques sociaux qui ont progressivement mis en discussion le modèle européen d’une école fortement mono-culturelle au sein d’une nation conçue comme culturelle et homogène : la décolonisation, la démocratisation croissante de la vie publique et l’internalisation des migrations. - Monoculturelle =il n’y a pas qu’une

l'ONU, comme lors de la "guerre du Golfe" en 1991. Depuis la chute du bloc communiste en Europe de l'Est, les Américains n'ont plus guère que des adversaires éparpillés. * Leur puissance commerciale, même contestée par la concurrence asiatique et européenne, demeure la première au monde : les plus grandes firmes multinationales sont américaines et le dollar est la monnaie d'échanges internationale. * Enfin, les Etats-Unis exportent leur modèle culturel. L'anglais est la langue des relations diplomatiques

démocratique (exemples : la Tchécoslovaquie et la région des Balkans) (Doc 128). Dans ces régions ou dominaient en 1914 les Allemands et les Austro-hongrois (Doc 127) naissent même des révolutions communistes, politique opposée au nationalisme si cher aux Européens avant la guerre (la Russie adopte le régime communiste). Un peu partout en Europe apparaissent également des grèves révolutionnaires. Avant la guerre, les citoyens d’une même nation souhaitent voir celle-ci triompher sur les autres mais à la suite

contribuent également au redressement de l'économie des pays d'Europe de l'Ouest avec le rôle de l'aide Marshall en 1947. Ceci permet de donner des débouchés à leur production et contribue à l'endiguement du communisme. Une gouvernance contestée • Cette hégémonie économique américaine est néanmoins contestée. L'URSS organise la gouvernance économique de son bloc, suivant des principes différents de ceux du libéralisme. Les échanges sont organisés dans le cadre d'un marché commun appelé Comecon (ou CAEM, Conseil

Théodore Roosevelt déclarera d’ailleurs à ce sujet : « Nous ne sommes pas des internationalistes ». Ces prises de position se concrétisent rapidement. Ainsi, le Congrès ne ratifie pas le Traité de Versailles, et éloigne les Etats Unis des affaires européennes. Wilson ne pourra donc jamais mettre en place de manière aboutie ses projets d’installation de paix durable et de reconstruction de l’Allemagne, notamment. Ces décisions s’accompagnent d’une volonté de relancer durablement l’économie vers un dynamisme

pour les États-Unis d’asseoir son hégémonie sur le monde l’amène à promouvoir un libre-échange mondial. Il veut imposer des mesures de libéralisation économique partout au Japon et en Europe. Toutefois, les réticences européennes et japonaises contraignent les États-Unis à n’envisager que des accords de libre-échange bilatéraux7. De même, la montée de l’Union européenne et de la puissance japonaise peut expliquer le désir pour les ÉtatsUnis d’étendre leur hégémonie sur le continent américain car