L Intemporalité

l’organisation générale de l’entreprise continue de porter ses fruits. En maroquinerie, Fendi a poursuivi le développement de ses lignes historiques. La ligne star Peekaboo continue de s’affirmer comme une référence, alliant élégance, qualité et intemporalité. L’année 2010 a vu le lancement de nouvelles lignes. Dans le cadre de l’expansion qualitative de son réseau de distribution, le Palazzo Fendi à Rome et le magasin de Plaza 66 à Shanghai ont été agrandis. Des ouvertures ont été réalisées entre autres

incarnations des dieux latins, tandis que nos programmes spatiaux contemporains se nomment Apollo et nos fusées Ariane. Que dire, enfin, de la psychanalyse, dont l’un des concepts essentiels depuis Freud repose sur le complexe d’Œdipe ? Cette intemporalité des mythes se double, en ce début de XXIe siècle, d’une actualité particulièrement aiguë dans le domaine des études littéraires et des sciences humaines. Les désenchantements idéologiques et les catastrophes du XXe siècle ont en effet signé l’épuisement

transformer cet endroit en un musée naturel. La beauté qui nous entoure est tout simplement irréelle. Descendre le siq de Pétra, avant d‟arriver sur la Kasnè, le temple principal, et le plus beau également, donne une impression d‟infini, de beauté, d‟intemporalité à ceci prêt que, avant nous, Indiana Jones l‟a parcouru lorsqu‟il cherchait son temple Maudit. La réception de notre hôtel exhibait fièrement un téléviseur crasseux qui diffusait en boucle les images de ce monument du cinéma mondial. Harrison Ford

palais des évêques. Cette ville, si elle est vieille (Villevieille est un nom significatif même s’il est peut-être authentique) et envahie par une végétation conquérante, si elle est sombre, inquiétante, inhumaine, si elle participe à cette intemporalité,  est séparée entre une «ville haute» (pages 115, 232)) et une «ville basse» (pages 124, 216). Dans la ville haute, qui est étrangement ruinée, juste en-dessous du palais des évêques (inspiré peut-être par celui de Sisteron), Toussaint habite

post-scriptum a Métropole et mentalité, p. 77. Les études de Simmel sur ces trois villes posent un défi de taille quant à leur rapport avec Métropole et mentalité. D'une part, elles peuvent êtres vues comme u Autre D de la métropole de par leur K intemporalité ». Simrnel parle de Rome par exemple comme d'une « oeuvre d'art d'une beauté supérieure )) ( Cf.Rome, p. 16 ) ou l'unité esthétique qu7eiledonne à voir transcende les époques de sa construction. De l'autre, cette sensibilité esthétique justement

définitive, qui changerait , en serait-elle une ?  En principe, ce sont les opinions qui changent ( un jour on pense que l’argent heureux, et un jour on pense que le bonheur n’est nulle part? ) Ce qui caractérise la vérité, c’est sa permanence, son intemporalité. Les vérités philosophiques ( l’homme est un être fini, la culture est un conditionnement, etc…) sont de cette nature. Certaines vérités scientifiques ( la terre tourne autour du soleil, la terre attire les objets) sont aussi intemporelles et

l'intangibilité du "morceau d'or". L'or rompt ici avec l'inflammabilité universelle, ce que confirme l'adjectif "glacé", presque paradoxalement associé à ce métal symbole de soleil. L'or est ici immobilisation, permanence et peut-être possibilité d'une intemporalité. L'image du "morceau d'or glacé" porte une plus forte dose de convention poétique que la "paille" et semble se lier à une tradition littéraire qui se consacre à une continuité temporelle rêvée et désirée, qui serait établie entre un passé mythique

fatalité amoureuse Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours confirmée dans la seconde strophe, à travers une analogie de la femme avec « une douce pluie » que le poète « portai[t] déjà sur [ses] épaules ». Adverbe « déjà » intemporalité d’un sentiment qui aidait le poète à rester en vie : la pluie « qui ne sèche jamais » empêche le blé de brûler dans la « sécheresse ». Il s’agissait seulement pour le poète de reconnaître la femme de sa vie. Transition : La tournure emphatique

amoureuse Écriture poétique et quête du sens, du Moyen âge à nos jours confirmée dans la seconde strophe, à travers une analogie de la femme avec « une douce pluie » que le poète « portai[t] déjà sur [ses] épaules ». Adverbe « déjà » intemporalité d’un sentiment qui aidait le poète à rester en vie : la pluie « qui ne sèche jamais » empêche le blé de brûler dans la «  sécheresse  ». Il s’agissait seulement pour le poète de reconnaître la femme de sa vie. Transition  : La tournure emphatique

amoureuse Écriture poétique et quête du sens, du Moyen âge à nos jours confirmée dans la seconde strophe, à travers une analogie de la femme avec « une douce pluie » que le poète « portai[t] déjà sur [ses] épaules ». Adverbe « déjà » intemporalité d’un sentiment qui aidait le poète à rester en vie : la pluie « qui ne sèche jamais » empêche le blé de brûler dans la «  sécheresse  ». Il s’agissait seulement pour le poète de reconnaître la femme de sa vie. Transition  : La tournure emphatique