La Bonne Fortune

mais en tant que statue, quoique non de la même manière, mais l'un comme matière, l'autre comme principe de mouvement. Il y a même des choses qui sont causes l'une de l'autre; par exemple, l'effort cause la bonne forme, et celle-ci cause l'effort, quoique non de la même manière, mais la bonne forme comme fin, l'effort comme principe de mouvement. En outre, la même chose est cause des contraires; en effet, ce qui, lorsque présent, est cause de telle chose, nous le faisons parfois, lorsque absent,

leur offrant tout ce qu'elles désiraient. (Au fur et au mesure de l'histoire et que sa fortune se lapide, il monte dans la pension Vauquier). Son dernier vœu sera de voir ses filles sur son lit de mort. Il ne réalisera pas, ce qu'il le laissera mourir sur l'idée que ses filles ne l'aiment pas. → Voir des pages 126 à 129 dans le livre. Eugène de Rastignac : Jeune provincial âgé de 22ans, sans aucune fortune. Il rêve d'entrer dans la haute société de Paris. Pour arriver à ses fins, il demande de

vautours et les pigeons Ne pas intervenir dans les affaires d'autrui, même pour une bonne cause - Les pigeons Ne pas intervenir dans les affaires d'autrui surtout si on est incompétent - La mouche Savoir se juger avec modestie - vanité de la Mouche Ne pas perdre pied avec le réel à cause de ses rêves ou ambitions - La laitière, la curé Inutile de déployer son énergie à courir après la fortune - L'homme qui court... Les voyages ne servent à rien : autant rester chez soi -

(page 5) l’intérêt documentaire (page 6) l’intérêt psychologique (page 9) l’intérêt philosophique (page 11) la destinée de l’œuvre (page 12) Bonne lecture ! http://www.comptoirlitteraire.com/ 2 Résumé Première partie Jacob, qui ne veut pas dire son nom, paysan devenu M. de La Vallée et retiré à la campagne fortune faite, seigneur du village champenois qui l'a vu naître, prend la plume pour raconter sa vie, évoquer les étapes de son ascension, indiquant : «Le titre que

d'ailleurs prête à tout pour adoucir son sort, à livrer Georges ou Pichegru, si Georges ou Pichegru étaient encore à livrer. Néanmoins, elle est bonne femme au fond, disent les pensionnaires, qui la croient sans fortune en l'entendant geindre et tousser comme eux. Qu'avait été monsieur Vauquer? Elle ne s'expliquait jamais sur le défunt. Comment avait-il perdu sa fortune? Dans les malheurs, répondait-elle. Il s'était mal conduit envers elle, ne lui avait laissé que les yeux pour pleurer, cette maison pour

d'ailleurs prête à tout pour adoucir son sort, à livrer Georges ou Pichegru, si Georges ou Pichegru étaient encore à livrer. Néanmoins, elle est bonne femme au fond, disent les pensionnaires, qui la croient sans fortune en l'entendant geindre et tousser comme eux. Qu'avait été monsieur Vauquer? Elle ne s'expliquait jamais sur le défunt. Comment avait-il perdu sa fortune? Dans les malheurs, répondait-elle. Il s'était mal conduit envers elle, ne lui avait laissé que les yeux pour pleurer, cette maison pour

qu'être comédien permet de gagner de l'argent « Les rentes sont bonnes », « Bonne fortune »: Le théâtre est un bon partis « Plus d'accommodement qu'il n'eût trouvé ches vous » : Comparaisons des 2 situations: le théâtre apporte plus que les terres de pridamant Il tente de la convaincre en utilisant des impératifs: « Cessez de vous en plaindre » Premier vers & « Ne vous plaignez plus de sa bonne fortune » ces deux impératifs se font échos ce qui leur donne plus de valeur. Le 1er impératif

davantage la fable d’Ésope de l’Iliade. De même l’aigle d’Ésope (animal noble, cher à Jupiter) devient un vautour, un animal charognard. * La Fontaine ajoute la mention de la Fortune, se rapprochant par là d’une tradition littéraire qui dénonce les caprices de la Fortune, la déesse du hasard (cf. l’Hymne à la Fortune de Ronsard, lui-même imité des Odes d’Horace). La morale, absente du texte d’Ésope, précise donc le propos de cette fable dont il faut comprendre la valeur symbolique. 3. La valeur

paraître vertueux (ce qui est le principe même des campagnes électorales.) Cette affirmation s'oppose diamétralement à la morale humaniste, contemporaine à Machiavel, qui s'inspirait des moralistes latins tels que Cicéron. Pour ces derniers, une bonne gestion de l'Etat était indissociable d'une conduite vertueuse, conforme à la morale, tandis que selon Machiavel, un Prince ne saurait être prisonnier d'aucun principe hormis celui de réussir. L'exemple le plus parlant retenu par Machiavel est celui

hommes les évitent. Mais notre philosophe, qui sait se partager entre la retraite et le commerce des hommes, est plein d’humanité. C’est le Chrémès de Térence qui sent qu’il est un homme, et que la seule humanité intéresse à la mauvaise ou à la bonne fortune de son voisin. Homo sum, humani a me nihil alienum puto. Il serait inutile de remarquer ici combien le philosophe est jaloux de tout ce qui s’appelle honneur et probité. La société civile est, pour ainsi dire, une divinité pour lui