La Bce Taux Directeurs

Introduction A. Définition de la monnaie B. Le fonctionnement institutionnel de la BCE C. Pourquoi étudier la monnaie et la politique monétaire ? 1. Activité bancaire et création monétaire 1.1 La création monétaire 1.2 Le risque bancaire 1.3 Le rôle de la banque centrale 2. Une brève histoire de la pensée monétaire 2.1 La théorie quantitative 2.2 La doctrine des effets réels (real bills doctrine) 2.3 Wicksell et le taux d’intérêt monétaire 2.4 L’apport keynésien 2.5 La vague monétariste 2.6 La convergence

période d’inflation marquée entre 1973 et 1980, après les 2chocs pétroliers avec des taux supérieurs à 10%. Les 30 glorieuses, elles-mêmes, ont été marquées par une période assez inflationniste avec des taux en moyenne égaux à 5%. Les pays développés et un moindre degré, les pays en développement ont enregistré un tournant dans l’histoire économique au cours des deux dernières décennies avec une baisse importante des taux d’inflation amorcé au début des 80’s. Les politiques de désinflation engagées

sur une période suffisamment longue. Taux directeurs : Taux d’intérêt au jour le jour fixés par la Banque Centrale, qui permet de réguler l’activité économique. Acteur de l’économie réelle : personne physique ou moral prenant des décisions d’ordre économique (exemple d’acteur : individu, ménage, entreprise, pays, collectivité territoriale ...). Expliquer le paragraphe en gras -> Dans ce paragraphe, on nous dit que les banques pourront emprunter avec un taux d’intérêt encore plus bas qu’avant : le

| |L’inflation et la politique de stabilité du niveau général des prix. | 1. À quoi correspond un « mouvement de désinflation généralisé » ? La désinflation désigne la baisse du taux d’inflation. La hausse des prix observée dans les pays industrialisés dans les années 1970 était de l’ordre de 15 %. Au cours des années 1980, nous avons assisté à une baisse des prix, dans tous les pays industrialisés, qui se situent dorénavant aux

les créances qu'ils détiennent sur des entreprises ou des particuliers en titres négociables. Ad hoc Ré intermédiation = Fed = réserve fédérale des états unis = banque centrale des états unis BCE = banque centrale européenne Pools de crédit = ensemble de crédits OSBL= Organisme Sans But Lucratif Taux d’intérêt : prix du capital qui détermine les montants versés par l’emprunteur et de ce fait, le montant reçus par le prêteur. Marché monétaires : marché de l’argent à court et moyen terme, ouvert

marché de la monnaie : l’offre de monnaie est une variable déterminée par les autorités monétaire. Equilibre global graphique IS LM (haut) On peut aussi répondre que chez Keynes l’investissement n’est pas une variable qui dépend systématiquement du taux d’intérêt.   Monnaie et politique monétaire • Le monde néoclassique d’avant Keynes Individus autonome : Il n’y a pas de marché de la monnaie, ce marché est peuplé d’individus qui n’ont pas besoin de monnaie pour vivre. Tous les individus sont

▪ La politique des taux d’intérêt qui consiste à renchérir les coûts de refinancement. La Banque centrale européenne utilise essentiellement la politique de taux d’intérêt. EXERCICE : Depuis la création de l’euro en janvier 1999, la Banque Centrale européenne (BCE) contrôle la politique monétaire européenne et veille à la stabilité de l’euro. Au cours d’une année, à plusieurs reprises, la BCE peut faire varier ses taux de refinancement (appelé taux directeurs). 1. Quels sont

épargne-logement, etc.) détenus par les agents non financiers auprès des institutions financières monétaires (IFM). Ces agrégats se distinguent par les degrés de liquidité des éléments qui les composent. Au sein de la zone euro, la Banque Centrale Européenne (BCE) a établi la classification suivante : • M1 est un agrégat étroit qui regroupe tous les moyens de paiement, au sens strict du terme, en euros : pièces, billets, avoirs en comptes chèques ; • M2 (souvent assimilé à « la masse monétaire ») regroupe

équilibredu commerce extérieur) font l'objet de vifs débats chez les économistes. Si, dans la zone euro, lescontraintes institutionnelles rendent délicate la mise en œuvre cohérente de la politique monétaire unique dela Banque centrale européenne (BCE) et des politiques budgétaires des dix-sept Etats membres de l'Unionéconomique et monétaire (UEM), ces instruments demeurent indispensables pour lutter contre les criseséconomiques et éviter la récession. De quelle manière les politiques monétaires

l'Europe peut s'appuyer pour limiter les effets négatifs et tirer les leçons pour l'avenir : - si la stabilité des taux directeurs de la BCE a été jusqu'à présent justifiée par les tensions sur les prix et la résistance apparente de l'économie de la zone euro, les nouveaux signes de ralentissement devraient réduire le risque inflationniste et conduire la BCE à abaisser graduellement ses taux d'intérêt à partir du second trimestre 2008. - L'Espagne, le Royaume-Uni et l'Irlande, qui sont exposés au recul