La Bonne Fortune

d'enfance, ses idées de province avaient disparu. Son intelligence modifiée, son ambition exaltée lui firent voir juste au milieu du manoir paternel, au sein de la famille. Son père, sa mère, ses deux frères, ses deux soeurs, et une tante dont la fortune consistait en pensions, vivaient sur la petite terre de Rastignac. Ce domaine d'un revenu d'environ trois mille francs était soumis à l'incertitude qui régit le produit tout industriel de la vigne, et néanmoins il fallait en extraire chaque année

complètement fou. Il ne sait plus gouverner, enfin a-t-il déjà su ? Je ne pense pas mais là c’est du grand n’importe quoi, gouverner ne veut pas dire voler, tuer et piller. C’est pourtant se qui pense. Bien particulière façon de gérer un empire mais très bonne technique pour le réduire, à l’état de poussière. (L’intendant est énervé.) Notre bel empire, si grand et si fort, cet empire romain qui a mit tant de temps à s’agrandir, qui a conquit petit territoire par petit territoire et Caligula, en 10ans, va

au autre parmi les regardant on retrouve tout se ki fon un travail manuel ki est devalorisant et les aussi les paysant les artisant les peti commerce . A CETTE epoque s'enrichir a partir de rien etai suspet le bon suspet est heréditaire. LA Vrai fortune etai les terre . B ) mandian · MARCHANT BOURJOI :ACCédé a au classe moyen ; les bourjois ont de largent grace au commerce puis s'achete des terre grace a l'argen kil se fon fai avec le commerce puis il achete des maison en ville ( apeticaire

chance / redistribution des richesses A travers cette imposition sur les importants capitaux, l’Etat cherche à limiter les écarts entre les classes sociales, en travaillant sur la redistribution des richesses. En effet, l’impôt de solidarité sur la fortune, en prélèvant une somme proportionnelle à l’importance du patrimoine des couples imposable, limite une croissance excessive de ce dernier. Cette somme prélevé aux contribuable est indirectement (budget de l’état) redistribué a tous par le biais des

pensionnaires, où, à côté de figures banales et grotesques, s’entrevoient des âmes puissamment originales, dont la rencontre fait pressentir des drames poignants. Eugène de Rastignac, jeune noble débarqué de son Périgord natal et venu faire son droit et sa fortune à Paris, étudiant pauvre en attendant, mais ambitieux, y coudoie le père Goriot et Vautrin sur lesquels des scènes étranges lui donnent quelques aperçus singuliers. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Le Père Goriot - Balzac L’ancien vermicelier

Vauquer, près du Panthéon, à Paris, abrite plusieurs pensionnaires de caractères très différents : - Vautrin, un sombre individu plein de roueries, prêt à tout pour de l'argent, - le père Goriot, un vieillard quelque peu démuni, qui a fait fortune sous la Révolution dans la fabrication et le commerce de vermicelles, - Victorine Taillefer, une fille ruinée après le décès de sa mère, car son père lui préfère son frère et l'a déshéritée, qui vit avec une parente, Mme Couture - Eugène de

ténèbres . ») Personnages de la diligence = Nom + classe social + remarque : M. et Mme Loiseau : marchands de vin de la Rue Grand-pont .Ancien commis d'un patron ruiné dans les affaires Loiseau avait acheté le fond et fait fortune. Un vrai normand plein de ruse et de jovialité . Loiseau était célèbre pour ses farces bonnes ou mauvaises. Sa femme, grande et forte, était l'ordre et l'arithmétique de la maison. Ils font donc partie de la petite bourgeoisie. ( L'234 à 258 )

allons omettre la fin de celle-ci qui est « (…) mais il y contribue fortement ». Dans le livre de Balzac, celui-ci met en avant un protagoniste nommé Eugène de Rastignac. Ce jeune adulte cherche à entrer dans la « cour des grands », c’est-à-dire la bonne société, l’aristocratie. Cependant, cela ne se fait pas du jour au lendemain et surtout cela ne se fait pas sans risque et sans perte d’argent. Plusieurs éléments sont requis comme la richesse personnelle, la tenue vestimentaire, les relations, les

parisien, modeste rentier retiré au Havre. A une passion pour la mer et la pêche. Homme cupide, peu fin, niai. Léon Maréchal : L’absent, le mort. Fonctionnaire, il n’aimait pas la mer. Plus riche que les Roland. Laisse sa fortune à Jean. Personnage absent mais pourtant personnage clé.D’abord client de la bijouterie familiale puis amant de louise. Louise Roland : La mère de famille. 48 ans. Mère de Pierre vers 18 ans et de Jean cinq ans après. Ancienne

l’opposé même des petites gens, issus de milieux modestes et défavorisés, considérés alors comme des brutes, dépourvus de la moindre intelligence qui traînaient lamentablement au bas de l’échelle sociale. Zweig avait conscience d’être un natif de «bonne famille », très « vieil autrichien », il pensait et jugeait comme le faisait ses parents, adoptant la doctrine de Manès qui admet deux principes fondamentaux : le bien qui représente la lumière, en lutte incessante contre le mal qui est les ténèbres