La Belgitude

Sociologie : Dans un extret du livre «  La Belgitude malgré tout », des canadiens nous livrent leurs pensées. Ils ne comprenaient pas comment, nous belges néerlandophone et francophone pouvions encore vivre ensemble. La Belgique sociopsychologique : identité, culture, belgitude : On a pu rencontrer un problème fréquent au niveau sociologique de la Belgique. Il s’agit du problème de l’identité, qui est individuelle ou collective. Nous pouvons nous poser comme questions : Que signifie pour nous

Malaise Jean Muno (1924-1988) Protagoniste discret mais engagé du renouveau littéraire des années 1980, Jean Muno a choisi, pour sa part, l'arme de l'ironie et de l'autodérision pour illustrer la réalité communautaire complexe qui exclut irrémé­diablement en Belgique toute forme de simplisme dualiste. Les hasards de la toponymie lui font un plaisant clin d'œil. Belgique, heureuse Belgique... Ce titre ! Mon premier mouvement est de ricaner. À cause du mot Belgique (mais ça n'existe pas

musicien pour Julos Beaucarne, avec qui il a fait ses débuts sur scène. Le succès n'a pas tardé, et Jacques a quitté l'usine pour se consacrer à la chanson. Je vais d’abord commencer par donner une définition de Belgitude qui nous vient du dictionnaire : « Ensemble des traits culturels propres à la Belgique; sentiment d’appartenance à la Belgique en tant qu’entité culturelle spécifique. ». Le terme est apparu dans les années 1970-1980, par allusion au concept de

psychanalyse et tout ce qui concerne la morale et la mentalité des personnes. * BELGITUDE ET BELGICISME Je voudrais vous expliquer la différence entre belgitude et belgicisme. Belgitude c’est tout ce qui concerne la culture belge comme les lieux de la Belgique, les parties wallonne et flamande, etc. Et le belgicisme est tout ce qui concerne la langue employée en Belgique. C’est évident que Harpman montre une belgitude très forte car elle utilise beaucoup les lieux de la Belgique et la culture belge;

revêtent-elles des caractères oniriques et picaresques – et cela, même chez un homme qui lutta physiquement au Brésil contre la dictature, et qui osa s'affronter dans Les Plumes du coq (1975) au tabou de la question royale. •  Faute d'un soi, la belgitude ? Fruit de décennies de dénégation, ce malaise éprouvé autant avec soi-même qu'avec l'histoire est renforcé par le jeu ambigu d'une institution littéraire qui cultive à la fois le « ghetto » et la fusion mythique avec la France. On en aperçoit toutes

littérature suisse. Les écrivains suisses s’attachent à affirmer, sans tapage, la différence qui fonde leur identité. En Belgique, dans les années 1980, le débat sur l’ « impossible identité » d’un « pays d’entre-deux » a fait le succès du terme « belgitude » - revendication d’une spécificité belge, née du désir de « ne plus vivre par Paris interposé », de faire retour sur le pays et d’en exalter la « bâtardise culturelle ». Mais la francophonie belge refuse de se replier frileusement sur une identité

barreaux que les humains se sont construits tous seuls. Ces barreaux étant les divers vices, les divers es bassesses et les différents dérèglements qui conditionnent notre vie. Le plus « bête » n’est en fait pas celui qu’on croit. V. La belgitude de Gunzig ? Gunzig est un digne représentant du surréalisme belge. Il met un malin plaisir à mettre des personnages dans des situations insensées. Ces histoires sont à la fois drôles et cruelles , des histoires à se tordre de rires ou de

de la guerre dans ses chansons. Selon lui, la guerre n’apporte rien de bénéfique à l’homme, il ne fait que dévoiler la partie sombre de la personnalité de chacun. Les principaux thèmes de Jacques Brel sont donc : l’amour, l’amitié, la Belgitude, la religion, le temps qui passe, la société, les femmes et la guerre. La façon dont Brel aborde ces thèmes montre qu’il à une certaine impuissance face aux évènements qui se produisent. Il est prêt à tout donner en amour, il doit faire face à la

d'en avoir honte, il est plus sage d'en rire... Comme le font si bien les acteurs du spectacle humoristique belge: Sois Belge et tais-toi de André et Baudouin Rémy. Il s'agit d'une revue sur la politique et l'actualité principalement belge et ses belgitudes. Le spectacle est composé de sketches, de parodies, de chansons, et d'imitations. Rappelons cependant qu'il est préférable d'être belge, pour qui il est déjà difficile de comprendre tous les rouages du pays, afin d'apprécier à sa juste valeur

terme bruxellois klouch (voir liste infra). C'est également le cas lorsque le belgicisme véhicule des connotations différentes. L'emploi conscient de belgicismes peut aussi résulter de la volonté du locuteur de « faire belge », d'afficher sa belgitude ou son appartenance wallonne ou bruxelloise dans des circonstances particulières. Les habitants francophones de Belgique n'ont aucune difficulté à comprendre le français standard. Les médias français, ou encore les films français, sont en effet