La Beauté Est Elle Subjective

tendance à confondre le beau et l’agréable. Quand je dis qu’une chose est belle, je ne parle pas de moi mais bien d’une valeur, d’un code qui a établit que cette chose était belle. Dire « cela me plait » et dire « c’est beau » ne revient pas au même. La beauté doit être ressentie du fait des qualités de l’objet et non pas du ressenti singulier du sujet. Ainsi, l’agréable ne renvoi qu’a mon intérêt propre, c’est pour cela qu’il retire son impartialité au jugement de goût. A l’inverse, le beau implique une

son portrait. Il faut donc faire une différence entre la réalité que l’on voit et la réalité représentée par le tableau. Kant oppose déjà « une belle chose et la représentation d’une belle chose ». Nous avons tendance à confondre la beauté représentée et la beauté de la représentation. Nous avons tendance à croire que pour rendre belle une représentation, il suffit que l’objet soit beau. « L’intolérance esthétique a des violences terribles » P. Bourdieu (p. 582) Le mot « art » désigne tant de

sa fascination du miroitement de la beauté dans la mer. Il dira : "l'océan est le père de toutes choses". Évoquant ainsi le mythe de Narcisse. La question de la limite de l'horizon évoque un sentiment d'infini autant qu'un sentiment de finalité, de mesure et de démesure, de visible et d'invisible. L'expression d'un visage dépasse la beauté du visage en lui-même. De la beauté objective, qui est de l'ordre du bien fait, symétrique naît la beauté subjective, de la représentation et de l'évocation

les expériences variées de la vie d’adulte, l’impact des médias, la conformité du corps et du visage dans une société orientée vers le « beau », le « mince » (voire l’ultra-mince), le « jeune » vont poursuivre cette construction. Cette notion subjective qu’est l’image de soi concerne à la fois la représentation que la personne a d’elle au sens propre telle qu’elle voit dans un miroir ou sur une photographie – et la représentation et la résonnance de cette image au sens figuré et parfois fantasmé

expression de l’imagination créatrice du peuple L’art a presque toujours été considéré par certains philosophes, théologiens et mêmes théoriciens de l’art comme la simple représentation du beau. L’affirmer, c’est réduire l’art à être une expression subjective du goût. A ce niveau, il devient un champ de bataille où on utilise pour seule arme le goût. L’art est plus que cela : il est aussi l’expression de l’image créatrice d’un peuple1. En cela il reflète l’histoire de ce peuple qu’il porte dans sa totalité

A quoi sert une œuvre d’art ? Introduction L’art désignerait toute activité humaine visant à la création d’œuvre exprimant un idéal de beauté. La difficulté consiste à distinguer l’œuvre d’art d’un objet technique, d’un produit industriel ou artisanal. Les différents critères mis en avant comme la beauté, l’originalité, le caractère unique, l’absence d’utilité sont sans cesse remis en cause par l’art contemporain. Pourtant intuitivement, nous sentons bien la différence entre une œuvre d’art

concept universel, puisqu'il porte toujours sur un cas parti¬culier ; c'est un jugement réfléchissant dont l'universalité réside dans l'accord des sujets ; c'est pourquoi le beau est défini comme « ce qui plaît universellement sans concept » ; « la beauté est la forme de la finalité d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » Analyse : • La sensibilité est ce qui fait le lien entre la perception et l’aperception. Par les cinq sens externes, nous percevons le

premières lignes (ouvertures du texte) on souligne exceptionnelle beauté du personnage → hyperbole :« beauté parfaite » l 2 qui « attira les yeux de tout le monde »l1 c'est donc déjà un personnage qui se démarque par sa beauté malgré qu'on soit dans un lieu ou on n'est habitué à voir de belle personne (l3-4) l'anonymat est préservé dans ces première lignes nous avons aucun éléments physiques = beauté subjective mais incarnation de la beauté quand même l 28-32 le portrait se précise à la fin nous

En
mettant
en
commun
ces
quatre
définitions,
on
en
retire
que
l’esthétique
est
un
nom
 féminin,
qui
désigne
une
science,
une
théorie,
ou
bien
encore
une
étude,
dont
les
objets
 peuvent
être
multiples.
Mais
quels
sont
ces
objets
?
 Ceux‐ci
sont
on
nombre
de
cinq
:
 ‐ La
beauté
 ‐ L’art
 ‐ La
nature
 ‐ Le
sentiment
ou
la
sensibilité
:
ce
que
le
spectateur
éprouve
lorsqu’il
est
en
 contact
avec
une
œuvre,
ou
ce
dont
il
se
nourrit
l’artiste
pour
créer,
ou
encore
ce
 qu’il
veut
transmettre,
etc.
 ‐ Le
jugement
d’appréciati

nuisibles des forces naturelles ; enfin, au delà de son usage technique, par cette connaissance purement humaine, l’homme peut connaître des joies incomparables à se reconnaître comme capable de connaître le monde dans sa vérité ordonnée et donc sa beauté. Il convient donc de lire et d’étudier ce texte pour dégager les arguments de Descartes en tant qu’ils inaugurent la pensée moderne, comme pensée des Lumières et des individus (le cogito) dans leur effort pour se libérer de l’obscurantisme magico-religieux