La Bancarisation Au Benin

15 avril 2002, la fédération est l’organe faîtier des MUCODEC, elle a un capital approprié et assure obligatoirement (13) treize prérogatives. Elle a aussi pour objectifs : Renforcer la citoyenneté en étant encore plus proche de la population (bancarisation, création d’emplois, encadrement des étudiants…) ; L’indépendance des MUCODEC en mettant en place un projet de création de la BCMAC qui sera un outil indispensable au développement des MUCODEC ; elle a créé de SIIMEC pour mieux gérer les systèmes

profit des pays du Sud francophones, et plus particulièrement de l’Afrique. Le - tirage n° 36386 12 Le guide de la microfinance 363 86 microcrédit, qui s’est étendu rapidement dans certains pays parmi lesquels le Maroc, le Mali, le Sénégal ou le Bénin, a plus de peine à se développer dans d’autres. Il suffit parfois d’une étincelle pour allumer le feu et provoquer l’engagement d’un entrepreneur social qui relèvera le défi. C’est le succès que je souhaite à ce livre, destiné autant aux opérateurs

www.bkofafrica.net Date d’agrément : 29 Janvier 1996 Date de début d’activité : 29 janvier 1996 • Aperçu financier Répartition du capital : • African Financial Holding : 66,7 % • Bank Of Africa – Bénin : 8,9 % • Actionnaires nationaux : 9 % • Société Financière Internationale (SFI) : 3,8 % • Cauris Investissement : 7,3 % • Autres : 4,3 %   • Activités et avantages compétitifs Créée en 1996 et filiale du

milliards de F CFA en 2007 à 974,3 milliards de F CFA en 2008 soit un accroissement de 9,3%. Les ressources se sont également accrues de 7,2% passant à la même période de 1 020,9 milliards de F CFA à 1 094 milliards de F CFA (1). Le taux de bancarisation du Mali apparaît comme l’un des plus élevés de la sous région, il est supérieur au taux moyen de l’UEMOA qui est de 6,5%. On estime qu’environ 65 % des crédits sont à court terme, et presque la moitié de ceux-ci sont alloués au secteur du commerce

Monétaire Ouest Africaine 6 LA VIABILITE FINANCIERE DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE INTRODUCTION GENERALE 7 LA VIABILITE FINANCIERE DES INSTITUTIONS DE MICROFINANCE D’après les chiffres du cabinet français Sia-conseil, le taux de bancarisation au Maroc, en 2010 était de 47% dont 6% en zone rurale. Dans la zone de l’union économique et monétaire ouest africain (UEMOA)1, ce taux se tient à un niveau très faible : entre 3% et 7%. Ces chiffres révèlent que dans les pays en développement

se traduire par une progression inéluctable des services marchands. Trois secteurs présentent des potentialités de croissance considérables : le secteur de la banque, le secteur des assurances et celui de la grande distribution. Le taux de bancarisation, de l’ordre de 20%, est encore faible au Maroc. Les grandes banques commerciales mènent des politiques actives d’extension de leurs réseaux (cf. B.1.5.) pour collecter de nouveaux dépôts et bancariser de nouvelles populations. Par ailleurs, la

émergeant est de 1 111 000 000 habitants (2013), la moyenne d’âge est de – 18 pour 47% de la population du continent. L’Afrique de l’Ouest qui est la zone géographique dans la quelle ce situe le pays ou le lancement produit à lieu est constitué du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun,   15   de la Côte-d’Ivoire, du Gabon, de la Gambie, du Ghana, de la Guinée Equatorial, de la Guinée Bissau, des îles du Cap-Vert, du Liberia, du Mali, du Niger, du Nigeria, de Sao Tomé et Principe, du Sénégal

l’insolvabilité des producteurs, l’absence de garanties constantes, les séquelles du crédit coopératif qui a précédé l’intervention de la CNCAS, les mises en place des financements en des périodes inopportunes (hors campagne), la faiblesse de la bancarisation des pêcheurs. Les difficultés d’adaptation institutionnelle : problèmes de la CNCAS à situer le secteur des pêches dans son organisation ; absence de circuit approprié des demandes de crédit. 22 23 Système informel de financement Le système

1. L’IMPACT FINANCIER DE LA MICROFINANCE : L'apport majeur de ces vingt ans de développement en Afrique de l'Ouest est la création d'un tissu d'institution de microfinance (IMF). En fin 2004, on recensait dans les huit pays de l'UEMOA : Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Guinée Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo 303 institutions offrant 2.778 points d'accès et bénéficiant à 4,3 millions de personnes. Ces institutions mobilisent 116,8 milliards FCFA d'épargne et avaient un encours de

enquête (année 2002) menée par la Banque Mondiale auprès de 500 établissements bancaires du continent, le Sénégal est le seul pays de la zone franc dont l’ensemble des établissements affiche un total du bilan en hausse. Aussi, l’étude sur la bancarisation de l’économie sénégalaise réalisée en 2003 par l’ex Unité de politique économique montre que les banques (établissements financiers y compris) accordent de plus en plus de crédits destinés au financement de l’investissement et de l’exploitation