La Belle Ferronnière

perspective. • ………………………… : opération qui délimite le champ visuel. • …………………………. : éclairage relatif d’un tableau. II- En utilisant le vocabulaire technique entreprenez une description analytique de ce tableau de Da Vinci  « La Belle Ferronnière » : [pic] III-Sujet de dissertation : Da Vinci affirme que «  le bon peintre a essentiellement deux choses à représenter : le personnage et l’état de son esprit ». Qu’en pensez-vous ?

du salon terminé, Mr Madinier voulut qu'on recommençât ; ça en valait la peine » . Mr Madinier décide de tout , il veut recommencer la visiter et la noce exécute. «  il répondait gravement avec un grand aplomb » ; « il la lui donnait pour la belle ferronnière » . Au fil de la visite la noce et Mr Madinier ne comprennent plus aucun tableaux qui sont trop nombreux , ils sont perdus. «  encore des tableaux , toujours des tableaux (…) qu'on ne comprenait pas » «  le violent tapage de couleurs leur donnait

différents couples formés par les « amants, amantes », « un jeune homme » et « une jeune fille » (l.36-37). L’influence de ses histoires sur Emma est aussi montrée à travers les références aux différents personnages historiques féminins notamment la Belle Ferronnière, qui pourrait être ici la maitresse de François Ier et qui laisserait présager les adultères d’Emma. De même, l’expression « femmes infortunées » employé pour designer ses femmes, peut directement faire référence au suicide d’Emma à la fin de

sa robe de soie » (l.15), preuve qu’elle possède un petit pécule car la soie est un tissu cher. Il est intéressé par l’argent de Mme Lorilleux et tente même de la complimenter pour arriver à ses fins « [la chevelure] il la lui donna pour la belle Ferronnière, une maitresse d’Henri IV » (l.18). Mais derrière la vision du narrateur se cache également le regard que Zola porte sur ses contemporains. Il dénonce le  divorce existant entre le peuple et la culture à son époque. Les classes les plus modestes

sa robe de soie, et, chaque fois qu’elle l’interrompait, il répondait gravement, avec un grand aplomb. Comme elle s’intéressait à la maîtresse de Titien8, dont elle trouvait la chevelure jaune pareille à la sienne, il la lui donna pour la belle Ferronnière, une maîtresse d’Henri IV, sur laquelle on avait joué un drame, à l’Ambigu9. Puis, la noce se lança dans la longue galerie où sont les écoles italiennes et flamandes. Encore des tableaux, toujours des tableaux, des saints, des hommes et des

de sa robe de soie, et, chaque fois qu’elle l’interrompait, il répondait gravement, avec un grand aplomb. Comme elle s’intéressait à la maîtresse de Titien8, dont elle trouvait la chevelure jaune pareille à la sienne, il la lui donna pour la belle Ferronnière, une maîtresse d’Henri IV, sur laquelle on avait joué un drame, à l’Ambigu9. Puis, la noce se lança dans la longue galerie où sont les écoles italiennes et flamandes. Encore des tableaux, toujours des tableaux, des saints, des hommes et des

bois comme La Vierge, l'Enfant Jésus et sainte Anne (1502-1513) ou encore l’œuvre certainement la plus connue du maître La Joconde ou Mona Lisa peinte entre 1503 et 1504 puis entre 1510 et 1515. Le musée du Louvre de Paris accueille aussi La Belle Ferronnière peinte entre 1490 et 1496. C’est en effet le musée du Louvre qui possède le plus de tableaux de Léonard de Vinci. Alors âgé de 64 ans, en 1516, Léonard de Vinci est invité en France avec son ami et assistant artiste-peintre Francesco Melzi

«Cour des Dames». François 1er lui-même s'affiche avec différentes maîtresses, en particulier la comtesse Françoise de Châteaubriant puis Anne de Pisseleu, duchesse d'Étampes. On lui connaît aussi une relation avec une bourgeoise de Paris, la «belle Ferronnière», dont le surnom sera attribué à un chef-d'oeuvre de Léonard de Vinci. Autour de cette «Cour des Dames» gravite une pléiade d’artistes, de sculpteurs et d’architectes, y compris italiens (Benvenuto Cellini, Léonard de Vinci). Écrivains et poètes

a une Marie immaculee , etre pur en train de se revelee femme et vraie comme la mere de Jesus et qui vient de passer tout juste sa premiere communion. Elle avait treize ans. Et son imagination battait son plein. Et fille d'une maitresse du moment, belle mais insensible marquise jalouse de toutes les femmes qui frequentaient son salon d' alors. L'enfant intelligente ,douee et fervente se reveillait femme dans le decor de seduction et raffinement, de volupte et de peche , avec pour decor non lointain

disparaît de son oeuvre, mais pour être partout (cfr: Mme Bovary). L’exigence de soigner le style et, en même temps, d’analyser le réel sont en contraste, à l’apparence: il veut ramener le roman à la vérité de la vie & lui conférer la dignité d’une œuvre belle; il veut entrer dans la médiocrité de l’existence & se soucier de la beauté. La relativité des points de vue L’immatérialité de l’écriture : le moins de matière Les singularités de son style - dialogues sans guillemets, réduits au minimum et dérivant