La Beauté Est Elle Nécessaire à La Vie

cultivé pour apprécier l’art ? Le mot art, du latin Ars, artis « habileté, métier, connaissance technique », est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, consistant à arranger entre eux divers éléments en s'adressant délibérément aux sens, aux émotions et à l'intellect. L'art, dorénavant, englobe principalement les produits des « beaux arts » tels que la sculpture, la peinture, la musique, la danse et la poésie (et donc la littérature), auxquels on ajoute fréquemment

Le désir  Pourquoi commencer le programme par le désir ? La philosophie est une sorte de désir, le désir de comprendre (philo=philen=désirer). Il n’existe pas de désir qui ne soit actif, au commencement de toute action se trouve du désir. La vie en elle-même est le fruit du désir d’un homme et d’une femme, et chaque homme désire de vivre naturellement (sinon il se laisserait mourir).  Aujourd’hui, le désir est accentué par la publicité qui transforme tout et n’importe quoi en objet de désir

significations ou à travers le temps. Comment évolue ce luxe ? Trois documents traitent de ce sujet. Un poème de Voltaire de 1736 intitulé « Le Mondain », il parle du luxe à l’âge d’or et à l’âge de fer. Puis, une préface « qui sais-je ? » de Jean Castarède de 1992 intitulé « Le luxe ». Et enfin, une publicité de 2007 pour le parfum Miss Dior chérie. Le luxe se définit comme un objet, un service, qui correspondent à des gouts recherchés, couteux et non aux besoins ordinaires de la vie. Le corpus

héros, l’ode1 vise bien à célébrer une personne ou un événement, il n’est pas jusqu’au registre élégiaque qui, s’il déplore les souffrances liées à la mort ou à l’amour, ne revienne à valoriser la vie et le sentiment amoureux. Dès lors, on peut se demander si la poésie n’est pas forcée de n’évoquer que la beauté des choses et des êtres, sans pouvoir aborder le mal ou la laideur du monde. La poésie ne doit-elle parler que de ce qui est beau ? Sa seule fonction se limite-t-elle à louer le monde ? Ne pourrait-elle

approche esthétique fondée sur quelque chose fondée sur le gout , mais un gout basé sur la passion burke va insister sur le sublime comme une cause a avoir avec la passion la douleur voir le danger. se qui sépare le beau du sublime mais satisfait l’attente .. le beau satisfait ne provoque pas le tumulte dans se que nous fait vivre . Burke reprends a sont compte se qu’évoquait longin toujours dans cette même expérience de la douleur on est au dela de la raison le sublime est une expérience exceptionnelle

l’art s’identifie à l’artisanat. L’origine étymologique va dans ce sens : l'étymologie latine « ars » est l'équivalent du grec « teckne ». L’art est alors savoir-faire ou technique, et vise à produire des choses utiles. Avec la modernité, qui remet en question toutes ces catégories établies, rien de tout cela n’est plus certain. C'est un des aspects du désenchantement du monde : le Beau, de même que le sens, le juste et le bien ne sont plus issus de la Nature, mais sont incertains et à définir. La modernité

français du XIXe siècle, estimait dans L’Art poétique que “celui qui n’est pas capable de tout peindre [...] tout ce qu’il y a de plus doux et tout ce qu’il y a de plus horrible [...], celui-là n’est pas vraiment poète dans l’immense étendue du mot”. La poésie cherche avant tout à produire de beaux énoncés. Ainsi, Baudelaire affirme qu’il est possible et même indispensable de le faire à partir de sujets admis comme poétiques mais surtout avec des objets abjects et répugnants donc choquants, car ceux-ci

le 24 mars 1834 à Walthamstow (Essex) et mort le 3 octobre 1896 à Hammersmith (Londres), est un fabricant designer textile, imprimeur, écrivain, poète, conférencier, peintre, dessinateur et architecte britannique, célèbre à la fois pour ses œuvres littéraires, son engagement politique, son travail d'édition et ses créations dans les arts décoratifs, ainsi qu’initiateur du mouvement Arts & Crafts, domaine des plus importantes en Grande-Bretagne au XXe siècle. Tout le long de sa vie, William Morris

il est vrai qu’il y a cent manières d’en écrire, mais il existe tout de même pour tous, un principe essentiel : ils valent selon la réalité qu’ils enferment, selon ce qui est en eux d’humanité. La valeur d’un roman se mesure à ce qu’il contient d’observation, non à ce qu’il contient d’imagination. Sa principale beauté, c’est d’être une peinture réelle de la vie. » Vous commenterez et discuterez ce propos en vous appuyant sur des exemples précis tirés des œuvres inscrites à votre programme.

image de malheur, car il est maudit sur la terre et même par sa mère « Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! » v. 7-8, mais dans cette image de désastre on trouve une lueur d’espoir car le poète est béni dans les cieux « Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange » v. 21. Dans « l’Albatros », le poète se compare à l’albatros : un oiseau majestueux dans les cieux, et maladroit sur la terre « Le Poète est semblable au prince des nuées » v. 13