L être Humain Peut Il Perdre Son Humanité

Prologue : L’AUTEUR Je suis un être humain parmi les milliards d’êtres humains qui peuplent cette planète Terre. Peu importe mon nom, ma couleur de peau, ma religion, ma taille, mon poids, mon sexe... je ne suis qu’un panneau indicateur ! Ayons, je vous prie, la sagesse de suivre la direction sans s’attarder sur le panneau. Toutes les descriptions que l'on peut faire de moi ou de vous sont fausses ! Nous ne sommes pas une description, une formule finie, nous sommes infinis et en perpétuel mouvement

reçues. On rêvait plus de cinéma. Après, cette chose-là m'a travaillé pendant longtemps. J'ai passé le bac, j'ai voulu faire du droit, être conseiller juridique. Mais le théâtre me trottait encore dans la tête. À 22 ans, j'ai décidé de tout balancer, de tenter le coup, car ce n'était pas possible que cette chose-là me travaille autant. Finalement c'est peut-être une passion, qui est devenue un métier. Chaque jour, je me demande : "est-ce que demain, j'en vivrai encore ?". Je sais que je fais un métier

quelque chose qui est voué à se séparer de son auteur. - Le dessaisissement: le fait que, dans la société capitaliste, le salarié est dépossédé par le capitaliste du fruit de son travail. - L’asservissement: le fait que le salarié ne peut échapper à l’engrenage qui le conduit à acheter lui aussi, pour survivre, des biens marchands fabriqués par d’autres salariés, et qu’il finit par n’accorder aux choses aucune autre valeur que l’argent qu’elles coûtent ou qu’elles rapportent. L’économie

éthique de la fragilité Emmanuel HIRSCH Si près de 80 % des personnes meurent aujourd’hui dans le cadre d’une institution de soin plutôt qu’à leur domicile, c’est parce que la médicalisation de la vie jusqu’à son terme refuse à la communauté humaine les temps hautement symboliques qui la relient à son histoire et aux valeurs qui en sont constitutives. Quand l’« idéologie biomédicale » s’oppose à la dignité des malades, elle devient un déni d’humanité. « L’humain commence dans la sainteté

serait ici synonyme de méprise, erreur involontaire, de ne pas se rendre compte, de faire preuve malgré soi de cruauté, au point de ne pas comprendre que l’homme est fait pour la vie, et non pour la mort. Ne pas savoir ce que l’on fait, c’est donc être prisonnier de ses illusions, prisonnier de sa dureté de cœur, et de son péché au point de ne plus se rendre compte de ce qui est mal, d’avoir en somme tellement l’habitude du mensonge, aux autres et à soi-même, qu’on ne reconnaît plus la vérité. Et

Doit-on être heureux ? ____________________________________________________________________ Chaque homme sur Terre souhaite un jour être heureux dans sa vie. Cet état se définit par la jouissance du bonheur, mais le concept du bonheur peut recevoir plusieurs définitions en fonction de chaque individu. Le degré de bonheur atteint, le contentement de cet état n’est pas le même selon les individus. Il y a tout d'abord une contradiction apparente entre l'idée du devoir moral

jugements. Mill considère que ce principe existe et même s’il ne dit pas son nom dans les principes philosophiques des autres philosophes c’est sur le principe d’utilité que les philosophes se base pour determiner toute action bonne qui est utile au bien-être des hommes. disciple de Bentham, il approfondit les principes de sa philosophie et s'oppose au fondateur de l’utilitarisme sur un point : Bentham considère que le bonheur recherché dans l'utilitarisme est lié à la quantité des plaisirs. Cependant,

------------------------------------------------- LES VAMPIRES Problématique : En quoi les vampires de Twilight modernisent-ils l’image du vampire ? Sommaire : I . Caractéristiques originelles des vampires a. Apparence b. Mode de vie c. But / Rapport aux humains II. Modernisation par contamination avec d’autres codes a. Le vampire de Twilight est un stéréotype de l’amour impossible b. La réécriture c. Le vampire de Twilight est un stéréotype de la mafia III. Signification a. Le côté

population. Conséquence : une forte baisse de la croissance démographique dans le monde entier. Ces famines touchent tous les pays, même les plus riches, mais aucun gouvernement ne cède fasse à la souffrance de son peuple, le maintien en vie de la race humaine étant le plus important. On régresse petit à petit, on voit les prix des différents objets du quotidien flamber, ces-derniers deviennent aussi précieux que l’or. Cependant, des scientifiques russes travaillent dans l’ombre sur l’immortalité, créant

lui poser son diadème ; mais Napoléon le lui avait pris des mains. Ainsi tout avait tremblé dans cette forêt lugubre de la vieille Europe, puis le silence avait succédé. [...] Ce fut comme une dénégation de toutes choses du ciel et de la terre, qu’on peut nommer désenchantement ou, si l’on veut, désespérance ; comme l’humanité en léthargie avait été crue morte par ceux qui lui tâtaient le pouls. […] Dés lors, il se forma comme deux camps : d’une part les esprits exaltés, souffrants, toutes les âmes