La Bête Humaine Personnage

cette rébellion car c’est un fait rare, qu’un peuple entier puisse se libérer ainsi. De plus, il réduit ces condisciples à des « mains nues », ce qui rappelle qu’effectivement, ils n’étaient considérés que comme une main d’œuvre, et non comme des humains. Cela donne aussi une notion de difficulté et de labeur accrue : les mains sont « nues » puis « blessées ». Christophe montre ainsi le lourd poids que son peuple a dû supporter, les pertes endurées pour cette liberté. Il qualifie ensuite cette prise

père le domine, il ne se maîtrise pas, il agit par instinct. Il lui jette des pommes (« bombarder » montre la violence de l’action) il est incapable d’agir avec raison. Mère soutient le père, elle ne prend pas partie pour grégor. Le père devient une bête en furie et on constate une métamorphose du père (« sifflement sauvage »). Il passe d’un homme inactif et fatigué à l’état d’homme violent et en fureur souligne son changement total d’attitude. Du point de vue de Gregor, son père lui fait peur (« regards

La part de l’autre met en scène Adolf Hitler le personnage principal de l’histoire. Celui-ci est dans la vingtaine et vit en Vienne en Autriche. Hitler est un homme assez banal qui n’a pas d'argent et qui a peine à payer son loyer. Il n’est pas vraiment d’écrit lors de la lecture du roman, mais nous pouvons en déduire qu’il est un homme dans la moyenne, aux cheveux noir avec une beauté assez banale à cause des commentaires laissé par certain personnage de l’histoire. Il est plutôt solitaire, car n’ayant

présentative traditionnelle) - Univers carcéral mis en relief par les informations scéniques: chemin de ronde ; une prison ; gardiens (didascalie initiale) ; coups de feu, projecteurs, sirènes (didascalie finale). - Nombreuses allusions des personnages quant aux statuts et à la situation initiale : - La prison côté gardien: il n’y a pas d’évasion ici. La prison est trop moderne ; (lieu) ; moi qui suis gardien depuis six ans ; moi, gardien de prison , incapable de poignarder (la sécurité du

Nous étudierons ceVe probléma4que à travers trois œuvres. Tout d’abord, une œuvre de Franz Ka\a in4tulé Le terrier. Elle a été écrite en 1923 et fut publiée par Max Bord en 1931. Elle décrit les pensées d’une créature mi-homme mi-bête, qui a pour objec4f d’entretenir son terrier représentant un lieu de confiance et de sécurité. Ensuite, le roman de science-fic4on écrit par Robert Silverberg in4tulé L’homme dans le labyrinthe. Il a été publié dans son intégralité en 1969 aux édi4ons

publié en 1833. Cet extrait nous raconte la relation si l'on peut dire de Grandet et Nanon, celle-ci devenue dévouée à lui en tant que servante, sous le surnom de Grande Nanon. De quelle manière Balzac s'attarde t-il par l'intermédiaire de ces personnages sur la dénonciation des rapports sociaux? Dans un premier temps, nous nous pencherons sur le portrait réalisé par Balzac de la servante Nanon, ainsi que celui de Grandet. Puis, dans un second temps, nous étudierons la relation très particulière

qu’est-ce que le naturalisme ? Le naturalisme c’est un mouvement littéraire du 19ème siècle qui s’inspire Dès le début du XIXème siècle, les romanciers se sont placés sous la bannière du "réalisme": ils y prônent les sujets ordinaires, les personnages frustes, l'exactitude de la documentation. Il est donc assez tentant de baptiser "réalistes" des écrivains aussi différents que Balzac, Stendhal ou Flaubert, mais aucun d'eux n'a jamais revendiqué ce titre, d'ailleurs vague et superficiel. Il en

solitude » sont mises en place pour émouvoir le lecteur. Ensuite, il compare facilement la gazelle avec les humains à l'aide de personnification : « semblaient exprimer des pensées humaines », « miracle de la parole ». Il exprime beaucoup le fait que les hommes se retrouvent dans cet animal, le mot « homme » est répété à plusieurs reprises. Enfin, l'auteur nous montre l'attachement du sultan à sa bête en utilisant des expressions de fidélité et de possession : « l'avait toujours auprès de lui », « prenait

Rédaction sur un chevalier Mon personnage passera par les étapes suivantes : -cabane de l’ Hermite -château de l’échiquier -le château invisible -le village des forgerons -le pont infernal -la vallée des géants -le château ensorcelé La mission : -récupérer l’épée en diamant dotée d’une énorme puissance qui peut tuer le monstre qui terrorise le royaume. Le dénouement : -il sera blessé mais recommencer par le titre de meilleur chevalier du royaume Le héros : -le chevalier s’appellera

 » -, nous étudierons le réalisme du passage, puis la dimension symbolique de la description. I. Le réalisme de la scène Cet extrait, qui restitue l’ambiance du cabaret, a une dimension réaliste A. La peinture du monde ouvrier Les personnages appartiennent au milieu populaire : désignés de façon familière : par leur prénom Gervaise, leur métier le zingueur (explicitement évoqué comme ouvrier) , ou un surnom Mes-Bottes ce qui montre la bassesse de leur rang social. Leurs paroles sont