L Ingénu Chapitre 14

exactement? – Pardon? – C'est quoi ta vie, la… Ca ressemble a quoi en ce moment? Pour ne plus jamais avoir a repondre a ce genre de question, Camille devala les escaliers de leur immeuble quatre a quatre et poussa la porte du premier coiffeur venu. 14 – Rasez-moi, demanda-t-elle au jeune homme qui se trouvait au-dessus d'elle dans le miroir. – Pardon? – Je voudrais que vous me rasiez la tete, s'il vous plait. – La boule a zero? – Oui. – Non. Je ne peux pas faire ca… – Si, si, vous pouvez

..........................................................................................13 LETTRE IX ..................................................................................................................................................14 LETTRE X...................................................................................................................................................15 LETTRE XI ................................................................................

Cependant je le comprenais, puisque c'était de la mauvaise peinture. Le gouvernement de mon grand−père était irrégulier et indifférent. Autant dire qu'il n'y en avait pas. Quand je lus dans mon manuel d'histoire, ou dans celui de mes frères aînés, le chapitre consacré aux rois fainéants, je pensai immédiatement à mon grand−père. Il ne tenait point du tout à ses prérogatives. Cependant il s'appelait Auguste. Je le savais parce que ma grand'tante Bernardine; celle que nous désignions sous le nom de tante

Troisième partie. 9. Sodome et Gomorrhe. Première partie. 10. Sodome et Gomorrhe. Deuxième partie. 11. La Prisonnière. Première partie. 12. La Prisonnière. Deuxième partie. 13. Albertine disparue. 14. Le temps retrouvé. Première partie. 15. Le temps retrouvé. Deuxième partie. 3 Le temps retrouvé II 4 Chapitre III (suite) En roulant les tristes pensées que je disais il y a un instant j’étais entré dans la cour de l’hôtel de Guermantes, et dans ma distraction je n’avais pas vu une voiture qui s’avançait

TABLE DES MATIERES AVERTISSEMENT DE L'EDITEUR 5 PREFACE DU REDACTEUR. 5 PREMIERE PARTIE 6 LETTRE PREMIERE 6 LETTRE II 7 LETTRE III 8 LETTRE IV 8 LETTRE V 9 LETTRE VI 10 LETTRE VII 11 LETTRE VIII 11 LETTRE IX 12 LETTRE X 13 LETTRE XI 14 LETTRE XII 15 LETTRE XIII 15 LETTRE XIV 16 LETTRE XV 16 LETTRE XVI 17 LETTRE XVII 17 LETTRE XVIII 18 LETTRE XIX 19 LETTRE XX 19 LETTRE XXI 20 LETTRE XXII 21 LETTRE XXIII 21 LETTRE XXIV 23 LETTRE XXV 23 LETTRE XXVI 24 LETTRE XXVII 25

est moins pénible à mériter. Sérieusement, je vais m'occuper de cette rupture. Voilà pourtant de quoi vous êtes cause ! aussi je le mets sur votre conscience. Adieu. Recommandez−moi aux prières de votre Présidente. Paris, ce 7 août 17** LETTRE V 14 Les liaisons dangereuses LETTRE VI LE VICOMTE DE VALMONT A LA MARQUISE DE MERTEUIL Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre ! Et vous−même, vous que je nommai si souvent mon indulgente amie, vous cessez enfin

t’en déplaise. Je suis même tombé sur une recette à base d’abeilles pilées, mêlées à de la chaux. — Ignoble ! lança Katelina. Jan ne put s’empêcher de sourire. Elle avait beau vitupérer, menacer, ses joues nacrées, presque roses, son visage de pleine 14/649 lune, ses cheveux dorés embusqués sous un mouchoir ou une coiffe de velours ne dégageaient que bonhomie. D’ailleurs, comment eût-elle pu éveiller autre chose chez Jan qu’une infinie tendresse ? Elle qui l’avait bordé, veillé des nuits entières

savait pas trop quelle odeur devait avoir une tête de nourrisson. Certainement pas l'odeur de caramel, bien sûr, car enfin le caramel était du sucre fondu, et comment voudriez-vous qu'un nourrisson qui n'a jamais bu que du lait sente le sucre fondu ? – 14 – Il aurait pu sentir le lait, le lait de nourrice. Mais il ne sentait pas le lait. Il aurait pu sentir les cheveux, les cheveux et la peau, et peutêtre un peu la sueur d'enfant. Et Terrier de renifler, s'apprêtant à sentir une odeur de peau, de

il est moins pénible à mériter. Sérieusement, je vais m'occuper de cette rupture. Voilà pourtant de quoi vous êtes cause ! aussi je le mets sur votre conscience. Adieu. Recommandez−moi aux prières de votre Présidente. Paris, ce 7 août 17** LETTRE V 14 Les liaisons dangereuses LETTRE VI LE VICOMTE DE VALMONT A LA MARQUISE DE MERTEUIL Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre ! Et vous−même, vous que je nommai si souvent mon indulgente amie, vous cessez enfin de l'être

partageais naturellement les craintes de ma classe. Les griefs particuliers que j’avais, à cette – 13 – époque, contre la classe ouvrière, dont les grèves retardaient mon bonheur conjugal, aiguisaient encore la vivacité de mon antipathie. – 14 – II Le 30 mai 1887 tombait un lundi. C’était un des jours de fête annuelle de la nation à la fin du dix-neuvième siècle ; on l’appelait Jour de décoration1, et l’objet de la fête était d’honorer la mémoire des soldats du Nord qui avaient pris