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passionne pour la biologie darwinienne qui sert de modèle à tous ses travaux[11]. Il obtient son diplôme le 31 mars 1881, soit huit années après son entrée à l'université, au lieu des cinq attendues. La raison est que le jeune Freud profite de sa liberté académique en tant qu'étudiant de l'Université de Vienne pour effectuer deux séjours durant l'année 1876 dans la station de zoologie marine expérimentale de Trieste, sous la responsabilité de Carl Claus[C 1], puis pour travailler de 1876 à 1882 auprès

Communication des organisations (en entreprises...). Étude des acteurs, des individus, des professionnels. Analyse des discours (JT, Talk-Shows). Comment les gens reçoivent les produits qu'ils consomment? (ex : les japonais n'aiment pas Dallas à cause de la violence représentée dans les familles de la série). Question des industries culturelles (travaux d'E. Morin). Plan de l'année : -Pères fondateurs (Tocqueville, Gabriel Tarde) -Sociologie du journalisme (Park) -Communication linéaire →

DESTIN Néron dès le départ est criminel. Il est prisonnier de son destin. LIBERTÉ Jamais plus de deux personnes qui se parlent. La seule qui a de la liberté, c'est Junie car elle a le choix, les autres sont prisonniers de leur destin. (Racine élevé par les Jansénistes a une conception que tout est prédestiné) AMOUR Chez Corneille, l'amour s'apprend. Chez Racine, l'amour nous tombe dessus. On est privé de liberté avec le destin qui nous tombe dessus. Néron ne peut plus vivre sans Junie. À

« Le Chapelier » de janvier 1791 permet ensuite à tout citoyen d’ouvrir sa propre salle de théâtre à condition d’en informer les autorités municipales. En quelques mois le théâtre se développe et permet au public parisien de se divertir en toute liberté avec de nombreuses formes théâtrales dont de nouveaux genres tels que le vaudeville et le mélodrame. Pourtant durant l’époque révolutionnaire de nombreuses restrictions existent pour des raisons idéologiques. La Comédie française se divise alors en

service de ceux qui la subissent . […] le silence d'un prisonnier inconnu, abandonné aux humiliations à l'autre bout du monde, suffit à retirer l'écrivain de l'exil chaque fois, du moins, qu'il parvient, au milieu des privilèges de la liberté, à ne pas oublier ce silence, et à le relayer pour le faire retentir par les moyens de l'art. […] Quelles que soient nos infirmités personnelles, la noblesse de notre métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles

varier à l’infini la nature du message mais des codes de signaux provoquant instinctivement un comportement conforme à une finalité pratique. Alors que dans les sociétés animales un signal nécessite une réponse conditionnée, l’homme garde toute sa liberté par rapport au signal. Le langage animal est rigoureusement spécifique et génétiquement codé, celui-ci n’a pas d’histoire. Les langues humaines sont au contraire très diversifiées et historiques, elles se transforment dans le temps et finissent par

: il est au service de ceux qui la subissent. […] le silence d'un prisonnier inconnu, abandonné aux humiliations à l'autre bout du monde, suffit à retirer l'écrivain de l'exil chaque fois, du moins, qu'il parvient, au milieu des privilèges de la liberté, à ne pas oublier ce silence, et à le relayer pour le faire retentir par les moyens de l'art. […] Quelles que soient nos infirmités personnelles, la noblesse de notre métier s'enracinera toujours dans deux engagements difficiles à maintenir : le refus

permettent de fonctionner comme une structure structurante : on s'intéresse à l'action du collectif sur l'individu. Cette perspective organique nie un pan entier de la réalité  : d'une part il faut considérer que la famille est avant tout un espace de liberté pour les individus, et d'autre part chaque individu amène sur le terrain familial des problématiques externes qui diffèrent grandement selon les personnes. C'est pourquoi l'auteur est favorable à un modèle plus « atomiste ». Ce terme est particulièrement

INTRODUCTION La question de la fin de la vie, pour ne pas dire de la mort, naît de l’intervention de nouveaux acteurs et de l’allongement de la durée de la vie. Elle revêt désormais des aspects éthiques dans le sens où elle remet en cause une certaine conception du monde et des hommes. Notre époque adopte une attitude paradoxale face à la mort, puisque nous assistons d’un côté à son rejet social qui ne cesse de s’accroître (y compris dans le langage), et de l’autre à un

qui est venu avant. La seule valeur pour laquelle on peut être légitimement fanatique, c’est la liberté. La liberté d’esprit: si l’on est els enfants d’un monde fort et qui a beaucoup à offrir, on a l’impression de devoir continuer ce qui a été fait par ceux avant nous. Au contraire si on nait dans un monde en ruine, au moins on a cette liberté d’esprit. On a un monde détruit mais on a une liberté de penser car nous ne sommes pas opprimés par le succès de nos ancêtres par rapport auquel nous