L'Ours en peluche

qu’enthousiaste devant l’objet qu’elle avait poussé dans mes bras avec une émotion non dissimulée, s’est penchée vers moi en me replaçant le toupet toujours un peu rebelle. «Ça s’appelle un teddy bear. C’est beau, hein? » Beau? De la fausse fourrure - de la peluche, plutôt - en deux teintes de brun, une couleur que j’abhorrais déjà, bourrée de quelque chose qui crissait sous la main - «Du sable? Y m’ont donné un vulgaire toutou bourré de sable ?» et aux articulations tellement mal faites qu’on voyait la corde

chose que les gens voient en regardant notre logo est bien évidemment le nom de notre crèche, qui surplombe trois images. (Annexe 1) L’image centrale, représentant un ours en peluche rose n’est pas sans rappeler les travaux d’Emmi pikler, qui nous disaient que l’enfant doit se faire tout seul, l’ours en peluche marche la tête haute en avançant vers l’avenir. Notre crèche aura pour fonction d’accompagner et d’aider l’enfant dans cette démarche. (Annexe 2) La deuxième image est celle d’un

d’habitude de la littérature de jeunesse. La nécessité de l’enfant pour grandir => la route du vent, fanchon, le voyage d’Oregon… de Rascal Dans le voyage d’Oregon, apparition de la création de l’univers solaire à l’image des tableaux de Van Gogh. L’ours va partir dans un périple. Album qui est notamment sous le signe de Rimbaud. Dans cet album, de grandir est représenté comme une épreuve douloureuse, mais aussi présenté comme un enrichissement, comme une épreuve d’écorchement. Duke est un nain (cirque)

le coffre et se détourna pour en ouvrir un deuxième. —  Je suis heureux pour vous. Elle le regarda fixement, choquée de son indifférence. —  Eh, regardez-moi cela ! Il venait de ramasser un vieux camion métallique et lui tendait un ours en peluche habillé en clown. Ces deux jouets, qui devaient avoir appartenu aux garçons de la photo, étaient à présent des pièces recherchées par les musées et les collectionneurs. —  Vous auriez eu intérêt à les emporter plutôt que vos vêtements. —  On

referma le coffre et se détourna pour en ouvrir un deuxième. — Je suis heureux pour vous. Elle le regarda fixement, choquée de son indifférence. — Eh, regardez-moi cela ! Il venait de ramasser un vieux camion métallique et lui tendait un ours en peluche habillé en clown. Ces deux jouets, qui devaient avoir appartenu aux garçons de la photo, étaient à présent des pièces recherchées par les musées et les collectionneurs. — Vous auriez eu intérêt à les emporter plutôt que vos vêtements. — On ne m’a

meubles et sur les murs… D’après le docteur Winnicott, il utilise le holding et l objet transitionnel pour soulager la personne. L’objet transitionnel est désigné par Winnicott comme : « L’aire intermédiaire qui se situe entre le pouce et l’ours en peluche, entre l’érotisme oral et la véritable relation d’objet ». Il existe aussi le holding qui consiste a envelopper la personne. Il s’agit de contenir et de soutenir la personne pour l’apaiser durant ses angoisses. Ce maintient peut être traduit

baisers du soir, baisers de Maman qui me disait, après avoir bordé mon lit, que maintenant j’allais faire mon petit voyage dans la lune avec mon ami un écureuil. O mon enfance, gelées de coings, bougies roses, journaux illustrés du jeudi, ours en peluche, convalescences chéries, anniversaires, lettres du Nouvel An sur du papier à dentelures, dindes de Noël, fables de La Fontaine idiotement récitées debout sur la table, bonbons à fleurettes, attentes des vacances, cerceaux, diabolos, petites mains

qu’elle s’enfuie en emmenant Nicky. Mais elle était restée. Elle avait regardé son fils entrer dans sa chambre, le lendemain matin, et demander pourquoi le monsieur était toujours là. Andréas s’était assis et avait 40 invité Nicky, et l’ours en peluche qu’il serrait dans ses bras, à venir les rejoindre parce qu’il avait quelque chose à lui dire. Et Alanna, le cœur gros, les yeux voilés de larmes, avait écouté Andréas expliquer au petit garçon qu’il était le frère de son père et qu’il allait

mère qu’un jour ils devront quitter le Japon, elle sent le monde s’effondrer autour d’elle; heureusement, Ni- shio-San décide de rester avec eux. C’est le jour du troisième anniversaire de la protagoniste: elle désire intensément un éléphant en peluche, mais ses parents se trompent complètement en lui offrant trois carpes détestées. Elle les appelle Jésus, Marie et Joseph. Obligée de les nourrir, un jour elle se sent à tel point dégoûtée qu’elle se laisse tomber dans le bassin, où sa tête heurte

beaucoup d'honneur. Et quant au Berger l'on peut dire Qu'il était digne de tous maux, Etant de ces gens-là qui sur les animaux Se font un chimérique empire. Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints. L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de Moines passant, La faim