L étranger La Fatalité Du Soleil

avoir fumé, il participe à la veillée funèbre avec des amis de sa mère et son fiancé, Thomas Pérez et se sens jugé par ses actes et son comportement insensible et introverti. Le lendemain matin, il accompagne le cortège vers le cimetière sous un soleil étouffant, même Pérez en perds connaissance. Après l’enterrement, Meursault se sent déjà soulagé de cet «ennui». Chapitre 2 : Le lendemain de l’enterrement, un samedi, Meursault va se baigner et rencontre Marie Cardona, une ancienne collègue.

Va cueillir des remords dans la fête servile, Ma Douleur, donne-moi la main ; viens par ici, Loin d'eux. Vois se pencher les défuntes Années, Sur les balcons du ciel, en robes surannées ; Surgir du fond des eaux le Regret souriant ; Le Soleil moribond s'endormir sous une arche, Et, comme un long linceul traînant à l'Orient, Entends, ma chère, entends la douce Nuit qui marche. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal CLIX       Introduction : * Poème de Baudelaire paru en 1861

société, symbolisée par le tribunal : son caractère ne respecte pas ses normes ce qui fait de Meursault un être sans sensibilité, cynique et introverti ; une personne exclue, isolée. Il est vu du fait de son caractère peu commun par la société comme un étranger d’où le titre :  « Le même homme qui au lendemain de la mort de sa mère se livrait à la débauche la plus honteuse » ;  « S’il m’est arrivé au cours de ma déjà logue carrière de réclamer des peines capitales, jamais autant qu’aujourd’hui je n’ai ressenti

se sent exclu. Il dit qu’il a commis ce meurtre à cause du soleil ce qui provoque l’agacement de la cour et les rires du jury. Enfin il est condamné à mort. Il semble qu’il y ait en tout 4 personnages principaux : * Le personnage central est Meursault évidemment, il a un rôle d’antihéros, il est privé de toute sensibilité, solitaire, c’est « l’homme de l’absurde », insignifiant au départ et confronté à l’absurdité et à la fatalité des évènements déclenchés. * Marie, qui est la petite amie

exemple écrire une pièce qui doit régir des lois de la vraisemblance élaboré surtout par la poétique d'Aristote, le vrai et le possible doit être ressenti par les spectateurs et plus généralement par le public, les événements paranormaux et fais étranges sont totalement exclus. De plus Racine, respecte la règle des 3 unités instituées par Boileau dans son « Art poétique » : -unité d'action (il doit y avoir une seule action principale avec un début, un milieu et une fin , les actions secondaires

grandiose. • Le registre tragique : le tragique est provoqué par une situation qui ne laisse aucun espoir aux personnages ; ceux-ci sont contraints à un choix nécessairement douloureux. Les personnages sont victimes d’une puissance supérieur : la fatalité. Le sort du personnage éveille un sentiment de pitié. Le tragique relève d’une interrogation sur la condition humaine. Dans l’univers tragique le personnage tente d’affronter lucidement son destin ; son courage face à l’adversité éveille alors l’admiration

: l’oiseau (= destin), Clytemnestre, son lacet (= les objets) Lorsqu’il sait que sa mort est inévitable, il cherche à s’éloigner de Clytemnestre car celle-ci représente son passé criminel. Mais il n’y parvient pas, ce qui nous montre bien ici la fatalité du destin (pour l’éternité ce couple Electre/Clytemnestre). 3) Le cri ultime : Il crie "Électre!" car elle seule peut encore le comprendre même si elle l’a condamné. Tragique. III - Les caractéristiques du récit.  A) La tension dramatique

dans ce poème et ils viennent tous du domaine céleste. Il y a répété deux fois « Lune » l 1 et 2 , et deux fois le « Soleil » l 3 , et puis il y a le terme « Astre » l 8. Malgré les connotations naturels de ces éléments , nous pouvons aussi voir qu'il peuvent avoir des connotations historiques , grâce à la majuscule. Les Grecs , dont Ronsard s'inspire , avaient des Dieux Lune , Soleil , et Astre , et la majuscule nous permet de voir qu'il y a une personnification , et nous pourrions supposer que cela

frère de la maîtresse de Raymond fait partie. Une bagarre éclate, au cours de laquelle Raymond est blessé au visage au couteau. Plus tard, Meursault, seul sur la plage accablée de chaleur et de soleil, rencontre à nouveau l’un des Arabes, qui, à sa vue, sort un couteau. Meursault, ébloui par le reflet du soleil sur la lame, se crispe sur le revolver dans sa poche (il a persuadé Raymond de le lui confier, pour éviter que celui-ci ne tue quelqu'un, justement), le tuant d'une seule balle. Sans raison particulière

cours de laquelle Raymond est blessé au couteau. Plus tard, Meursault marche seul sur la plage, il est accablé par la chaleur et le soleil, il rencontre à nouveau l’un des Arabes, couché à l’ombre d’une source, qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité, par la touffeur, ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe. C’est la fin de la première partie. Dans la seconde moitié du roman, Meursault est