La Baisse Du Taux D Intérêt Est Susceptible De Favoriser L Investissement Des Entreprises

Section II : Analyses des principales caractéristiques de la crise 14 1. Origine immédiate : la crise des sub – primes 2. Les différents canaux de transmission des chocs financiers a. Canal du coût du capital (ou canal du taux d’intérêt) b. L’effet richesse c. L’importance des effets financiers d. Choc et incertitude Section III : Etapes et diffusion de la crise 20 1. Etapes de la crise 2. Amplification 3. Diffusion de la

dépenses publiques représentent à peu prés la moitié du PIB dans les pays développés). - émettre et gérer la monnaie : (Banque centrale qui définit et met en œuvre la politique monétaire, elle est responsable du maintien de la valeur de la monnaie et des taux d'intérêt et est responsable de la disponibilité de liquidité des banques.) -produire des biens publics : l’état assure toujours certaines responsabilités (santé, éducation, propriétaire des services publiques,…) -gérer des problèmes divers -négocier

d’une insuffisance de fonds propres sur la pérennité d’une entreprise A. L’importance des fonds propres à la création d’entreprise § Le rôle stratégique des capitaux propres B. Les principales causes de faiblesse des fonds propres § Difficultés de la levée des fonds par capital risque § L’ouverture du capital : risque de perte de contrôle C. Insuffisance des fonds propres : Frein à la montée des entreprises § Difficultés d’accès aux crédits bancaires Deuxième partie :

expansionniste afin de limiter leurs déficits commerciaux. Ce type de politique a pour principale conséquence de faire chuter la valeur de la devise américaine. Mais, à partir de 2008 en pleine crise des subprimes, la réserve fédérale américaine décide de baisser ses taux directeurs à un niveau sans précédent. Ainsi, celle-ci pousse à l'extrême sa politique et engendre un déclin brutal du dollar, ce qui évidemment a des conséquences majeures sur l'économie internationale. A long terme, on peut imaginer que cette

avec le Sahara. L’économie Nationale : Évolue sur un rythme de croissance relativement rapide. Elle a enregistré durant les cinq dernières années un taux de croissance moyen de 5%. En effet, en 2001 et dans un contexte de contre performance du secteur agricole, de morosité de la conjoncture internationale, l'économie marocaine a enregistré un taux de croissance estimé à 6,5 % contre 1 % en 2000, 3,2 % en 2002, 5,5 % en 2003 et plus que 8 % en 2006. Les équilibres financiers sont progressivement

essentielles Valeur ajoutée, produit intérieur brut (PIB), revenu par tête, population active, capital, productivité du travail, investissement, formation brute de capital fixe (FBCF) Innovation, taux de rentabilité, taux d’intérêt, demande anticipée Notions complémentaires Indice de développement humain (IDH), développement durable, investissement immatériel, investissement public Épargne, innovation de procédé, de produit et organisationnelle, recherche-développement (R&D), autofinancement, financement

apparaître dans les pays développés un capitalisme patrimonial dans lequel une partie grandissante des salariés devient actionnaire des entreprises par la médiation des investisseurs institutionnels. L’influence prépondérante de ces acteurs financiers imprime sa marque sur la concurrence dans la finance, sur l’allocation des capitaux et sur les comportements des entreprises. Ces effets microéconomiques ont des répercussions macro-économiques. La globalisation financière agit sur les conditions de la croissance

l’ensemble formé par les pays de la zone euro, les consommateurs achètent les produits qu’ils désirent en utilisant l’euro, les entreprises payent leurs salariés en euros, les allocations familiales sont versées en euros… La monnaie est donc ce bien particulier qui n’est pas désiré pour lui-même car il ne procure pas de satisfaction directe, mais pour son aptitude à favoriser les opérations économiques sur les biens d’usage. B Fonctions de la monnaie Si la monnaie ne procure pas de satisfaction

 - Les acteurs de l’économie internationale sont : - les Etats - les institutions internationales - les institutions gouvernementales nationales et régionales - les entreprises multinationales PIB : c’est l’un des concepts les plus importants. C’est la valeur monétaire de l’ensemble des biens et services produits dans une économie pendant une période donnée généralement une année. On distingue le PIB du PNB: le PIB comprend les biens et services produits à l’intérieur des frontières géographiques

peut aussi aller plus loin et donner à l’Etat un rôle social de réduction des inégalités. On parle alors d’Etat Providence. • Les dépenses : il faut répartir ses dépenses car le budget est limité. C’est vrai pour les ménages mais aussi pour les entreprises et pour l’Etat (bien que ces trois acteurs économiques aient de nombreuses divergences et qu’il faille se méfier des comparaisons). La science économique devient donc bien plus large que la simple gestion des richesses et touche des problèmes également