L Inconscient Ne Rend Elle Pas La Liberté Impossible

États-Unis le 11 septembre 2001 indiquent qu’on ne s’entend toujours pas sur une vérité universelle. Qu’est-ce que le Bien?  Qu’est-ce que la justice?  Est-ce qu’il peut y avoir des guerres justes ou des combats justes?  Et si tel est le cas, qu’est-ce qui rend juste une intervention ou une réplique?  Mais au fond, ce débat n’est pas présent seulement que dans des cas où il ressort de manière aussi sanglante.  Après tout, combien de fois est-ce qu’on entend des phrases telles que : «à chacun sa vérité». 

Liberté Liens : Matière & esprit, État, Devoir, Conscience... « Le poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. » Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal, L’Albatros. « Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par delà le soleil, par-delà les éthers, Par-delà les confins

hypothèses et vérification * causes Ainsi (Leibniz) le philosophe étudie pourquoi et la science comment. Les différences entre philosophe et science s’étudient également dans les réponses : le philosophe en a plusieurs et l’homogénéité est impossible tandis que la science obtient toujours les même résultat aux mêmes problèmes. Malgré cette multiplicité de réponses possible en philosophie elle n’en est pas moins utile, ainsi des question d’éthique scientifique (de tout les domaines) sont posées

prenons la vue d’une illusion pour la vue d’une réalité. Mais tout de même, on peut croire que notre raison ne nous trompe pas toujours, en toutes choses et à tous les moments, et que c’est plutôt un mauvais usage de notre raison (ou un usage trop inconscient ou automatique de celle-ci) qui introduit une distorsion pouvant s’avérer trop importante, entre nos représentations de la réalité et la réalité en tant que telle. Ainsi, en suivant ce raisonnement, si on portait soigneusement attention à «ce que

motifs encore contribuent à lui dicter cette réserve. La complexité des faits sociaux est telle qu'il est impossible de les embrasser dans leur ensemble, et de prévoir les effets de leur influence réciproque. Il semble aussi que derrière les faits visibles se cachent parfois des milliers de causes invisibles. Les phénomènes sociaux visibles paraissent être la résultante d'un immense travail inconscient, inaccessible le plus souvent à notre analyse. On peut comparer les phénomènes perceptibles aux vagues

deux conséquences possibles : a) une tolérance radicale : s’il est impossible de justifier rationnellement la valeur d’un choix ou d’un acte, alors toute préférence morale est arbitraire et tout reproche repose sur un rapport de domination (critique de l’ethnocentrisme) ; donc il faut choisir entre imposer arbitrairement des croyances morales ou tolérer toutes les croyances morales ; ou b) une intolérance radicale : s’il est impossible de résoudre rationnellement tout différend moral, alors, pour imposer

L'expérience n'agit qu'à condition d'être fréquemment répétée. - Ce que coûtent les expériences nécessaires pour persuader les foules. - 4. La raison. - Nullité de son influence sur les foules. - On n'agit sur elles qu'en agissant sur leurs sentiments inconscients. - Le rôle de la logique dans l'histoire. - Les causes secrètes des événements invraisemblables. Chapitre III. - Les meneurs des foules et leurs moyens de persuasion 1. Les meneurs des foules. - Besoin instinctif de tous les êtres en

Alors, peut-on exclusivement considerer une prise de conscience comme étant libératrice? Ainsi, nous étudierons comment prendre conscience constitue t-il un acte libérateur, puis, est-ce que la conscience peut-être considérée comme une entrave à la liberté? Mais ne faudrait-il pas finalement trouver un juste milieu afin de ressentir ce sentiment d'ataraxie? La conscience morale constitue un ensemble de valeurs qui aident à déterminer, chez l'Homme, si une chose est bonne ou mauvaise. Ainsi, la conscience

sans quoi le respect pour la loi morale n'est même pas quelque chose qu'on puisse ressentir, et que ce réseau appelle bien une élucidation psychologique. Ce n'est certainement pas n'importe quel réseau de sentiments interdépendants, moraux ou non, qui rend chacun susceptible de respect pour la loi morale. Qui, du coup, au nom de la pureté de la moralité kantienne, refuserait d'en décrire la trame? Je ferai toutefois la conjecture supplémentaire que la philosophie de l'esprit contemporaine a jeté quelques

que lorsque nous aurons bien compris la nature du totem. On pourrait certes supposer que la substitution du lien totémique au lien de famille était la seule base possible de la prohibition de l'inceste, puisqu'en accordant à l'individu une certaine liberté sexuelle, dépassant les limites des rapports conjugaux, on s'exposait à le voir violer les liens consanguins et ne pas s'ar¬rꬬter même devant l'inceste. A cela on peut objecter que les coutumes des Austra¬liens impliquent des conditions sociales