La Bonne Chanson La Lune Blanche

froideur matinale, Ni bien fermé le seuil à la bise hivernale?... — Le rêve maternel, c'est le tiède tapis, C'est le nid cotonneux où les enfants tapis, Comme de beaux oiseaux que balancent les branches, Dorment leur doux sommeil plein de visions blanches!..» — Et là, — c'est comme un nid sans plumes, sans [chaleur, Où les petits ont froid, ne dorment pas, ont peur; Un nid que doit avoir glacé la bise amère... m Votre cœur l'a compris : — ces enfants sont sans mère. Plus de mère au logis ! — et

mettre dans la peu d’un enfant loup et raconter une aventure. 7. Chansons sur le loup 12 Emily joli, chanson du loup ; Henri Salvador, une chanson douce ; Serge Reggiani, les loups sont entrés dans Paris ; Carlos, le bagalou du loup-garou ; Cette partie reprend différentes chansons qui ont comme thème le loup. Finalité didactique : choisir une des chansons et l’interpréter de manière différente ou inventer une chanson (un refrain, un couplet) sur le loup. 8. Le loup au cinéma

cette région. D’autres l’attribuent à un armateur grec qui, ne supportant plus la mer Méditerranée, a choisi cet endroit pour finir ses jours et surtout pour échapper à la justice de son pays. Ici la mer est bleue. La mer est verte. Sa chevelure est blanche. En face, la cabine de bain du prince ou de l’armateur a pris les teintes du sable. Ce n’est pas hideux. C’est incongru, comme cette histoire que j’ai inventée un soir en écoutant une chanteuse à la radio. La rumeur l’a attribuée à une chanteuse ou

cette région. D’autres l’attribuent à un armateur grec qui, ne supportant plus la mer Méditerranée, a choisi cet endroit pour finir ses jours et surtout pour échapper à la justice de son pays. Ici la mer est bleue. La mer est verte. Sa chevelure est blanche. En face, la cabine de bain du prince ou de l’armateur a pris les teintes du sable. Ce n’est pas hideux. C’est incongru, comme cette histoire que j’ai inventée un soir en écoutant une chanteuse à la radio. La rumeur l’a attribuée à une chanteuse ou

humaine, pour que ces fables, dédaignées des beaux esprits, aient résisté à tous les progrès des lumières, à tous les caprices des réformateurs. On leur jette en vain l’anathème, rien ne peut les anéantir. C’est que les contes, comme les légendes, les chansons, les proverbes, appartiennent à cette littérature anonyme, que le peuple aime, garde et propage, parce qu’il s’y reconnaît tout entier... » ED. LABOULAYE. 3 Jakob et Wilhelm Grimm 4 Les frères Grimm, qui ont attaché leur nom aux Contes populaires

miroirUn texte du domaine public. Une édition libre. bibebook www.bibebook.comhttp://www.bibebook.comChapitre 1 La maison du miroirC e qu'il y a de sûr, c'est que la petite chatte blanche n'y fut pour rien : c'est la petite chatte noire qui fut la cause de tout. En effet, il y avait un bon quart d'heure que la chatte blanche se laissait laver la figure par la vieille chatte (et, somme toute, elle supportait cela assez bien) ; de sorte que, voyez-vous, il lui aurait été absolument impossible de tremper

esclaves. Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre. On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout bonne, dans un corps tout noir. 10 Il est si naturel de penser que c'est la couleur qui constitue l'essence1 de l'humanité, que les peuples d'Asie, qui font les eunuques, privent toujours les noirs du rapport qu'ils ont avec nous d'une façon

échos et éclats de rire autorisent à enjamber les vers, les strophes, les sections du recueil. De façon récurrente, le rire attise par magnétisme le rapprochement de ce qui lui est en théorie opposé : les larmes, la peur (« J’ai peur du rire de la lune », dans « Heures », p. 141), la mort de soi ou celle d’autrui, l’autodévalorisation (« Et moi je tire, en me rongeant, / Un sourire idiot – d’un air intelligent », dans « Rapsodie du sourd », p. 166), l’inconfort et l’appréhension (« O sourire forcé

derrière l’église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu’on déchargeait, le grand marais salant appelé « la Retenue » et, derrière, la côte de la Vierge avec sa vieille chapelle toute grise. Madame, issue d’une bonne famille de paysans du département de l’Eure, avait accepté cette profession absolument comme elle serait devenue modiste ou lingère. Le préjugé du déshonneur attaché à la prostitution, si violent et si vivace dans les villes, n’existe pas dans la campagne

l’église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu’on 6 déchargeait, le grand marais salant appelé « la Retenue » et, derrière, la côte de la Vierge avec sa vieille chapelle toute grise. Madame, issue d’une bonne famille de paysans du département de l’Eure, avait accepté cette profession absolument comme elle serait devenue modiste ou lingère. Le préjugé du déshonneur attaché à la prostitution, si violent et si vivace dans les villes, n’existe pas dans la campagne