La Bûche

pousses d'orties, pâte brisée, huile, 6 oeufs, 2 cs de crème fraîche, sel, poivre, une bûche de fromage de chèvre, 100g de fromage râpé (les restes de fromages un peu secs). Faire revenir les orties dans l'huile, ajouter un peu d'eau et laisser mijoter. Bien égoutter et hacher (comme pour les épinards). Garnir un moule à tarte de pâte brisée, répartir le fromage râpé. Réserver 6 ou 8 fines tranches de bûche de chèvre et émietter le reste. Battre les oeufs, salé, poivré, ajouter la crème, les orties

rimes riches et croisées. - À première vue, le poème est divisé en 2 parties majeures, évoquant l’arrivée de l’automne et son influence sur le poète, Avec chant d’automne de Baudelaire ou l’automne s’annonce du fond d’une chambre par le bruit d’une buche qu’on rentre en prévision de l’hiver, la mélancolie de l’automne cède la place l’angoisse de l’hiver et la revole face a la fuite du temps symbolisé par l’écoulement des saisons. Problématiques : Comment le thème de l’automne est-il présenté comme

Jacques n’avait pas lavé le salon car il savait qu’on devait examiner la scène de crime. D’abord une fenêtre était brisée sans doute par une des bûches coupées dans le jardin. Il marcha vers la fenêtre et me trébucha sur quelque chose. C’était bien une bûche. Il y avait des traces de sang qui allait vers la porte. Un coffre était ouvert et vide, il restait que quelques petits billets. Après avoir examiné le salon, il passa par la cuisine et vu un tiroir ouvert. Il y avait des tas de couvert mélangé et

L’assaillant sévit encore pendant plusieurs mois, puis, un jour de décembre, ce fut mon tour et je fus moi-même embarqué, malmené pour finir dans un panier. Les derniers mots que je pus entendre furent : « Chérie ! Je nous réservais cette magnifique buche de chêne que j’ai coupée l’hiver dernier pour Noël ! » De Gabriel Didelot

sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. II me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque

sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. II me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque

le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être : colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ; L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. Il me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque

recrute , s'occupe des achats et assure la sécurité. Puis il emploi des vendeuses qui accueillent les clients . Mais également le boulanger qui produit le pain et le pâtissier qui produit tous se qu'il y a en matière de pâtisserie (pain au chocolat,buche,sandwich...). L'entreprise accueille parfois des stagiaires de 3eme ou au lycée. MES ACTIVITES J'ai fais des sandwich,toute les sorte de sandwich(jambon beurre,poulet crudité,jambon crudité,thon crudité et jambon fromage).j'ai appris a faire

messe de Minuit. Comme son nom l’indique, elle commence à minuit. A cette occasion, des chants chrétiens traditionnels sont chantés. Seulement, la veillé de Noël ne se limite pas à la messe. Toute la famille se réunissait devant la cheminée ou une bûche brûlait. Pour finir, le repas qui rassemblait toute la famille. Il était tout autre qu’aujourd’hui puisqu’il consistait en une simple collation. Il précédait la messe de minuit. Image de la crèche qui est devenu un symbole aujourd'hui

sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. II me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque