L Hérédité Chez Jacques Lantier

mécanicien de locomotive, Jacques Lantier, un homme marqué dès son plus jeune âge par des pulsions sexuelles et meurtrières, la fameuse « fêlure héréditaire ». Naturalisme et volonté d'étude du crime marquent le passage que nous allons étudier. Dans ce texte, Jacques s'interroge sur les pulsions meurtrières qui le déstabilisent. Il finira d'ailleurs par assassiner Séverine, sa maîtresse, car pour lui sexualité et mort sont indissociables. Après avoir manqué de tuer la jeune Flore, Jacques part dans la campagne

chaque livre de la série porte sur un membre de la familleRougon-Macquart, la série suivra les aventures de la famille sur pas moins detrois générations, l'un des plus gros tirages de la série était La Bête Humaine ,ce roman suit les aventures de Jacques Lantier, un mécanicien atteint par despulsions meurtrières, des pulsions meurtrières qui ne sont rien d'autrequ'une tare héréditaire qu'il tient de ses ancêtres alcooliques, l'oeuvremêlera ainsi sciences et fiction aux allures tragiques.Dans leur préface

criminel par habitude acquise Celui dont il est le plus souvent question dans la Bête humain, c’est le criminel-né, qui est la victime des conditions de dégénérescence héréditaire. Celui que Zola incarne comme étant le criminel-né de Zola est Lantier, dont l’alcoolisme des parents a entraîné la transmission de la fameuse fêlure héréditaire si chère à Emile Zola. Le portrait médical Zola est un auteur qui se veut scientifique avant d’être écrivain. Il veut montrer à la société les troubles

vérifie par expérimentation dans ses œuvres - célèbre pour ses prises de position, souvent sources de condamnations ex : son pamphlet J’accuse… ! (1898) II. La Bête Humaine (Affaire criminelle chez Les Rougon-Macquart) - Genre : roman - 1re édition : 1890 - Thématiques : naturalisme, hérédité, pulsions meurtrières, crime, violence, personnification - Dix-septième roman de la série des Rougon-Macquart, La Bête humaine - publié sous forme de feuilleton dans le journal La Vie populaire avant

se venger de Grandmorin. CHAPITRE 2 Jacques Lantier, fils de Gervaise, est mécanicien sur la Lison, une locomotive qui parcourt la ligne Paris - Le Havre. Il est partagé entre deux femmes : sa femme Victoire à Paris et sa maîtresse Séverine au Havre. Jacques Lantier est venu passer la journée chez sa marraine, Phasie, la garde-barrière, qui est mariée à Misard et dont la fille, Flore, est attirée par Jacques. Celui-ci est, du fait de sa lourde hérédité alcoolique, pris d'une pulsion meurtrière

INFORMATION POUR LA BÊTE HUMAINE II-Une hérédité chargée. Etienne Lantier est possédé par un mal héréditaire. En effet étant le dernier enfant d'une race d'alcooliques, il souffre "dans sa chair de toute cette ascendance trempée et détraquée d'alcool"(p. 93). Son hérédité alcoolique se manifeste, quand il boit, par une rage de tuer. Ce trait physiologique justifiera ensuite un épisode dramatique du roman (V. 4). En effet, la boisson le rend extrêmement méchant. Il dit lui-même à Catherine :

L’extrait est un monologue intérieur de Lantier, qui introduit le lecteur à la fêlure héréditaire, un des nombreux thèmes abordés par Zola dans cet œuvre naturaliste, manifesté par l’appartenance du personnage principal, Jacques Lantier, à la Famille des Rougon Macquart. D’abord, on s’intéressera au personnage de Lantier, et au thème de l’hérédité. On enchainera avec la valeur symbolique de ce passage. Conclusion : Le poids de son héritage pèse lourd sur Jacques Lantier ; il souffre de quelques traits

devine et veut se venger de Grandmorin.
Jacques Lantier, fils de Gervaise, est mécanicien sur la Lison, une locomotive qui parcourt la ligne Paris - Le Havre. Il est partagé entre deux femmes : sa femme Victoire à Paris et sa maîtresse Séverine au Havre. Jacques Lantier est venu passer la journée chez sa marraine, Phasie, la garde-barrière, qui est mariée à Misard et dont la fille, Flore, est attirée par Jacques. Celui-ci est, du fait de sa lourde hérédité alcoolique, pris d'une pulsion meurtrière

d’Emile Zola publiée en 1890. Ce roman du crime qui clos la série des Rougon Macquart nous dresse un portrait angoissant représentatif de la société du XIXème siècle entre progrès et violence. Zola fait de l’homme l’auteur d’une folie meurtrière. Jacques Lantier, fils de Gervaise Macquart, héroïne de L’assommoir, ; est ici l’un des personnages principales de cette œuvre, et le meurtrier le plus important. Mais il n’est pas le seul, d’autres personnages tels que Roubaud et Misart font également preuves

d’un important trouble du comportement. Ce trouble se traduit par un comportement fortement antisocial. Il agit de manière très impulsive, dans le but de « détruire » psychologiquement ou physiquement l’individu. Ce comportement destructeur n’entraîne chez le psychopathe dans la majorité des cas aucun sentiment de culpabilité. | Ses actes et son mode opératoire  : Ces Hommes ( puisque l’immense majorité d'entre eux appartiennent au sexe masculin ) commettent des meurtres en série, le plus souvent