L Inconscient M Empêche T Il D être Moi Même

| | | |5. LA VICTIME EST INCONSCIENTE | |

A la recherche du temps perdu dont la fin sera publiée en 1927, c’est-à-dire posthume, autrement dit « d’outre tombe » comme le nomme Châteaubriand. Cet incipit traite du sommeil, de la différence concrète entre le temps conscient et le temps inconscient. PROBLEMATIQUE ? I. Rencontre avec un personnage sensible qui nous évoque un moment que nous partageons tous. a. L 'auteur nous fait entrer dans l'intimité du narrateur Il utilise divers procédé afin de nous faire pénétrer dans

(inventaire du risque néonatal) pour le vécu de l’enfant de la naissance à six mois. Naître implique un vécu émotionnel qui va structurer la relation parents - enfant. Mais à l’origine de toute naissance, il y a désir d’enfant. Inconscient, il naît de la relation précoce à la mère, de l’attachement primaire de celle-ci à son enfant. Dés lors, il semble intéressant de s’interroger sur son développement chez l’enfant né prématuré et plus particulièrement la fille. Après avoir

Socrate dit pour définir la conscience de soi : « Connais-toi toi-même ». Nous pouvons imaginer que l'on réfléchissent avant l'action et que cette même action soit ratée, ou mal entreprise. On peut alors penser que la conscience a été un obstacle pour l'action. Mais on considère également qu'il faut réfléchir pour que une action est une chance d'aboutir a un résultat positif attendu. La conscience de soi peut alors finir par nous empêcher de crée de peur de ne pas réussir, mais elle peut également devenir

originale à la description de cette entité nosographique en 1896. Il sépare la névrose obsessionnelle de l’hystérie en se basant sur les obsessions et les conduites ritualisées. Pour FREUD, l’obsession serait provoquée par le déplacement d’un désir inconscient sur une représentation acceptable par la conscience et contre laquelle on peut alors lutter par des rituels conscients. Pour lui, l’obsessionnel est aux prises avec le complexe d’Œdipe mais son organisation génitale est faible si bien que le

originale à la description de cette entité nosographique en 1896. Il sépare la névrose obsessionnelle de l’hystérie en se basant sur les obsessions et les conduites ritualisées. Pour FREUD, l’obsession serait provoquée par le déplacement d’un désir inconscient sur une représentation acceptable par la conscience et contre laquelle on peut alors lutter par des rituels conscients. Pour lui, l’obsessionnel est aux prises avec le complexe d’Œdipe mais son organisation génitale est faible si bien que le

les souvenirs viennent à l’esprit. Elle veut rester « fidèle » à ceux-ci. Tout d’abord il est nécessaire de définir ce mot, « tropisme ». De manière simplifiée, il s’agit d’une réaction inconsciente, automatique face à des forces, des stimuli extérieurs. Le Titre Il donne la première impression, avant même d’avoir entamé le livre. Il frappe par l’absence de possessif comme « Mon enfance » ou de référence à l’auteur. Essaie-t-elle de nous proposer une enfance modèle ? En réalité, Sarraute essaie

« conscience » et celle de « désir ». La « conscience » est la connaissance que l'Homme a de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Elle est la faculté de se représenter aussi bien le monde que soi-même. Être conscient, c'est non seulement vivre, penser, agir, souffrir, aimer, regarder mais en avoir en même temps le savoir. Le désir , lui , il est l’attirance que l’on a vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Mais cette question amène implicitement la

claire et perspicace. La mort de son père, qu’il n’a en fait réalisé que dix huit mois plus tard, va le torturer et le placer en criminel. L’affect est exagéré. Etre un criminel semble faux. Erreur dit Freud. L’affect est justifié, la culpabilité n’a pas à être critiquée mais elle appartient à un contenu qui n’est pas connu et qui doit être cherché. Mais il n’y a pas d’affect sans contenu de représentation donc quand il n’y en a pas, on en adopte un autre. Un peu comme la police lorsqu’elle ne peut

1885 : Freud rencontre le Pr. Charcot qui utilise hypnose pour soigner patients hystériques. Découverte du rôle essentiel de la parole aux séances d’hypnose   « talking cure » pour cette méthode. Freud fait l’hypothèse de l’existence de processus inconscients. Remplace l’hypnose par « l’association libre » dire toutes les pensées qui viennent à l’esprit, sans tri, sans jugement, ni discrimination  L’association libre = règle fondamentale de la cure psychanalytique I. Théorie Psychanalytique