La Baïonnette

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque.    Enfin

une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté ; ensuite la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes. Candide, qui tremblait comme un philosophe, se cacha du mieux qu’il put pendant cette boucherie héroïque.

mourir de part les obus mais aussi des mine placées dans les tranchées qui provoquent beaucoup de morts. Des traumatisme apparaissent durant la guerre. Des traumatismes physiques , ils sont terrible, contenu des armes utilisés ( obus , baïonnette , gaz ) . 15% des morts sont dû a des corps à corps. Les blessures de la face sont multiple , 15000 « gueule cassés » français , pour la première fois ont met en place la chirurgie reconstructif , l'ancêtre de la chirurgie esthétique (grêf italien)

Décembre. 2. Les conditions de combat Les soldats français étaient vêtu de tenus bleu et de casque en acier. Le front est constitué de tranchés reliés par des boyaux d’accès. Les soldats français utilisés des fusils auxquels était fixaient des baïonnettes, les allemands utilisaient des mitrailleuses et dans les deux camps les soldats utilisent de l’artillerie lourde. Les soldats vivent au milieu des cadavres et dans la saleté. Le commandement français réorganise la défense pour pouvoir résister aux

« Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je vous déclare que si l'on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez demander des ordres pour employer leur force ; car nous ne quitterons nos places que par la puissance de la baïonnette. »1 dont l'exactitude est remise en question. 14 juillet 1789 : Prise de la Bastille. 26 août 1789 : Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen. Octobre 1789 : Les bases de la future constitution sont posées. 21 juin 1791 : Fuite du Roi

et surtout en harmonie avec la vie malgré le fait que Candide soit de la chair à canon en plein enfer. De plus, Voltaire, par l’entremise de Candide, se permet de rire des armées au combat grâce au lexique << coquins>>, << boucherie héroïque>>, <<baïonnette>>. À la période des Lumières, le narrateur se servait de ses personnages pour faire passer un message ou laisser transparaitre sa façon de penser. Voltaire était contre les guerres et cela allait à l’encontre de ses valeurs philosophiques, donc

plus proche sur la droite. C'est cette manœuvre que tente de Gaulle quand il entraîne dans cette direction, baïonnette au canon, les quelques hommes valides qui lui restent. Progressant tantôt par bonds, tantôt en rampant, ils sont bientôt submergés, à demi aveuglés par les explosions. Le capitaine roule dans un trou d'obus occupé par quelques Allemands, l'un d'eux lui porte un coup de baïonnette, la lame « pénètre au tiers supérieur de la cuisse gauche pour ressortir au tiers moyen de l'autre côté »

contrepoints (=motif qui se superpose à un autre en ayant une réalité propre). On peut aussi apercevoir de la fumée au niveau de la cathédrale parisienne. Les couleurs sont ternes. * 3. UNE SCÈNE D’ÉMEUTE Ici, le peuple est armé (fusil à baïonnette, pistolet, sabre). Il y a également de la fumée ce qui est sûrement synonyme d’une attaque qui se déroule actuellement. Les révolutionnaires marchent pieds nus sur les cadavres de gardes nationaux. C’est également une scène tragique puisque qu’il

dont une substitution, soit la personnification : « Les canons renversèrent d’abord à peu près six mille hommes de chaque côté; ensuite, la mousqueterie ôta du meilleur des mondes environ neuf à dix mille coquins qui infectaient la surface. La baïonnette fut aussi la raison suffisante de la mort de quelques milliers d’hommes. » (Lignes 3 à 5) qui adoucit le fait que des milliers de gens sont décédés et donne un aspect théâtral. On retrouve aussi deux oxymores« […] du théâtre de la guerre. » et

mondiale, dans la terre des tranchées d’Artois, depuis les derniers mois de 1914 jusqu’en décembre 1915. Barque, Cocon, Tirette, Volpatte, Marthereau, Lamuse, Tirloir, Eudore: tous connaissent l’horreur des bombardements d’artillerie, des attaques à la baïonnette, de la présence obsédante de la mort. Leurs rêves, leurs frustrations, leur angoisse, mais aussi leur camaraderie et leur solidarité tissent l’interminable temps de la guerre, scandé par les morts, les saisons, où dominent la pluie et la boue. Crasse