La Chambre des morts

déshabillé les femmes vont directement dans les chambres à gaz en empruntant le « Schlauch » c’est une allée camouflée où les personnes doivent courir pour attendre l’autre côté. Celles qui refusent de courir sont matraquées piquées à coup de baïonnettes. Les chambres à gaz sont étroite sept mètre sur sept avec des pommeaux de douche au centre.il y dix chambre dans le centre. Les SS poussent les femmes à aller dedans où elles seront gazées. Une fois les corps morts, les commandos de travail viennent chercher

parenthèse entre l’ancienne vie physique et le futur statut (extinction, réincarnation, paradis ou autre). Une des demeures de l’Au-delà selon les musulmans s’appelle A'râf, voile entre le paradis et l’enfer, et héberge prophètes, saints, justes, enfants morts avant l’âge de raison, ou bien ceux dont les bonnes et mauvaises actions s’équilibrent ; là, l’existence est dite neutre.[16] Félicité promise aux seuls initiés. Ici, le mort atteint la béatitude, la libération, la réintégration, la fin des réincarnations

Résumé Le 1 septembre 1939, l'Allemagne envahit la Pologne. c'est le début du plus meutrier des conflits de l'histoire de l'humanité: au moins cinquante millions de morts. Désormais, la technique permet les destructions massives (Hiroshima) ou l'assassinat de masse (les camps de concentration). Il est possible de distinguer deux grandes phases dans la guerre: de 1939 à 1942, la guerre-éclair menée par Hitler est un succès. A partir de 1943, le Reich connaît ses premières défaites, avant de capituler

diamètre. 4.400g de masse. 64Kg d'uranium (700g en fission) A Hiroshima 70.000 personnes sont tuées. Beaucoup d'autres mourront des années plus tard des suites des radiations (on évoque un total de 140.000 morts). A Nagasaki 40.000 personnes sont tuées sur le coup (80.000 morts au total selon certaines estimation). 3. La dynamique militaire. Une totalisation de la guerre : frontière civils/militaires Le bombardement massif : la Blitzkrieg(=Guerre Éclair), « faire plier ». Tactique

zones de violence extrême de la 2 GM, URSS en tête avec env. 25M de morts ! = 3.5 M de soldats soviétiques exécutés sommairement par les nazis + 8M de soldats russes morts au combat + 15M de civils russes morts. Cette violence en Europe orientale a aussi permis le déchaînement contre les juifs (cf II B) A cette violence nazie répond : - une violence communiste, qui détruit les élites polonaises lors du massacre de Katyn (4000 morts) et qui , lors de la contre-offensive, ne laissera aucune chance

désigner les quartiers des villes de Pologne et des pays baltes où ont été enfermés les Juifs, ainsi que des Tziganes à partir de 1940) polonais et d’autres régions ainsi que des Tziganes. Les déportés sont presque tous immédiatement tués dans des chambres à gaz puis leur corps sont brûlés dans des crématoires. Seuls quelques hommes sont gardés en vie pour faire fonctionner le camp, avant d’être gazés à leur tour. Les

ajouter un suspens qu’on pourrait qualifier de malsain. = Jusqu’au dernier moment on pense qu’il s’agit d’une chambre à gaz et que ces femmes vont être gazées. Cependant, sur la porte de la chambre des douches, il n’y avait aucun œil de bœuf. Il y en avait par contre sur les portes des chambres à gaz et les nazis s’en servaient pour vérifier que les Juifs gazés étaient bien morts.

d’expliquer comment cet éloge funèbre de la servante se transforme en un requiem macabre sur l’horreur de la mort, un réquisitoire contre les vivants. Enfin, nous verrons, comment Baudelaire transpose discrètement, à travers les reproches que les morts adressent aux vivants, ceux qu’il adresse à sa mère dans ce fragment d’autobiographie poétique. Dans ce poème, il y a plusieurs interlocuteurs comme dans une véritable conversation. Baudelaire s’adresse directement à quelqu’un. Son interlocutrice

tandis que les autres étaient emmenés dans des chambres à gaz, ils étaient entassés et recouverts par les enfants. Sortis morts et pour quelques-uns encore vivants par des Sonderkommandos puis incinérés et ensuite enterrés dans des fosses. Durant l’existence de ce camp d’extermination, il y a eu 876.000 tués dont 845.000 juifs du ghetto de Varsovie et d’autres ghettos polonais, 29.000 juifs d’autres régions d’Europe et 2000 Tziganes. Parmi tous ces morts il y a quand même eu 67 survivants en 1945 

dans des chambres à gaz. On estime que 3 millions de personnes ont trouvé la mort dans ces deux types de camps. [pic] Fosse commune d’un camp de concentration. Conclusion : Le bilan humain est estimé à 5,1 millions pour l’estimation la plus faible et 6 millions est l’estimation retenue par le tribunal de Nuremberg en 1945. On peut répartir ce chiffre en trois catégories : 1. Morts consécutives aux privations, la faim et les maladies dans les ghettos. 2. Morts par fusillades