L étranger Camus Monstre

obtienne la fin des luttes meurtrières. Cette œuvre souffrirait de nos calamités. Quel esprit serait calme en ces temps agités? Et Memmius, ce fils d'une race héroïque, Manquerait-il sans honte à la chose publique? Or donc, cher Memmius, de tout soin étranger, Si tu veux bien m'entendre, il te faut dégager, Et d'une oreille libre accueillir la sagesse. Ce trésor, dont mon zèle ordonna la richesse, Pour une âme distraite aurait perdu son prix ; Tu pourrais dédaigner faute d'avoir compris. Car de l'ordre

le portrait qu’en fait son valet dans la première scène de l’acte I et le personnage tel qu’il apparaît à la scène suivante. Molière choisit de présenter Dom Juan en deux temps (par le discours de son valet, puis par son apparition sur scène). Le monstre sensuel, sans cœur, sans foi ni loi, dépeint par Sganarelle à la scène 1 se révèle être dans la scène suivante un libertin plein de charme, très habile orateur, ayant le goût du jeu, capable d’humour et d’ironie. Si ce que dépeint Sganarelle est bel

héros ». Maurice Blanchot, « Livre à venir ». « C’est dans l’art que l’homme se dépasse définitivement lui-même ». Simone de Beauvoir. « L’art, dans un certain sens, est une révolte contre le monde dans ce qu’il a de fuyant et d’inachevé ». Albert Camus, « Le discours de Suède ». « En art comme ailleurs, il faut vivre au dessus de ses moyens ». Jean Dutourd. « Je ne fais ni de l’Art pour l’Art, ni de l’Art contre l’Art. Je suis pour l’Art, mais pour l’art qui n’a rien à voir avec l’Art, car l’art

font est considérée comme étant la dernière dans leur pays ; « c’est la dernière fois que je m’extrais de ce vieux fauteuil », « tout ce qui passe sous mes yeux y passe pour la dernière fois ». On en vient même à un adieu à une vie, « comme c’est étrange de dire adieu à sa vie ». L’auteur utilise les différents sens (vue, ouïe, odorat...) pour caractériser cette cassure : « la poussière soulevée par les embouteillages est encore chaude du soleil de la journée », « je sais que nous partirons cette

épizootiques (maladie de la tsé-tsé, dourine...) dues aux diverses variétés du trypanosome (protozoaire, parasite du sang). 219 - concupiscence : penchant aux plaisirs des sens. 219 - Centaures : êtres fabuleux, mi-humains, mi-chevaux. 225 - camus : qui a le nez court et plat. 227 - un tantinet : traduction de a trifle, un tout petit peu. 232 - dolichocéphale : qui a le crâne allongé. 235 - propitiatoire : pour rendre propice, pour amadouer (voir aussi 282). 239 - barytonnées : dites

de guerre ? 6. Donnez un des métiers que Maupassant exerce après l’armistice. 7. Donnez un des passe-temps de Maupassant après la guerre. L’écrivain 8. Entourez l’intrus parmi les auteurs que Maupassant a pu rencontrer : Zola – Flaubert – Daudet – Camus – Huysmans 9. Entourez l’intrus parmi les différentes activités exercées par Maupassant : Poésie – théâtre – musique – articles de journaux 10. Entourez l’intrus parmi les titres des œuvres de Maupassant : Boule de Suif – L’étranger – Une vie – Bel-ami

effet, à la base Eurydice décède brutalement le jour du mariage or dans la modernisation, le mariage à bien eu lieu, on apprend même que cette dernière est enceinte. Eurydice et Orphée Mais de retrouver Eurydice, Orphée est témoin d’une scène étrange : la princesse emmenant le jeune poète, alors mort, à travers un miroir qui se révélera être le passage vers le monde des morts. Ce point diffère aussi du mythe car, en effet, pour aller dans l’autre monde, Orphée doit demander l’autorisation du dieu

fils du texte, ainsi il se confond avec le lecteur. C’est un procédé de persuasion. Il veut convaincre le lecteur de ce qu’il dit. Montaigne évoque deux peuples : Les Barbares : Ces barbares sont différents à nos usages (l.3). Ce sont des étrangers. Les Sauvages : Les sauvages viennent de la nature et restent tels quel (l.8) Montaigne veut nous amener à une vraie réflexion, une remise en question de nos idées personnelles et il s’adresse à tout ceux qui auraient tendance à classer les

« divertissement » que Pascal a dénoncé parce qu’il nous détournerait de l’essentiel ? Mais sans « divertissement », il faut bien parvenir à conjurer l’ennui et donner un sens à cette vie. On peut évoquer quelques exemples littéraires. Le Sisyphe d’Albert Camus [1] condamné à rouler son rocher jusqu’au sommet de la montagne – métaphore de l’absurde dont il fait sa raison de vivre. Ou encore le Langlois d’Un Roi sans divertissement (1947) [2] de Jean Giono, qui, à l’inverse, faute d’une réponse qui le satisfasse

sur la vie des stars. Ce sont des produits publicitaires et ils ont peu de liberté. 4- Une terre d'accueil pour les étrangers Très souvent Hollywood appelle les stars étrangères pour faire une carrière américaine. C'est la clé du succès d'Hollywood. Le cinéma hollywoodien est un cinéma très formaté. Le risque c'est la répétition. L'arrivée de nouveaux talents étrangers permet un renouveau du cinéma hollywoodien. 4 5- Un cinéma gouverné par un code d'auto-censure La censure la plus