La Balade sauvage

fascinée par leurs visages. En les observant de plus près, je m’aperçus clairement qu’ils étaient habillés avec une élégance hors du commun ; des affaires toutes simples, mais qui revendiquaient avec subtilité des origines griffées. Ils se seraient baladés en haillons que ça n’aurait cependant rien changé à leur beauté et à leur allure remarquables. Tant de classe et de richesse à la fois pouvaient agacer, même si la vie, la plupart du temps, fonctionnait ainsi, hélas. En tout cas, leur apparence ne

fascinée par leurs visages. En les observant de plus près, je m'aperçus clairement qu'ils étaient habillés avec une élégance hors du commun ; des affaires toutes simples, mais qui revendiquaient avec subtilité des origines griffées. Ils se seraient baladés en haillons que ça n'aurait cependant rien changé à leur beauté et à leur allure remarquables. Tant de classe et de richesse à la fois pouvaient agacer, même si la vie, la plupart du temps, fonctionnait ainsi, hélas. En tout cas, leur apparence ne

si longtemps… Non. Le parfum de son âme sœur s’est évanoui. Les larmes lui montent aux yeux. Un violent frisson le secoue. La ville tremble lorsque s’élève un rugissement d’angoisse. -5- « En tout homme, même le meilleur, sommeille une bête sauvage, sans loi, qui relève la tête dans ses rêves. » Socrate (470-399 avant Jésus-Christ) -6- 1 Une semaine plus tard… Une île de la Seine, la nuit, une cathédrale sans âge en toile de fond, les Parisiens à l’avant-scène… Emmaline Troie contournait

les pays de cette planète le font. Ils s’organisent en communautés économiques, pour devenir plus puissants. Vous pensez peut être même que…« La mondialisation c'est très méchant, le capitalisme est entrain de devenir, tous les jours, encore plus sauvage. Plus dérégulé. Le citoyen ordinaire n'a absolument rien à gagner là dedans... ?? ». Vrai et faux en même temps. Cela dépend uniquement de vous. La mondialisation c'est plus d'opportunités, mais plus de menaces aussi. Ainsi, si vous vous décidez à

mangues délicieuses. Le week-end, nous avons fait une belle balade en pirogue jusqu'à l'île voisine. Nous avons eu la chance d'apercevoir des dauphins et avons dégusté le poisson grillé par nos soins. Seul petit problème pour moi, les moustiques sont assez voraces et il faut s'en méfier le jour et la nuit... L'appui apporté aux enfants et aux institutrices mais aussi les échanges spontanés et joyeux avec la population durant les balades dans les rues du village m'ont donné beaucoup de joie et même

à ma mère, il rajouta : On va commencer ton éducation, petit ! Nous allons, entre hommes, au Théâtre des Champs-Élysées, à la matinée de seize heures. Et nous nous y rendrons en voiture, avec la Peugeot 201. Qu’en dis-tu ? Ce que j’en disais ? Une balade en voiture dans Paris, sans Paula pour me chaperonner, avec mon grand-père pour moi tout seul, et au spectacle ! Je n’étais encore jamais entré dans un théâtre. C’est épatant ! Je lui sautai au cou, tout joyeux. Allez, en attendant, regarde donc ce

histoire de boulonnerie : il fallait se mettre d’accord sur les caractéristiques géométriques des pas de vis. Le besoin de normalisation portait à la fois sur la compatibilité entre produits industriels et sur les unités de mesure. Quiconque s’est baladé dans le monde en trimballant le convertisseur de format de prise électrique pour pouvoir brancher son téléphone portable ou son ordinateur en Chine ou en Amérique, connaît bien, a contrario, les avantages de la normalisation. De même, ceux qui, comme

Avec pansements lumineux ? Pas de ma faute : il possède ma propriété . Ce qui est dans le chaos , ne provoquant pas de moi, il ? Oui , c'est lui seul qui a modifié mes propres yeux facciones. -A majorette bientôt rétablir ma beauté , mais il , cerfs sauvages sautant les clôtures et l'herbe pistes pour sortir de leur auberge . Mauvais malheureux ! Je ne suis pas pour elle, mais un dernier plaisir. LUCIANA - . Jalousie que vous vous tourmentez ! Tournez alors ! vous les jetez . Seuls les idiots ADRIANA

rêve est une Égypte et toi c’est la momie Avec son masque d’or Où ton regard va-t-il sous cette riche empreinte D’une reine qui meurt, Lorsque la nuit d’amour t’a défaite et repeinte Comme un noir embaumeur ? Abandonne ô ma reine, ô mon canard sauvage, Les siècles et les mers ; Reviens flotter dessus, regagne ton visage Qui s’enfonce à l’envers. Jean Cocteau, « Rien ne m’effraye plus… » in Plain-chant. © Éditions GALLIMARD. « Tous les droits d’auteur de ce texte sont réservés. Sauf autorisation

le plus discrètement possible, va savoir pourquoi, je pense à Louna. A Louna, à Laurent, et à l’enfant. Trois fois qu’elle m’appelle : « Un conseil, Ben, ton avis. » Qu’est-ce que je peux bien te conseiller, ma pauvre chérie, tu m’as vu ? Pensées sauvages pendant que les couvertures tombent sur le client éparpillé. — Pas beau, hein ? Le petit flic me gratifie d’un gentil sourire. Dans l’état où je suis, c’est mieux que rien. C’est un peu par gratitude que je réponds, sans engagement de ma part :