L'Ombre d'un doute

véritable presque par lils Aymon et de Itobert-le-Diable. quatre Je sais Des Giusdval, le Vice puni. ébranlé sourdement, craque, il jaillit par moment un bruit qu'avec étrange Lorsque le lambris Que de la cheminée Des sons surnaturels, Petillent les D'un entourés tisons, d'une feu blafard De bizarres et pâte, et que lueurs font grimacer Seul, loin assis, D'autrefois C'est du bruit, aimez-vous mon à moi plaisir bercer récit vos dans si, portraits les traits des merveilles veilles

», un rire faux, grinçant, sardonique. Dans « Le Crapaud », dix-septième poème du recueil dédié à Marcelle, Corbière met en scène un cadre bucolique au sein duquel naît un dialogue entre le poète et, sans doute, la femme aimée lors de la découverte d'un crapaud qui chante. C'est l'occasion, pour le poète, d'esquisser un autoportrait plein d'une amère dérision. LECTUREPB : En quoi et comment Tristan Corbière met-il en scène l'image du poète maudit ?Composition Forme

''rescapée''. Il s'agit de Manon Moinet, soignée pour des troubles sérieux de la mémoire immédiate et devenue depuis peu l’égérie du programme développé par un laboratoire pharmaceutique qui tente d'aider les patients souffrant de cette pathologie. À la suite d'un accident, Manon est incapable d'enregistrer le présent. Son passée lui reste acquis, mais rien de ce qui se passe aujourd'hui autour d'elle ne laisse de traces dans sa mémoire. Pourtant, elle évoque auprès de Lucie Hennebelle le retour du ''Professeur''

terrines de lait dans la laiterie. Mais, aux fulgurations de l’heure présente, sa vie passée, si nette jusqu’alors, s’évanouissait tout entièr e, et elle doutait presque de l’avoir vécue. Elle était là ; puis autour du bal, il n’y avait plus que de l’ombre, étalée sur tout le reste. Elle mangeait alors une glace au marasquin, qu’elle tenait de la main gauche dans une coquille de vermeil, et ferma it à demi les yeux, la cuiller entre les dents. Texte 2 : Chapitre VIII, Deuxième Partie . Le portrait

SOMMAIRE Introduction La peinture d'un monde absurde L'émergence du sentiment de l'absurde dans le quotidien Mise en scène d'une absurde comédie humaine « Le sentiment de l'absurde est un mal de l'esprit qui naît de la confrontation de l'appel humain avec le silence déraisonnable du monde » (Albert Camus) La solitude des êtres La lumière, une force destructrice ? Des œuvres aux intonations poétiques « Le bruit de la conscience individuelle » Évocation d'un monde sensible Introduction

...............................................................................56 XXXII ...................................................................................................................................................57 XXXIII. L'OMBRE ..............................................................................................................................57 XXXIV. TRISTESSE D'OLYMPIO ..........................................................................................

1503 et 1506 que Francesco del Giocondo commande le portrait de sa jeune épouse à Léonard qui réside alors à Florence. Mais il ne l’a certainement jamais eu en sa possession. En effet, Léonard, invité à la cour de François Ier en 1517, l’emporte sans doute avec lui en France où il meurt deux ans plus tard au Clos Lucé, à Amboise. Le tableau est vraisemblablement acheté par François Ier lui-même, qui admire « le sourire quasi divin » de la dame. Il devient rapidement par la suite une œuvre emblématique

- un appel à la rébellion par Victor Hugo, venant de "loin",caché : "la voix sortira des cavernes", "dans l'ombre" - dénonciation de ce qui ne résistent pas - dénonciation du tyran - L'auteur montre son exil "debout sur la grève" - poésie épique (6éme strophe) - poésie tragique ? dernière strophe - Champ lexical de la mort, des frissons Hugo se présente en poète apocalyptique pour dénoncer la tyrannie de Napoléon III. Tu peux alors percevoir un parcours de lecture : 1 - le tyran 2 - le

politiquement, ce portrait convient à l'air du temps. Et il l'est aussi par ce qu'il révèle de François Hollande, y compris contre son gré. Raymond Depardon, c'est son métier et son génie à la fois, a su capter en un cliché ce qui représente la vérité d'un homme, au moment où la photographie est prise. Dans la théâtralisation, très souvent un peu surjouée, des présidents par eux-mêmes au moment où ils s'installent à l’Élysée, réside toujours cette part de vérité, entre acte manqué et inconscience, que

s'agit d'un lieu clos dont R a osé franchir les murs transgressant ainsi un interdit. Ainsi que le dit J les murs du jardin sont hauts et durs à gravir ce qui symbolise la volonté et le courage de R et aussi la difficulté de leur amour. Ici les protagonistes sont isolés et provisoirement protégés du reste du monde. Ainsi R a transgressé ous les interdits mais le spectateur a le sentiment que les murs du jardin préfigurent les murs du cimetière de l'acte V. Ce jardin oppose l'ombre et la lumière: