L'Oiseau de feu

arrosages sont circulaire (la grenouille), par brassage puissant de l’eau (le renard) et unidirectionnel, en diagonale, vers le haut, chez TINGUELY. - Unidirectionnels, jaillissant des sculptures comme de la trompe de l’éléphant, de la couronne de l’Oiseau de feu, des seins de la sirène…), chez Nikki de SAINT-PHALLE. a) Les sculptures de TINGUELY : - Elles sont en aluminium et acier peints en noir composées de rouages (bras articulés, engrenages, manivelles, ressorts, pistons…). - Il introduit le

Le roi et l’oiseau PITCH : L’histoire se déroule dans le royaume de Takicardie. L’Oiseau, personnage extravagant, prend plaisir à narguer le roi Charles V + III = VIII + VIII = XVI, tyran détesté de tous, depuis que ce dernier a abattu son épouse. Le roi est follement amoureux d’une bergère dont il détient le portrait dans ses appartements secrets. Cependant, la Bergère est éprise d’un Ramoneur, personnage de peinture lui aussi. La nuit venue, les deux amants se retrouvent et décident de

qui montre, par effet d’insistance poursuivi tout au long des six premiers vers, que la volonté d’ascension de l’oiseau n’est jamais assouvie. « Mornes prunelles » : signifie que la terre est triste. « Étincelles » : connote la vie, le génie, l’inspiration ou la représentation d’une vérité. « Il aspire un torrent d’étincelles » : expression imagées qui concerne l’ascension de l’oiseau. « Un torrent d’étincelle » (vers 7), « la foudre » (vers 8), « le fulgurant abîme » (vers 11) : champ lexical

allégorique du poète.  Etude méthodique I- La parabole du poète oiseau A- Une double analogie ---- Une double comparaison Le poème L'Albatros est fondé sur une double comparaison. L'albatros est personnifié étant donné que le poète est comparé à l'oiseau. Grâce à un réseau de personnification, les trois premières strophes comparent l'albatros à un roi déchu (" roi " vers 6), à un voyageur ailé tombé du ciel. La quatrième strophe explicite le symbole en faisant du poète, par une comparaison et une

Pour commencer l’année. Lisez le texte suivant : L’Oiseau. Un homme attrapa un jour un oiseau au plumage multicolore. Heureux de sa prise il décida de le mettre en cage afin que, par son chant, l’oiseau égaye sa maison. * Que me veux-tu ? lui demanda le malheureux animal. Regarde donc mon maigre corps, mes fines pattes et ma pauvre tête. Je ne suis qu’un vieil oiseau dont les cordes vocales sont usées. Tu ne pourras rien tirer de moi. Rends-moi ma liberté et en échange je te révélerais

m'aider à sortir de ce labyrinthe ? balbutia le prince. - Pas de problème. Tu veux rejoindre la mer de sable ? questionna l'animal. - Oui, mais comment le sais-tu ? s'étonna le prince. -Au delà de la forêt, après la frontière de feu, s'étend un désert que appelé « mer de sable ». Si tu veux, je t'accompagne; Je connais le chemin ! proposa le rongeur. Suis moi, je te montre comment ne pas te perdre, poursuivit-il. Il suffisait

de ton feu, pour nous retourner et nous reconnaître dans les visages du passé. Nous sommes arrivés au feu de ton foyer avec le sourire de celui qui continue de fouler le sol maternel. Initiant de nouveau le récit de l’éducation des premiers ancêtres. En pleine croissance entre Copihues et Canelos. A l’écoute des images du rêve du champ bleu. Par l’invention du souffle…du soupir au sein de l’argile, de l’herbe et des fourmis. Nous sommes rassemblés autour de ton feu dans la

lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil Les canons d’acier bleu crachaient De courtes flammes de feu sec Pourvu qu’ils me laissent le temps Il est arrivé près de l’eau Il y a plongé son visage Il riait de joie il a bu Pourvu qu’ils me laissent le temps Il s’est relevé pour sauter Pourvu qu’ils me laissent le temps Une abeille de cuivre chaud

que son contenu y est asser riche mais tout en gardant son côté «  rigolo ». Ce poème peut plaire au plus jeune mais aussi au plus anciens. Voila tout le charme de ce poème et voila pourquoi il ma plût ! La mort des oiseaux Le soir, au coin du feu, j’ai pensé bien des fois, A la mort d’un oiseau, quelque part, dans les bois, Pendant les tristes jours de l’hiver monotone Les pauvres nids déserts, les nids qu’on abandonne, Se balancent au vent sur le ciel gris de fer. Oh ! comme les oiseaux

"éther", "sphères étoilées". Tout cela indique une progression, un élargissement qui lui permet de s’échapper du monde terrestre. Ce monde de l’idéal est évoquer par un vocabulaire qui connote la clarté, la hauteur et la sérénité: «air supérieur», «feu clair», «espace limpide», «champs lumineux et sereins» . a l'opposition entres ombre et clarté, correspond a une opposition entre corruption et pureté, souffrance et bonheur. Le poème «élévation»fait ainsi échos a celui de l'albatros, qui évoque «le