La Blanchotte

ce qui fonde le rapprochement de ces deux mots (élément commun) - élément de signification commun : l’inclusion dans la durée de 24 heures - relation d’exclusion et d’inclusion : en un sens, le jour exclu la nuit, dans l’autre il la comprend > Blanchot « Le tout du jour et de la nuit » * nycthémère : le jour qui dure 24h, comprend le jour et la nuit - « La lumière du jour, les ombres de la nuit » Racine (le mot jour ici à un sens) = polysémie du mot jour -opposition privative : id entre un

entendre une voix faible et discordante que l’on n’entend pas d’habitude. » « Lorsque la loi immense de l’histoire s’exerce sur les êtres sans leur offrir de choix, l’homme doit aussi laisser la trace de sa voix. » Dans Thomas l’obscur, de Maurice Blanchot, l’évocation vient sous la plume comme usage encore autre de la lettre, cette lettre qui se distingue du signifiant, cette lettre qui porte, en souffrance, quelque vérité. « La vérité peut ne pas convaincre, mais le savoir passe en acte », dit Lacan

aussi en face de ce qui s’éteint, œuvre soudain redevenue invisible, qui n’est plus là, n’a jamais été là. Cette soudaine éclipse est le lointain souvenir du regard d’Orphée, elle est le retour nostalgique à l’incertitude de l’origine. » Maurice Blanchot, L’espace littéraire. Le regard d’Orphée (3) septembre 11, 2010 par krotchka 3. Écrire commence avec le regard d’Orphée « S’il fallait insister sur ce qu’un tel moment semble annoncer de l’inspiration, il faudrait dire : il lie l’inspiration

Seul un gamin ressemble à Simon, lui aussi sans père, mais lâchement, il préfère se ranger du côté des plus puissants. Cependant, dès le commencement, Maupassant critique les adultes au travers des enfants, en qualifiant leur attitude vis-à-vis de Blanchotte d'hypocrite. Ainsi, le grand enfant imite les parents, et les gamins, l'adolescent. Le comportement des enfants n'est donc pas spontané, mais a été préparé par celui des parents. En somme, la méchanceté des enfants est donc la réplique de celle

1.1.1 L’espace – le paysage et le pittoresque Juste au début, Maurice Blanchot a posé une question : Qu’est-ce qu’un espace littéraire ? Ce concept vise à changer l’idée bourdieusien. Selon les auteurs de ce livre, l‘espace c’est « la pièce maîtresse pour une résistance à l’encerclement du littéraire par le “tout sociologique” ». Pour que l’espace littéraire se produit, un événement doit avoir lieu. Quand le texte est dynamique, l’action et l’ambiance de l’histoire devient plus vive et plus réelle

Seul un gamin ressemble à Simon, lui aussi sans père, mais lâchement, il préfère se ranger du côté des plus puissants. Cependant, dès le commencement, Maupassant critique les adultes au travers des enfants, en qualifiant leur attitude vis-à-vis de Blanchotte d'hypocrite. Ainsi, le grand enfant imite les parents, et les gamins, l'adolescent. Le comportement des enfants n'est donc pas spontané, mais a été préparé par celui des parents. En somme, la méchanceté des enfants est donc la réplique de celle

secret du génie c'est de faire éclater l'individualité, d'être Idée, de représenter, par-delà l'invention, le courant d'invention. », Valery: l'auteur d'un livre n'est « positivement personne ». l'écriture est « un exercice du langage décentré » (G.). Blanchot dit que Kafka est entré en littérature « dès qu'il a pu substituer le il au je... ». On retrouve le même mouvement (pourtant apparemment inverse) quand Proust passe du il de Jean Santeuil encore centré et je équivoque de la Recherche. Ce génie peut

est donc important de comprendre que la littérature exige une certaine classification, car il existe nombre de genres d’art différents et encore plus jugements de valeur prompts à être établis selon ces genres. Comme le mentionne si bien Maurice Blanchot dans son ouvrage, L’espace littéraire, « L’infini de l’œuvre, dans une telle vue, n’est que l’infini de l’esprit ». Voilà donc qui exprime d’une manière concise la raison pour laquelle il est si dur de définir la littérature comme un tout. Il existe

rapidement et de rentrer dîner, comme ils le faisaient chaque jour, ils s'arrêtèrent à quelques pas, se réunirent par groupes et se mirent à chuchoter.     C'est que, ce matin-là, Simon, le fils de la Blanchotte, était venu à la classe pour la première fois.    Tous avaient entendu parler de la Blanchotte dans leurs familles ; et quoiqu'on lui fît bon accueil en public, les mères la traitaient entre elles avec une sorte de compassion un peu méprisante qui avait gagné les enfants sans qu'ils sussent du

ambiance fantasmagorique. Deux pêcheurs arrivèrent qui l'aidèrent à tirer l'ancre, apparemment chargée d'un grand poids. Au bout: le cadavre d'une vielle femme, une grosse pierre autour du cou. Le Papa de Simon Simon, fils solitaire de la Blanchotte, vient de commencer l'école. Ses nouveaux camarades se moquent parce qu'il n'a pas de papa. Une bagarre éclate. Simon décide de se jeter à la rivière. Un ouvrier le trouve, pleurant au bord de l'eau. Il le ramène à sa mère. Simon demande à l'ouvrier