La Belle Ferronnière

dizaines de milliers de documents... Déchaînant encore aujourd'hui les passions, certains se demandent même si la physique retrouvera la fresque perdue de Léonard de Vinci ! Couronne de laurier Ginevra de Benci L'annonciation La belle Ferronière La belle Milanaise La Cène La dame à l'hermine La Joconde La madone au fuseau La madone Benois La madone Litta La vierge à l'enfant ... La vierge aux rochers La vierge, l'enfant Jésus ... Le baptême du Christ Le Musicien Marie Madeleine

Londres Ginevra de' Benci en 1476, exposé à Washington L'Adoration des Mages en 1481 Huile sur bois 243x246cm, exposé à Florence L'Annonciation en 1473 Huile sur bois 98x217cm, exposé à Florence La Bataille d'Anghiari en 1505, exposé à Florence La Belle Ferronière en 1490, exposé à Paris La Cène en 1495 Fresque 880x460cm, exposé à Milan La Dame à l'hermine en 1485, exposé à Cracovie La Madone à l'oeillet en 1478, exposé à Munich La Madone aux fuseaux en 1501, exposé à New York La Vierge aux Rochers

scientifiques, des plans pour toutes sortes d’inventions et des dessins. Sa grande carrière prend fin en 1519, lorsqu’il succombe à la maladie. Parmi ses œuvres se retrouvent les suivantes : La vierge aux rochers (entre 1483 et 1484), Le Musicien (1490), La Belle Ferronière (entre 1490 et 1496), La Cène (entre 1495 et 1498), la Joconde ou Mona Lisa (entre 1503 et 1504 puis entre 1510 et 1515), la bataille d'Anghiari (1504-1506), La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne (1508-1510), Bacchus (1510-1515)

donc un Humaniste. Pendant sa vie, Léonard de Vinci a créer plusieurs œuvres dans chaque domaines ou il excellait, en peinture la plus célèbre La Joconde dite aussi la Mona Lisa mais il y en a d'autre tel que La Vierge aux rochers, Le Musicien, La Belle Ferronière, La Cène, La bataille d'Anghiari, La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne, Bacchus.en tant qu’ingénieur il réalise une étude sur l'irrigation des cultures par les fleuves et canaux. En tant qu'urbaniste il réfléchi afin de créer une citée

54 × 39 cm Localisation Château du Wawel, Cracovie (Pologne) modifier  La Dame à l’hermine est un tableau de 54 × 39 cm peint par Léonard de Vinci entre 1488 et 1490. Il est peint sur du bois de noyer, provenant du même tronc d’arbre que La Belle Ferronnière[1]. Le fond du tableau a été repeint dans une couleur sombre à une époque tardive. Des repeints ont aussi été repérés (dans la zone inférieure notamment, ainsi que sur la coiffe ou sur la main droite). Le pelage de l’hermine a perdu de son éclat

s'intéresser d'abord à l'homme pour mieux comprendre le monde (sans rejeter Dieu). En peinture les sujets religieux ne sont pas rejetés, mais les sujets non religieux deviennent plus fréquents, Léonard de Vinci peint ; la Dame à l'hermine, la Belle Ferronnière et la jeune fille décoiffée . L'artiste peint des portraits, des corps et la représentation des paysages et de la nature se développent. Sur les peintures de Léonard de Vinci à sujet religieux ou non religieux les arrières plans sont souvent

Localisation Château du Wawel, Cracovie, Pologne modifier La Dame à l’hermine est un tableau de 54 × 39 cm peint par Léonard de Vinci entre 1488 et 1490. Il est peint sur du bois de noyer, provenant du même tronc d’arbre que La Belle Ferronnière1. Le fond du tableau a été repeint dans une couleur sombre à une époque tardive. Des analyses menées grâce à une caméra multi-spectrale en 2007 ont montré qu'à l’origine, « il s’agissait d’un bleu-gris modulé différemment de gauche à droite

emporté par la maladie le 2 mai 1519. Présentation générale La Dame à l’hermine est un tableau, un porttrait de 54 × 39 cm peint par Léonard de Vinci entre 1488 et 1490. Il est peint sur du bois de noyer, provenant du même tronc d’arbre que La Belle Ferronnière1. Le fond du tableau a été repeint dans une couleur sombre à une époque tardive. Des repeints ont aussi été repérés (dans la zone inférieure notamment, ainsi que sur la coiffe ou sur la main droite). Le pelage de l’hermine a perdu de son

sculpteur (monument équestre du duc Sforza), comme (cathédrale de Milan et de Pavie), et comme scénographe : il construit plusieurs décors de théâtre et de fêtes pour la cour des ducs. En peinture, il travaille aussi bien à des portraits (La Belle Ferronnière) qu'à des fresques comme la grande Cène de Sainte-Marie-des-Grâces à Milan (1495-1497). C'est à Milan qu'il commence à s'int éresser à toutes les sciences, qu'il s'agisse de géométrie, de mécanique ou d'hydraulique, tandis qu'il rédige un

de sa robe de soie ; et, chaque fois qu'elle l'interrogeait, il répondait gravement, avec un grand aplomb. Comme elle s'intéressait à la Maîtresse du Titien, dont elle trouvait la chevelure jaune pareille à la sienne, il la lui donna pour la Belle Ferronnière, une maîtresse d'Henri IV, sur laquelle on avait joué un drame, à l'Ambigu. Puis, la noce se lança dans la longue galerie où sont les écoles italiennes et flamandes. Encore des tableaux, toujours des tableaux, des saints, des hommes et des femmes