La Beauté Sera Convulsive Ou Ne Sera Pas

Littéraire Comment la beauté, selon la définition des surréalistes donnée dans Nadja, peut-elle être « CONVULSIVE » ? I.Des concepts traditionnels rejetés. a.L’éternité de la beauté b.L’utilité de la beauté c.La recherche consciente de la beauté. II.Une évolution perpétuelle et nécessaire. a.Une transformation constante b.Un « nœud de désirs » c.Une beauté liée à la vie Une beauté « bouleversante » a.La beauté des émotions b.La beauté de l’inattendu c.La beauté est dans l’action et

sur l'oeuvre --> travailler sur le " beau". Qu'est ce que le "beau" en philo ? -> la beauté n'a jamais été définit par les surréalistes, aucun écrit esthétique. Cependant les surréalistes vont tenter de définir le concept de la beauté : fin de NADJA Breton hésite entre ne catégorie esthétique générale et un genre particulier qui est celui de la poésie --> L'étude de la beauté fait constamment référence à des objets évocateurs, les objets cristallisent tous les désires sans être

particulier au réel. Bien que ce rencontre soit la partie central, ce livre est également une réflexion sur la quête du poète, sur le moi et l’inconscient dans lequel Breton dévloppera l’idée de la « beauté convulsive ». La beauté convulsive est donc ainsi une beauté nouvelle (par rapport à la beauté classique) qui n'est pas « ni dinamiqu ni statique », en ce sens qu’elle est débusquée là où habituellement on ne va pas la chercher: dans la vie elle-même. Dans Nadja André Breton expérime un rapport

et la réponse exquise, enfantine, à peine soupirée, parfaite : "Ah ! Oui, on le fait ici, l'on dîne !" Est-il plus touchante scène ? Je me le demandais hier encore, en écoutant les artistes de l'atelier massacrer une pièce de John Ford. La beauté convulsive sera érotique-voilée, explosante-fixe, magique-circonstancielle ou ne sera pas. Pour le commentaire... L’approche de certains textes modernes peut paraître déroutante : le fonctionnement de la pensée n’utilise pas la logique habituelle

correction on fait les bandits » . L'histoire de Nadja est terminée mais le récit se poursuit par la célébration de sa nouvelle passion amoureusse, Suzanne Muzard. Sa définition de la beauté ferme le livre et propose une réponse au « Qui suis-je? » et au « Qui vive? » : « La beauté sera CONVULSIVE ou ne sera pas... » (Krása bude KRČOVITÁ, alebo nebude...) Bibliographie : http://www.fichesdelecture.com/analyses-litteraires/andre-breton/nadja/resume http://www

Joconde et Guernica, témoignent de l'opposition de deux esthétiques : au sourire énigmatique du premier, expression souveraine de l'intelligence, s'oppose la beauté « convulsive » du second qui casse définitivement les reins à l'idéalisation, et fait place à tous les mythes mortifères de la modernité. Il nous apparaît aujourd'hui qu'une beauté qui n'aurait pas « quelque chose de sauvage, de brut, de frappant et d'énorme » (Diderot) trahirait la réalité du réel, la douleur et la mort et ferait de l'art

valorisation hiérarchique (appareil fondamentalement continu, les différences nord/sud peuvent se voir comme des variations, des effets de mode). Cette théorie distingue donc la simple copie de l’imitation, laquelle transcende la vérité de la copie en beauté. En ce sens, l’aspect descriptif de l’art hollandais est une quintessence du détail plus qu’une voie documentaire ; le quotidien propre aux images du nord est une vérité tout autant gorgée d’absolu que le drame géométrique italien. C’est en fonction

poétique majeur de Charles Baudelaire, publié en 1857, représente une véritable rupture dans l'histoire de la poésie. Cette œuvre, marquée par la recherche de l'absolu et la quête de la beauté dans l'ombre, reflète les enjeux poétiques et philosophiques de son époque. "Les Fleurs du Mal : Quand la beauté se mêle à l'obscurité"Principales informations sur l'œuvre :· Les Fleurs du Mal est composé de cent poèmes répartis en six sections thématiques, explorant des sujets tels que l'amour, la

artistique, un faisceau d’échos entre images et textes proposant des sens, ouvert, libre. Si bien que si l'illustration est un projet (presque) amoureux, cet amour-là s'équilibre entre fusion et friction, où, pour paraphraser André Breton, la beauté est « convulsive » ou « électrique » car elle naît du rapprochement d'univers mentaux différents. Certains poèmes paraissent simple illustration (« l'Attente ») alors que d'autres semblent une substitution, imprimés sur le palimpseste du dessin (La Marseillaise

surréaliste. Comment André Breton reprend-il en le renouvelant, le cliché romanesque ? Nous verrons dans un premier temps un récit de rencontre original en montrant qu’il s’agit d’un amour particulier car la femme qu’il rencontre incarne un certain type e beauté. I) Un récit de rencontre original > L’organisation du récit boulverse l’ordre chronologique des événements (1ere originalité) A) La rencontre (L1 à l2) > sous le signe du feu Brutale : - Narration concise - « cette