L Inspiration C Est L Occasion Du Genie Balzac

XIII. - Les Nombres el l'Occulte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .137 1. D'ECKARTSHAUSEN ; Le Nombre du Quaternaire . . . . . . . . . . . .138 II. HOENÉ WRONSK[ : Système de l'Algorithmie. .. . . . . . . . . . . . . .152 III. H. de BALZAC : Le Nombre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .157 IV. A. DESBARROLLES : Les Nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .160 V. E. LEDOS : Les Nombres, leurs rapports avec la Nature . . . . . . . . . .169 VI. L. MICHEL

" Comment veux−tu que je vive là−bas, sans toi ? " disait Frédéric. (L'amertume de son ami avait ramené sa tristesse. " ) J'aurais fait quelque chose avec une femme qui m'eût aimé... Pourquoi ris−tu ? L'amour est la pâture et comme l'atmosphère du génie. Les émotions extraordinaires produisent les oeuvres sublimes. Quant à chercher celle qu'il me faudrait, j'y renonce ! D'ailleurs, si jamais je la trouve, elle me repoussera. Je suis de la race des déshérités, et je m'éteindrai avec un trésor qui était

gangsters (Le Cercle rouge, Le Samouraï) ne disent quasiment rien, fascinant le spectateur par ce mélange de force, d’ascèse et de retenue. 3) Un récit lacunaire, n’exposant pas toutes les informations sur le personnage, motive la lecture. Ex. : Balzac recourt à cette stratégie pour le personnage de Vautrin. Certes, le lecteur dispose d’un portrait physique, encore que le héros endosse des costumes et des déguisements différents. Mais, à travers les cycles et les romans, le lecteur découvre progressivement

gangsters (Le Cercle rouge, Le Samouraï) ne disent quasiment rien, fascinant le spectateur par ce mélange de force, d’ascèse et de retenue. 3) Un récit lacunaire, n’exposant pas toutes les informations sur le personnage, motive la lecture. Ex. : Balzac recourt à cette stratégie pour le personnage de Vautrin. Certes, le lecteur dispose d’un portrait physique, encore que le héros endosse des costumes et des déguisements différents. Mais, à travers les cycles et les romans, le lecteur découvre progressivement

— « Comment veux-tu que je vive là-bas, sans toi ? » disait Frédéric. L’amertume de son ami avait ramené sa tristesse. « J’aurais fait quelque chose avec une femme qui m’eût aimé… Pourquoi ris-tu ? L’amour est la pâtu-re et comme l’atmosphère du génie. Les émotions extra-ordinaires produisent les œuvres sublimes. Quant à chercher celle qu’il me faudrait, j’y renonce ! D’ailleurs, si jamais je la trouve, elle me repoussera. Je suis de la race des déshérités, et je m’éteindrai avec un trésor qui était

de la Reconquista (qui vient de se terminer, avec la prise de Grenade en 1492). Colomb décrit les Indiens comme des êtres dociles et inoffensifs (« gens très pauvres en tout », « nus », autrement dit à l’état sauvage, sans « aucun culte », « sans génie pour le combat », « peureux », « propres à être commandés »). Vus par un Européen, ils constituent une sorte de peuple infantile. Colomb fait miroiter des richesses qui pourraient renforcer la position de l’Espagne. Les terres sont « bonnes et fertiles

si grand que toute vocation scientifique est assurée de trouver dans la science des guides, des maîtres. Sans doute, il y a d’autres types de paternité maxima que les types réalisés dans l’esprit scientifique moderne. En particulier, tout grand génie artistique transmet, par son seul exemple, une dynamique d’enseignement. Mais, dans les voies du savoir, c’est dans le détail même de la culture que nous pouvons prendre, que nous devons prendre conscience des puissances de guide que recèle la

derrière elle son ombre dans le passé indéfi­niment lointain ; elle paraît ainsi avoir préexisté, sous forme de possible, à sa propre réalisation. De là une erreur qui vicie notre conception du passé ; de là notre prétention d'anticiper en toute occasion l'avenir. Nous nous demandons, par exemple, ce que seront l'art, la littérature, la civilisation de demain ; nous nous figurons en gros la courbe d'évolution des sociétés ; nous allons jusqu'à prédire le détail des événements. Certes, nous pourrons

»1. A partir de 1793, il prend son sens moderne pour qualifier ce « qui est situé au bord de la mer »2. En 1828, il est substantivé avec le sens voisin de côte. Peu fréquemment utilisé au XIXe siècle, il apparaît dans les écrits de Chateaubriand, Balzac, Victor Hugo, Jules Vernes, et bien sûr des géographes (Paul Vidal de la Blache, Elisée Reclus ...). 1 2 E. Bertrand, Mémoire sur la structure intérieure de la Terre, p. 31 François-Alphonse Aulard, Recueil des Actes du Comité de Salut public

profit ceux de ses amis de « l’agonie romantique ». Tel est le cas du portrait célèbre de Frédéric Chopin, ami de Delacroix, où le musicien est l’image même du héros romantique. Ici, le compositeur est montré comme une artiste dévoré par le feu de son génie. Cf. Eugène Delacroix, Frédéric Chopin (1838). Enfin, Delacroix est également un illustrateur de premier plan, comme en témoigne ses illustrations, exécutées vers 1830, pour le Faust de Goethe. En vieillissant, Delacroix (et le romantisme avec lui)