La Belle Espionne

On est au XVIIe siècle dans le salon du bourgeois Orgon. Madame Pernelle, sa mère, s'apprête à quitter la maison et reproche à sa belle-fille et à ses petits-enfants leurs habitudes mondaines, alors qu'Orgon a accueilli chez lui un dévot personnage du nom de Tartuffe, dont, prétend-elle, tous feraient bien de suivre l'exemple. Chacun s'indigne de ces propos : Tartuffe est un hypocrite, un misérable aventurier, qui, sous prétexte de religion, exerce un pouvoir tyrannique sur la maison. Cléante lui-même

personnages? Annonce du plan? (cf question posée) I. Du théâtre dans le théâtre, la mise en abyme 1.Une véritable représentation: a) le spectateur est vite informé de l'intention des domestiques: - choix de Cléanthis de faire "la belle conversation", "comme dans le grand monde", et d'être l'objet d'une conquête amoureuse ("poursuivez mon cœur") - les maîtres resteront muets : évincés du jeu, ils assisteront impuissants au dialogue de leurs esclaves. - Cette

de gaz au moment où il réalise intensément son état. Il maudit le ciel, il pense: Et cela juste au moment, où j'allais commencer à vivre ! Et conquérir le cœur de la femme que j'aime, et qui s'est livrée si difficilement. Vision de la femme, très belle, énigmatique, visage dur et fermé. Vision de l'âme de la femme telle que se l'imagine l'homme. Paysage, fleurs, dans des éclairages somptueux. Geste de malédiction de l'homme: Oh ! Être n'importe quoi ! Être ce camelot misérable et bossu qui vend ses

constituent une parfaite clientèle électorale pour le parti radical qui reste au pouvoir jusqu’en 1914. Cette adhésion des classes moyennes à la république radicale a été l’un des facteurs essentiels de la solidité du régime. C’est à la Belle Époque que l’identité nationale se renforce et que l’idée républicaine s’enracine définitivement. Ce renforcement de la République s’explique par l’école, le service militaire et les progrès des transports. L’école républicaine est laïque, puisqu’elle

esclave qui avait été affranchi par Claudius et bras droit d’Agrippine) Scène II Lors d'un entretien avec Néron, Narcisse révèle son double jeu : Il est en fait tout dévoué à Néron et espionne Britannicus pour le comte de l’empereur Néron avoue ses sentiments pour Junie: il s’est laissé émouvoir par la détresse de la belle Junie. En la voyant si démunie, il lui est venu le sentiment irrépressible de la protéger. Cette envie s’est mue en désir. Néron ne sait que faire de toutes ces émotions. Narcisse

politique qui risquent de mettre en danger le gouvernement. Quel rôle les médias jouent-ils dans les grandes crises politiques en France depuis l’affaire Dreyfus ? I) L’opinion publique face à l’avènement des mass-médias entre 1894-1945 a) La Belle Epoque, une triple révolution -Révolution politique : à la fin du 19ème, la IIIème république vote des lois qui vont permettre de faire fonctionner réellement la démocratie notamment la loi sur la liberté de la presse en 1981. Toutes les lois Jules

Dissertation en 3h Corpus Texte A Madame de La Fayette, La Princesse de Clves (1678) Texte B Honor de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III (1834)Texte C Marcel Proust, La Prisonnire (1923)Texte D Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII (1968) Texte A Madame de La Fayette, La Princesse de Clves (1678) Madame de Clves lut cette lettre et la relut plusieurs fois, sans savoir nanmoins ce quelle avait lu. Elle voyait seulement que monsieur de Nemours ne laimait pas comme elle

homme de 51 ans et une jeune fille de 18 ans, Laure Sallambier, provenant d'une famille aisée de la petite bourgeoisie qui faisait le commerce de la draperie dans la rue Saint-Denis. Laure eut rapidement plusieurs amants. Laure Balzac : Femme très belle, mère sévère et acariâtre. Parents très distants l'un de l'autre, presque comme un couple royal. => Cette attitude conditionna Balzac puisque plus tard il se plaindra de n'avoir pas été aimé, et des personnages de mauvaise mère abonderont dans son

plus remarquable du personnage est sa crédulité. C’est un même aveuglement qui l’afflige face à Narcisse, à qui il fait une entière confiance (« […] je fais vœu de ne croire que toi », v. 342) ; face à Junie, qui essaie de l’avertir que Néron les espionne (« Parlez. Nous sommes seuls : notre ennemi trompé, / Tandis que je vous parle, est ailleurs occupé », v. 709-10) ; face à Néron enfin (« Il veut que d’un festin la pompe et l’allégresse / Confirment à leurs yeux la foi de nos serments », v. 1484-85)

| |Duroy n'a pas grand chose à dire. L'information est très simple. (l.32 "Je suis entré comme rédacteur... J'y ai même débuté ce matin) Il utilise | |la vantardise "une très belle position" et l'ironie :"J'ai bien l'honneur de vous saluer l.49" | |-Un langage vulgaire :