La Beauté du geste

héroïque de ce passage ? 1 er mouvement L’aveu témoigne du désire de transparence de la princesse et de sa foi dans sa compréhension du prince. L’interjection « Eh bien ! » marque l’effort à livrer cette confession, et le geste accompagne la parole comme au théâtre « en se jetant à ses genoux »(l.2). L’hyperbole « que l’on a jamais fait à son mari » (l. 3) souligne t-elle l’héroïsme ou un excès de vanité, le terme de « mari » (l.3) prend tout son sens car il s’agit d’une

la pomme de discorde, s'attirant, par ce geste, l'inimitié des deux autres déesses. Pâris sachant à présent, qu'il est un des fils de Priam se rend à Troie pour participer aux jeux et remporte toutes les épreuves. Il se fait alors connaître de son père qui est content de le retrouver si beau et si fort. Il peut désormais habiter le palais.En allant chercher Hésione chez Télamon, sur les ordres de Priam, il entend sur le chemin tout le monde vanter la beauté d'Hélène. La promesse d'Aphrodite lui revient

ces premiers mots, les amants entrent en scène. - Le poète porte une attention particulière à Marie en lui envoyant un "bouquet" vers 1 : cette attention est renforcée par la mise en valeur du COD à l'hémistiche du vers. -> la simplicité de ce geste participe à la manifestation de son amour. - "trier" vers 2 suppose un choix affirmant la délicatesse de son attention déjà présente dans "que ma main vient" vers 1 et renforcé par le pronom démonstratif "ces fleurs". - L'emploi du présent rend l'action

vous pourrez voir la plus impressionnante merveille que la nature a créée depuis que ce monde pouilleux a commencé d’exister. Une femme, d'une beauté telle, que le sultan d'Orient lui-même, a dit "Je n'ai jamais rien vu de pareil", et il lui offrit trois mille puits de pétrole uniquement pour accéder à ses désirs ; elle le rejeta. Mais à côté de cette beauté sculpturale, est soudé un corps dur et velu, un corps facilement reconnaissable en celui d'une araignée géante. Oui, mesdames et messieurs, une

et cultivé.  I/ Dramatisation d'une lettred'amour: La structure du poème montre l'ambiguité de Baudelaire par rapport aux femmes, qui sont pour lui, des objets de culte autant que d'horreur. Ainsi, les quatres premières strophes célèbrentla beauté éclatante d'une femme qui est « trop gaie ». Le présent de l'indicatif permet de décrire la femme.  Les cinq dernières strophes sont radicalement opposés au portrait de la femme, ellesdécrivent l'autoportrait du poète. C'est le vers seize « Je te

marchandise, les femmes sont décrites comme des bêtes. La beauté de la femme est ici dévalorisée. Ainsi la femme n’est plus considérée comme humaine, je cite « elle se tint à distance, sans souffler mot », elle se tient comme un animal qui attend un geste de son maître. Toujours p.34 « La femme attendit, mais Sid Ali esquissa un geste et ne proféra pas une parole de plus. La femme s’éloigna », dans ce passage Sid Ali lui fait un geste pour lui dire de partir et la femme obéit comme un animal à

modernes et contemporains de son époque, on remarquera cependant que l’écriture poétique s’éloigne de cette réalité pour aller vers une transfiguration de la vie, ce qui veut donc dire que les appels poétiques de ce quotidien peuvent être à la fois un geste esthétique et moral. Certes le quotidien est inspiré des problèmes modernes et contemporains de son époque. La poésie lyrique s’inspire notamment de l’amour et de la mort, et puise ses images dans la nature. Le registre lyrique change à partir

construisent l'expression d'une idée : champ lexical, figures de style, jeu sur les connotations) de la victoire, du succès = deuxième sous axe Le narrateur recourt au champ lexical de la victoire et du succès : « eut un succès »/ « le triomphe de sa beauté » / dans la gloire de son succès » pour souligner combien Mathilde brille dans ce bal et connaît alors la réalisation de l'un de ses rêves les plus chers. Cette idée se trouve renchérie par la gradation lignes 115-116 : « tous ces hommages, de

une bête je suis devenu, et le monstre à faim…. Bryan : (de l’autre côté des plantes, bruit de la jungle) Oh my god je suis perdu, moi qui voulait seulement cueillir des fleurs pour décorer ma hutte… (soupir) Ma peau est détruite, ma beauté gâchée, mon visage ruiné et mon âme de jeune vierge pure anéantie… (re soupir) Oh non Brian, tu ne vas pas mourir ici, pas comme ça, tu vas devenir animal toi aussi et survivre ici, oui tu peux le faire !!! ( Il imite les animaux, le gorille, la

pas une énigme pour moi. »[1] de son idéal dont il ne rapporte quasiment aucun geste donnant une ouverture sur le monde caché qu’il cherche, alors que l’incarnation précédante du surréalisme, c’est à dire Nadja, lui donne preogressivement « (…) de plus en plus de peine à suivre son soliloque, que de longs silences rendent intraduisible. ». En effet, à la fin du texte, Breton pose le très éloquent et lapidaire « La beauté sera CONVULSIVE ou ne sera pas. » qui semblerait justifier la supériorité ponctuelle