La Beauté Existe T Elle

1ere L SOMMAIRE *INTRODUCTION : P.1 I/ LA SOCIÉTÉ FORMATE L'INDIVIDU : P.2 A/ DES CANONS DE BEAUTÉ DIFFERENTS SELON L'EPOQUE : P.2,3,4 B/ DES CANONS DE BEAUTÉ DIFFERENTS SELON LA CULTURE ET LE LIEU : P. C/ UNE UNIFORMISATION DES CANONS DE BEAUTE : P.5 II/ L'INDIVIDU FAIT LA SOCIÉTE : P.5 A/ LES DISTINCTIONS : P.6 , 7 , 8 , 9 B/ LES RUPTURES : P.10 , 11 C/ UNE FAUSSE LIBERTÉ : P. 12 *CONCLUSION : P.13 *REMERCIEMENTS : P.14 *BIBLIOGRAPHIE : P.15

naturel et notre constitution ou notre nature ne sont pas spontanément en harmonie, parce que nous ne pouvons nous procurer ce dont nous avons besoin pour vivre qu'en le fabriquant. Nous travaillons pour adapter la nature à nos besoins. Le travail existe parce qu'il nous faut transformer la nature pour l'adapter à nos besoins et ainsi assurer notre survie. Telle est la raison d'être ou la raison suffisante du travail. Ce qui nous donne une première définition du travail : il y a travail partout où

proportionnée pour faire des enfants. La beauté est une forme adaptée à sa fin. Cela permet de donner un critère objectif de beauté. Il s’agit là d’une beauté finalisée, qui confonds choses naturelles et choses artificielles. Or, si les choses artificielles servent à quelque chose, il est moins évident d’assigner une fin objective à un être naturel (ex : la fin d’un arbre ou d’un ruisseau ?). La beauté objective confond le beau et l’utile. Mais la beauté semble aussi liée à la jeunesse, à la santé

DOSSIER NOCIBE PREMIERE PARTIE Nocibé est le troisième réseau de parfumeries et de cosmétiques et le premier réseau d'instituts de beauté en France. Elle se place en seconde position en termes de chiffre d'affaires. Sa part de marché s'établit à 15,9% sur le marché de la distribution sélective. HISTORIQUE Les grandes étapes du développement de la société : Une idée novatrice 1984 : Nocibé, c'est d'abord l'histoire d'un homme, Daniel Vercamer, qui ouvre la première parfumerie Nocibé

particuliere dans le domaine de beaux-arts . L’utilite de la poesie, la peinture ou d’un autre ‘branche’ artistique est tres discutable. L’art trouve sa fin en lui-meme et non pas en vue de quelque chose d’exterieur a lui-meme. Il vise sa propre beaute , sans aucun interet . exemple : Cette definition s’exprime dans la theorie de l’art pour l’art. Pour les parnassiens, celui ci est utile parce qu’il est art ;

juger ce qu’est le beau car il fait l’objet d’un jugement de goût, avant tout, désintéressé. C’est alors que nous pouvons nous demander si la beauté de l’art dépend du jugement que l’on porte sur une œuvre. Nous verrons que beauté et art sont parfois indissociables mais que l’art, pour certains artistes, n’a rien à voir avec l’esthétique et puis que la beauté étant une notion subjective la perception et la compréhension d’une œuvre d’art est remise en cause. Peu à peu l’idée s’installe selon

La beauté : nouvelle aptitude à vous donner du plaisir ! SOMMAIRE Introduction Page 3 Diagnostic Interne Page 4 à 7 Diagnostic Externe Page 8 à 42 Partie Stratégique Page 43 à 48 Partie Opérationnelle Page 49 à 65 Conclusion Page 66 - 67 Annexes Page 68 à 74 INTRODUCTION L’industrie des cosmétiques comprend « tout produit destiné à être mis en

pétrolières. Ainsi est considéré comme étant cosmétique : Des produits d’hygiène (déodorant, gel douche, savon, shampoing, gel douche et bain de bouche) Des produits pour soin du visage (gommage, crème de nuit, crème anti ride, masque de beauté…) Des produits de maquillage (mascara, poudre, eye liner, fond de teint, rouge à lèvres…) Les parfums (eau de Cologne, parfums, eau de toilette, eau de parfum) Les produits solaires, pour le rasage, pour bains et douches ainsi que pour

l’art désigne « les Beaux-Arts », c’est-à-dire la production spécifique d’objets dont on (qui ?) reconnaît la valeur esthétique, ou encore la beauté. En ce sens, l’art semble s’opposer à nouveau radicalement à la technique : alors que cette dernière vise l’utilité et obéit à des critères d’efficacité, l’art ne semble préoccupé que de la beauté de l’œuvre, beauté toutefois protéiforme et problématique en raison de sa résistance propre à toute tentative définitionnelle… représentations courantes

nous heurtons à l’extraordinaire multiplicité des formes qui nous interdit de dégager l’unité , c’est-à-dire l’essence : On ne définit que des essences , on décrit des choses singulières . On ne définit pas un insecte mais l’insecte . Pour qu’il existe une définition de l’insecte , il faut qu’il y ait des caractères communs , des ressemblances entre les objets à définir mais quelle ressemblance entre le portrait de la du Barry et une tête de Maori ? Entre une pyramide faite pour l’éternité et le