L Impact Des Ntic Sur Les Activités Bancaires

manutentionnaire est considérée comme déterminante. Car, dans un contexte de concurrence internationale féroce, la maîtrise technique et financière de toute la chaîne, depuis les achats de matières premières jusqu’à la distribution au client, a forcément un impact sur les coûts de production »1. « Avec la mondialisation des échanges et l’enjeu sous-jacent en termes de coûts, cette fonction a désormais un rôle d’arbitre entre les directions commerciale et industrielle »2. C’est en lisant ce genre d’articles

de 5 ans et phase de dépression de 7 ans. 2) Le cycle 1832-1842 et la crise financière de 1836 Dans cette phase d’expansion, le chemin de fer se développe rapidement (boom qui entraîne les secteurs de la sidérurgie et du charbon) ; le système bancaire se développe et les sociétés par actions se multiplient. L’expansion se traduit alors par une hausse des exportations (GB surtout). Mais la situation va se retourner en 1837 : l’activité s’est sensiblement ralentie à partir de 1836. Tout d’abord

une influence sur la stratégie de l’E. Globalisation : (mondialisation) a un impact sur les marché car ils sont connectés les uns aux autres. Cette connexion s’opère de deux manières : géographiquement Entre marché, capitaux, B&S II. les entreprises : Une E est un agent économique qui a pour Obj de réaliser son activité en utilisant un certain nbr de moyen ( -> profits). a) Objectif E : Pour les

1787/324567704650 © BAfD/OCDE 2008 Perspectives économiques en Afrique Algérie institutionnelles et aux problèmes de gouvernance, les autorités sont déterminées à mener à bonne fin les réformes structurelles engagées, notamment dans le secteur bancaire et le système fiscal, et à consolider celles touchant au climat des affaires, à la réforme du secteur public et à l’agriculture. Développements économiques récents 132 Après une croissance molle de 2 pour cent en 2006, due à un recul

par le rapport entre IDE et FBCF) est très inférieure à ce que l’on constate dans les autres pays émergents. En outre, depuis quelques années, dans plusieurs pays, et notamment au Maroc, l’IDE finance de moins en moins l’établissement de nouvelles activités («greenfield») mais plutôt l’acquisition d’entreprises existantes ou de licences d’exploitation (téléphonie). Depuis le début des années 90, les pays méditerranéens ont mis en œuvre des programmes de privatisation, avec plus ou moins de réussite

J’ai ainsi non seulement pu découvrir une start-up en forte croissance qui répondait parfaitement à un besoin clairement identifié («  je souhaite partager un bureau car mes ressources sont limitées »), mais également me rendre compte que son activité était mise en concurrence - et souvent favorablement - avec des acteurs plus traditionnels de l’immobilier professionnel. C’est ainsi que j’ai souhaité étudier plus en détail l’impact qu’aura la montée en puissance annoncée de l’économie collaborative

plus tard, oui mais investir dans quoi ? Certaines périodes sont propices à l’investissement car elles sont riches en opportunités d’autres le sont beaucoup moins. Prenons quelques exemples: Exemple 1: La fièvre des NTIC Dans les années 90 les entreprises américaines ne jurent que par les NTIC, cette ferveur touchera l’Europe de l’Ouest au milieu des années 90. L’économie du virtuel, la net economy, la nouvelle économie ou l’e-economy comme on l’appelait à l’époque sont à la mode. Comment estimer qu’internet

place des aides et des subventions afin d’assurer le développement des activités industrielles. _Le courant marxiste considère que l’intervention de l’Etat a pour objet d’assurer la persistance du mode de production capitaliste, en prenant à sa charge les capitaux nécessaires à la bonne marche du système. Ces capitaux sont simplement dévalorisés. Or comme l’Etat ne cherche pas à faire de profits en contrepartie de son activité, cela signifie que la masse des profits continue à se répartir entre

financier et bancaire n'échappe pas à cette situation et connaîtra les mêmes mutations. Ceci explique la grande vague de fusion, d'absorption et de rapprochement que connaît le secteur de part le monde, car les banques vont devoir se livrer à une concurrence acharnée et féroce. Au Maroc et pendant de nombreuses années, les banques sont restées à l'écart de toute dynamique stratégique. Cette absence de comportement stratégique trouve son explication dans la nature du système bancaire marocain, qui

La mondialisation aidée par les NTIC a fait du monde un village planétaire où la concurrence et le libre échange ont droit de citer. Dans ce contexte, pour être compétitives, les entreprises n’ont d’autres choix que d’offrir aux clients, rois, des produits à la pointe de la technologie. Les banques qui ont pour vocation de recevoir les dépôts d’argent, de collecter l’épargne, d’accorder des prêts, de gérer les moyens de paiement et d’offrir des services financiers à leurs clients ne sont pas en