La Beauté Du Diable Aragon

des guerres de religion (1560-1598) 3 . La guerre plane toujours et fait partie des disciplines enseignées au prince, notamment dans les livres d’éducation des princes. Les représentations artistiques de la guerre font émerger de nouveaux canons de beauté, idéalisant la violence dans un but politique : l’Etat confisque cette violence à son profit et se dote d’armées à son service4, dont les missions au fil du temps sont autant de préserver la paix intérieure que de porter au-delà de ses frontières

JOSEFA __ Moi, vous cacher? DON CARLOS __ Ici. DOÑA JOSEFA __ Jamais. DON CARLOS, tirant de sa ceinture un poignard et une bourse.__ Daignez, madame, choisir de cette bourse ou bien de cette lame. DOÑA JOSEFA, prenant la bourse. __ Vous êtes donc le diable? DON CARLOS __ Oui, duègne. DOÑA JOSEFA, ouvrant une armoire étroite dans le mur. __ Entrez ici. DON CARLOS, examinant l'armoire. __ Cette boîte! DOÑA JOSEFA, refermant l'armoire. __ Va-t'en, si tu n'en veux pas. DON CARLOS, rouvrant l'armoire. __

de diversification de ces formes (la Renaissance au xvie siècle, le classicisme et le baroque au xviie) par une extrapolation allant jusqu’au xixe (Le Parnasse) et au xxe siècles. Ceci afin de porter une attention particulière aux œuvres (Valéry, Aragon, Bosquet par exemple) qui, en dépit des bouleversements initiés par les romantiques et surtout par les modernes (voir Séquence 3, consacrée au « poème moderne, p. 208 du manuel), ont manifesté un attachement à la tradition du vers rimé. Bien évidemment

épopée par la vie tumultueuse de la cathédrale, mais ila aussi un caractère symbolique grâce à la construction des personnages qui incarnaient des idées abstraites (Quasimodo = laideur et bonté, Claude Frollo = concupiscence et ascétisme, Phoebus= beauté stupide). Le roman historique et le romantisme : Le roman historique (ambition de saisir les élémens d'un vaste conflit historique ds une période de crise) coïncide avec l'avènement du romantisme. Mais le roman historique comporte un paradoxe majeur

atmosphère joyeuse, règnaient la paix et l'amitié, où tous les biens matériels, de même que les productions, étaient mis en commun. Robert Desnos y vint pour voir les premières toiles de Tanguy, et fut suivi des autres membres du groupe surréaliste, Louis Aragon, André Breton, Michel Leiris, Marx Ernst, Antonin Artaud, Georges Sadoul, Raymond Queneau, etc., qui devinrent des habitués, firent de « la rue du Château » l'un de leurs lieux préférés. Ils y élaborèrent plusieurs de leurs jeux d’écriture automatique

C’est un blasé, un oisif. Il est atteint d’une maladie : l’ennui, aux conséquences fatales. Détaché ainsi du monde, il néglige l’amour de Tatiana pour son malheur et celui des autres. Pouchkine possède l’art de suggérer. En peu de mots il dépeint la beauté de la nature, la paisible vie provinciale qui contraste avec l’éclat des bals de la capitale et le verbiage insipide des mondains 10  Boris Godounov (1825-1831) Boris Godounov, boyard proclamé Tsar de toutes les Russies, a atteint le pouvoir suprême

n'aime pas son école, accompagne le jeudi son père chez les pauvres, fréquente les salles de ciné puis une école religieuse. 1914 : certificat d'étude et arrêt des cours. 1920 : Rencontre Tanguy. 1921 : Duhamel. 1925 : Mariage avec Simone Dienne. Aragon. Breton. Rue du Château. 1927 : Queneau. Texte des surréalistes en faveur de Charlie Chaplin. 1928 : Tournage de Souvenirs de Paris, court-métrage auquel collaborent Duhamel, Man Ray et Prévert. 1932 : Groupe d'Octobre. 1933 : traite de l'accession

cacher ? DON CARLOS. : : :Ici. DOÑA JOSEFA. 7 : : : :Jamais. DON CARLOS, tirant de sa ceinture un poignard et une bourse. : : : : : : :Daignez, madame, Choisir de cette bourse ou bien de cette lame. DOÑA JOSEFA, prenant la bourse. Vous êtes donc le diable ? DON CARLOS. : : :Oui, duègne. DOÑA JOSEFA, ouvrant une armoire étroite dans le mur. : : : : : :Entrez ici. DON CARLOS, examinant l’armoire . Cette boîte ! DOÑA JOSEFA, refermant l’armoire . :Va-t’en, si tu n’en veux pas. DON CARLOS, rouvrant l’armoire

vivent leur amour coupés du monde, jusqu'à ce que celui-ci les rattrape. Commentaire Cette histoire autobiographique d'un amour sain, vrai, mais impossible, torturé par l'adolescence et la situation de la jeune femme, qu’on put comparer au ‘’Diable au corps’’ de Radiguet, est écrite avec tact et douceur. L’auteur ne tombe jamais dans la facilité, ne lance pas de protestations contre la religion ou la société. Certes, ses personnages souffrent, mais ne se révoltent pas, même si leur passion est

sublime de la terre et ça me transporte mais ça m’effraie. J’ai des défauts qu’il ne me trouve pas, j’ai des faiblesses qu’il ne voit pas en moi, je n’ai en revanche pas tous les mérites qu’il me décerne et je n’ai surtout pas toutes les qualités et la beauté intérieure qu’il me prête. Je suis juste une femme, simple et compliquée à la fois. Ca me fait un peu peur, j’avoue, parce que je ne voudrais pas qu’il soit déçu un jour, en réalisant que je ne suis pas aussi bien qu’il le croit. Comment lui dire