La Biodiversité Et Les Ogm

Chapitre 9 : les cosmétiques Bio Définitions Pourquoi la cosmétique bio ? Le respect de l’homme : Absence de matière premières pouvant comporter des substances chimiques et polluantes (pesticides, engrais chimiques de synthèse, OGM…) * A long terme peuvent s’avérer néfastes pour notre corps et pour l’environnement, Riche en actifs d’origine naturelle qui montrent une réelle affinité avec notre peau. La traçabilité : * Cosmétiques bio contrôlés par des organismes indépendants. *

de nouvelles techniques : surtout irrigation, motorisation ( tracteur), cultures sous serres, élevage hors –sol ( feed-lots ) des innovations chimiques : utilisation d’engrais, de pesticides… des innovations biologiques : blé à hauts rendements, OGM. c. Résultats : Création d'excédents qui peuvent être commercialisés D. La sécurité alimentaire par la mondialisation Les excédents de l'agriculture productivistes sont exportés et achetés par ceux qui en manquent CCl : l'agriculture

agrosystème est construit ou modifié par l'Homme afin de prélever une partie de la matière organique végétale (production primaire) ou animale (production secondaire) qu'il produit. Il est généralement monospécifique (ce qui entraîne une perte de biodiversité) et permet de fournir des produits nécessaires à l'humanité : nourriture, matières premières (coton, bois...) ou combustibles (agrocarburants). ● Dans un agrosystème l'exportation de la récolte constitue un flux sortant de matière d'autant plus

ici l’atout et les limites d’un vrai succès. Pour les partisans du bio, ce mode d’alimentation ne permet un écosystème respecté, selon la FAO (Food and Agriculture Biologique et la sécurité alimentaire), sans OMG et monocultures intensives, la biodiversité et les cycles biologiques. Il s’agirait donc d’une nouvelles façon de consommer, qui permet de faire le plus souvent des économies. Contrairement aux idées reçues , consommer bio ne couterait pas plus cher. De plus, les produits bio comportent

❖ Les organismes génétiquement modifiés (OGM) Tout organisme vivant est sujet à des modifications naturelles de son patrimoine génétique, c’est le principe même de l’évolution des espèces. On considère qu’environ le tiers des espèces végétales a évolué à partir d'hybrides naturels qui ne sont pas forcément stériles – contrairement aux hybrides animaux comme le mulet, produit du croisement de la jument et de l'âne. Un organisme génétiquement modifié (OGM) est un organisme (animal, végétal, bactérie)

besoins alimentaires, énergétiques et industrielle. L’écosystème est déséquilibré car une part importante de la biomasse produite est exportée (récolte, viande, œuf, lait…). Dans l’agrosystème : monoculture (blé, maïs…) alors que dans un écosystème : biodiversité. 2) Consommation végétale ou animale : impact écologique P63 1 maillon/intermédiaire en plus dans la chaine est défavorable, car ce maillon nécessite de l’eau, de l’espace … Exemple pour le bœuf, il a besoin de nourriture végétale qui nécessite

dans la récolte (un coup blé d’hiver, blé de printemps ou jachère.) 2 GM : agriculture scientifique ex : système de trait mécanique (engrais = favorise le développement et produits phytosanitaires = protège la plante ; nouvelles variétés de plantes OGM) INRA.La biotechnologie : ensemble techniques et scientifiques qui permettent de faire produire une substance utile à l’homme par des agents biologiques. Intensification de la prod : alimente un marché prod spécialisée si dans la même zone (=

entre les différentes tribus. Aujourd'hui, dans notre économie capitaliste , les grandes entreprises et les pays cherchent toujours à produire davantage ,que ce soit en inventant des machines accélérant la production ou bien des engrais ,comme les OGM pour favoriser la production agricole souvent au détriment des hommes plus pauvres.. Ainsi on peut se demander si l'économie a pour unique but l'accroissement des richesses , si elle a toujours pour fin d'augmenter ces richesses ou au contraire si elle

Manuscrit auteur, publié dans "Représenter la nature. ONG et biodiversité, Catherine Aubertin (coord.) (Ed.) (2005) pp. 59-98" Publié/citer : - David Dumoulin, « Les ONG et le secteur mondialisé de la conservation », (avec Estienne Rodary) dans Catherine Aubertin (coord.) : Représenter la nature. ONG et biodiversité, Paris, Presse de l’IRD, 2005, pp. 59-98 Résumé : Mots- clé : Biodiversité ; ONG ; Aires protégées, politiques publiques ; globalisation Key-words : Biodiversity, ONG, Protected

Sud est dans l’intérêt de tous. Il s'agit de répondre aux enjeux globaux qui caractérisent notre époque et qui nous concernent tous : conséquences du réchauffement climatique, régulations financières et économiques mondiales, préservation de la biodiversité, réduction des risques naturels, prévention et traitement des conflits, des épidémies et des risques sanitaires. Aider les pays du Sud relève donc d'abord d'un impératif éthique de justice et de solidarité mais il s'agit aussi à l'heure de la