La Belle Hélène

de cervelle, Ou pour être ailleurs plus contents ; Ma façon d'aimer n'est pas telle, Mes amours durent en tout temps. N'y a si belle dame aussi De qui la beauté ne chancelle ; Par temps, maladie ou souci, Laideur les tire en sa nacelle ; Mais rien ne peut enlaidir celle Que servir sans fin je prétends ; Et pour ce qu'elle est toujours belle Mes amours durent en tout temps. Celle dont je dis tout ceci, C'est Vertu, la nymphe éternelle, Qui au mont d'honneur éclairci

de Sparte, Ménélas, par le Troyen Pâris, fils de Priam, roi de Troie, et de son épouse Hécube. En effet, Hélène avait été promise à Pâris par Aphrodite, en remerciement pour le jugement du mont Ida, lui attribuant la pomme d'or. Pâris dut alors choisir entre Héra, Athéna et Aphrodite, lui promettant respectivement la royauté, la puissance militaire et l'amour de la plus belle femme du monde : Hélène. On peut aussi considérer l'enlèvement d'Hélène, et donc l'incitation à la guerre, comme une vengeance

« Comme on voit sur la branche... »Comme on voit sur la branche au mois de Mai la roseEn sa belle jeunesse, en sa première fleurRendre le ciel jaloux de sa vive couleur,Quand l'Aube de ses pleurs au point du jour l'arrose :La grâce dans sa feuille, et l'amour se repose,Embaumant les jardins et les arbres d'odeur :Mais battue ou de pluie, ou d'excessive ardeur,Languissante elle meurt feuille à feuille déclose :Ainsi en ta première et jeune nouveauté,Quand la terre et le ciel honoraient ta beauté,La

sujets abordés et parce que femme de tous les combats, Marguerite Duras a fait figure de méduse terrifiante1. Le mythe de Méduse a en effet été revisité. Hélène Cixous, dans Le Rire de la Méduse, présente une Méduse prodigieusement riante : « Il suffit qu’on regarde la Méduse en face pour la voir : et elle n’est pas mortelle. Elle est belle et elle rit »2. La méduse rit d’un rire formidable, salutaire et libérateur parce qu’elle a résisté à Persée et a su garder la tête sur les épaules. Les

personnages secondaires du roman deviendra une femme indépendante et libre. Les personnages ayant influencés et révélés les aspects de la personnalité de Jane Eyre sont: son cousin germain, John Reed, ses professeurs de Lowood, son amie de l’orphelinat, Helen Burns et la diseuse de bonne aventure rencontrée au château de Monsieur Rochester, Saint Jones, prétendant et cousin de Jane. Jane, héroïne au physique banal, orpheline, sans argent et titre, refusera de suivre la destinée soumise des femmes de son

éclat travaillant à la Société des Nations. Lui, c'est l'amant, Solal, le supérieur hiérarchique de son mari. Il la trouve belle, attirante, originale. Pour la séduire, il se débarrasse provisoirement d'Adrien Deume en l'expédiant en mission à l'étranger. Il réussit alors à subjuguer la jeune femme par une déclaration éblouissante. C'est le début d'une folle passion. Belle du Seigneur (1968) est l'un des plus beaux romans d'amour jamais écrits. On en ressort ébloui, secoué, bouleversé. C'est un

malheurs qui s’imposèrent à la lignée sur plusieurs générations, et qui ont fourni leur matière à de nombreuses tragédies (Eschyle, Orestie, Sophocle, Électre, Euripide, Électre, Iphigénie en Tauride, Hélène, Oreste, Iphigénie à Aulis). Les mariages d’Agamemnon et de Ménélas : Clytemnestre et Hélène Après Atrée, régna Agamemnon (avec, peut-être des étapes intermédiaires, cela varie d’un poète à l’autre : règne de Thyeste, ou règne d’un dénommé Plisthène, roi travesti et boiteux ?). Agamemnon (dont

lyrique occupe de loin la première place à cette époque, avec le rôle majeur joué par la Pléiade. Les humanistes de la Pléiade défendent la poésie du latin et désirent l'illustrer par des emprunts. De là naîtra une poésie française infinment plus belle. (1), (7) et (11) 2) Ronsard, le poète a) biographie du poète a.1 la jeunesse de Ronsard Fils de famille aristocratique, écrivain de la Renaissance, Ronsard est né en 1524 au manoir de la Possonnière, près de Vendôme (dans la commune française

Catherine de Médicis pour sa protégée et fille d'honneur, Hélène de Fonsèque (fille de René de Fonsèque, baron de Surgères, et d'Anne de Cossé), afin de la consoler de la perte de son amant à la guerre 1 . Ronsard entreprend de lui écrire un recueil de sonnets , sous la forme du madrigal , où il loue sa beauté et la compare avec la belle Hélène , héroïne de la guerre de Troie

froissait impatiemment un mouchoir, et ressem- –6– blait à la rame d’une barque qui fend les ondes. Le vieillard souriait par moments ; mais parfois aussi des expressions soucieuses attristaient passagèrement sa figure desséchée. Son amour pour cette belle créature lui faisait autant admirer le présent que craindre l’avenir. Il semblait se dire : – Elle est heureuse aujourd’hui, le sera-t-elle toujours ? Car les vieillards sont assez enclins à doter de leurs chagrins l’avenir des jeunes gens. Quand le