La Bouche de fer

: Domaine : Arts de l’Espace Thématique : Arts, Etats et pouvoir Présentation de l’œuvre et de l’artiste Titre de l’œuvre : Monument aux morts, le Poilu victorieux (à Beaumesnil dans l’Eure) Nature/genre de l’œuvre : sculpture en fonte de fer bronzé sur socle de béton Artiste : Eugène-Paul BENET (Né à Dieppe en 1863 - Mort à Paris en 1942 ) Date de création : 1920, inauguration le 3 octobre 1920 Fondeur : DURENNE (Société anonyme des établissements métallurgiques), Paris (siège)

d'un rêve est déjà oublié 5 minutes après le réveil. Un éternuement sort de la bouche à 200km/h ! Chaque année 10 milliards de nos baguettes sont produites en France. Le koala dort jusqu'à 22 heures par jours ! Il y a environ 11 % de gauchers en France. Les parents qui ont un nouveau né ont environ 400 à 750 heures de manques de sommeil par ans. Soit entre 15jours et 1mois ! Quand la voie de chemin de fer emprunte de forte pentes, les roues peuvent patiner et perdre leurs adhérence. Pour

poème d’une façon dramatique, en commençant avec un début heureux et le faisant chuter vers un final tragique. Artiste : John Heartfield Titre : Adolf le surhomme avale de l’or et recrache des insanités ou il débite du fer blanc Date : 1932 Technique : Photomontage, collage photographique Dimensions : 33 sur 24,1 cm Lieu d’exposition : Centre Georges Pompidou, Paris Contexte : En 1933, l’Allemagne, soumise, assiste au coup d’état d’Adolf Hitler, qui était depuis

« vengeance », « brandissaient des bâtons », « hérissement des barres de fer » l.19 « couperet de guillotine » l22. « une hache passa »l19. Le peuple a une grande volonté, il semble invincible, il est armé et veut sa vengeance, de plus l’évocation de la guillotine est une référence à la révolution de 1789. Ce champ lexical s’associe à celui du sang avec les mots « rouge » , « charrier du sang » l.30, « saignant comme des bouchers en pleine tuerie »l.31, renforçant l’image de cette masse inquiétante

éducation nouée à la culotte, les gens aux idées bien arrêtées sont des sacs poubelles qui dégueulent à la fin de la journée.- 3- ON CREVE SAINT-LAZARE! Mozart est le seul bulldozer au monde qui me rend calme durant les grèves. 4 - GYMNASTIQUE DE BOUCHES DANS LE WAGON N°1 On oublie l’essence des mots et on se sert que du carburant 5- PANNE DE SIGNALISATION, INCIDENT VOYAGEUR, FUITE DE CATENAIRES, GENS SUR LES VOIES Que les éboueurs soient remplacés par les terroristes, meilleurs nettoyeurs que

texte est extrait de la pièce de théâtre « Kean, désordre ou génie » d'Alexandre Dumas. Au cours de cette magnifique tirade, le comédien Kean apostrophe haut et fort l'aristocrate Lord Mewill après que celui-ci ait refusé de se battre en duel. Par la bouche truculente du comédien, l'auteur évoque le statut de l'acteur en opposant doublement les deux personnages. Mais chez Alexandre Dumas, la critique de la société n'est jamais très loin. Tout oppose l'acteur Kean de l' « honorable » Lord Mewill !

par le rythme binaire des quatrains hétérométriques (octosyllabes-pentasyllabes). b) Célébration  du corps - L’évocation du corps alterne entre la globalisation (« de ton corps, ton corps ») à la parcellisation  (« chevelure », « yeux », « bouche », « dents »). Baudelaire est familier de ce procédé qui tend à « vaporiser » le solide en liquide et le liquide en « éther ». Cela ressemble à une dissolution du corps, une sorte de « spiritualisation ». - Tous les sens sont sollicités : la vue

temps Il s’est relevé pour sauter Pourvu qu’ils me laissent le temps Une abeille de cuivre chaud L’a foudroyé sur l’autre rive Le sang et l’eau se sont mêlés Il avait eu le temps de voir Le temps de boire à ce ruisseau Le temps de porter à sa bouche Deux feuilles gorgées de soleil Le temps d’atteindre l’autre rive Le temps de rire aux assassins Le temps de courir vers la femme Il avait eu le temps de vivre. Boris Vian, Chansons et Poèmes Le Déserteur Monsieur le Président Je vous

son pied. Je me glisse vers la plage, des grains de sable s’agglutinent, se collent à mes chevilles et je trouve ça dégueulasse, tout autant que mes doigts fripés par l’eau et que mes ongles bousillés par le sel. Ça fait pas sérieux. Une barre de fer traîne dans un coin, près d’une ou deux canettes vides, je la ramasse et avance prudemment vers ma victime. L’enculé n’a pas le temps de réagir, je lui abats la barre sur le milieu de la colonne vertébrale, de toutes mes forces. Il se met à beugler

qu’il a perdues à la guerre. Si on regarde son corps on voit qu’il n’est fait que d’os, il n’a pas de peau. Ce personnage a un œil de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage n’a pas de jambe (photo 5), il est posé sur une sorte de socle en fer. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot et l'autre est aussi une prothèse. Sur son veston il porte une croix germanique: signe de ralliement des Allemands. Les mutilations (perte