La princesse de clèves, l'aveu au mari iii
Elle avoue sa faiblesse « laisser paraître »(l.7) en terme morale qu’en terme sociale. La princesse avoue sa faiblesse, on comprend que la passion n’est pas digne de son rend et sa résolution de « de m’éloigner de la cour » (l.4) est un désire de fuite. Ça conduite témoigne d’un manque d’autonomie « si j’avais encore Mme de Chartes pour aider à me conduire »(l.7-8). Nous avons deux propositions sub circonstancielle de condition « si vous me laissiez la liberté » « si j’avais encore Mme de Chartes » elles placent la princesse en position d’objet elle est désignée par le pronom « me » elle se place en position de victime, héroïne tragique, pathétique qui ne …afficher plus de contenu…
La gestuelle du princesse appartient aux codes picturaux du désespoir « la tête appuyé sur ses mains »(l.22-23). Nous pouvons lire ici l’influence de la tragédie en effet nous avons une mise en scène dramatique de l’aveu avec l’agenouillement « la tête entre ses mains » «le visage couvert de l’armes » « la beauté si admirable »(l.25-26). La princesse montre par ses gestes des signes de sensibilité. Il existe dans le texte une sorte d’éloquence gestuelle. L’immobilité de Mr de Clèves fait comprendre le retentissement d’un tel aveu pour lui, son immobilité est lien à sa réaction. L’étonnement est ici lié a l’héroïsme.Messieurs de C est si touché et surpris qu’il reste « hors de lui même