La Chambre Du Pendu

Histoire tragique et malheureuse de Caroline, 22 ans , abandonnée par ses amis et sa famille. 12 janvier- Aujourd'hui , comme le début de ma peine c'est-à-dire 7 ans , je suis là dans cette chambre blanche , assise sur le lit . Depuis des mois , personne ne me rend visite ni ma famille ni mes anciens amis , car je n'en ai plus , seuls sont les médecins pour me prescrire mes sois-disant calmants . Cet enfer devrait duré encore 3 ans , à moins qu'un événement viendrai perturbé ceci . Je suis

mai 1778 à Paris . *Situer l’artiste et son œuvre dans son époque : -L’artiste: Son origine sociale, son milieu: D’une famille bourgeoise , il est le cinquième enfant et le troisième fils d’un notaire au Châtelet, puis payeur des épices de la Chambre des Comptes. Sa formation et son métier: Voltaire effectue de 1704 à 1711 de brillantes études de rhétorique et de philosophie chez les jésuites du collège Louis Le Grand. On l'y initia à la philosophie, la rhétorique et le théâtre. -Son œuvre :

récit se construit en créant du mystère ; quelle question peut se poser le lecteur ?(/1) ❖ Une fleur est liée à l’épisode …………………………..que lui demande Kelmar( deux choses qui créent une obligation au narrateur ?)(/3) ❖ La cérémonie du pendu ; racontez (/2) ❖ La Zeilenesseniss ; qui est ainsi désignée ?que signifie ce surnom ? pourquoi ?(/2) 3. comment explique-t-il qu’il ait trouvé la force de revenir du camp ?(/1) 4. chapitre 11 : Un Juste : le chapitre est consacré

Zoran Music revient sur le camp de Dachau où il a séjourné de 1943 à 1945. Il grave et peint alors une série intitulée "Nous ne sommes pas les derniers" dont voici des exemples : "Camarades, je suis le dernier", avait crié un détenu, pendu avant la libération du camp d'Auschwitz "Nous ne sommes pas les derniers" lui répond Zoran Music en 1970. Zoran Music, gravures et peintures de la série « Nous ne sommes pas les derniers. », 1970 La tête y exprime la douleur ou l'horreur de

Aussi la « solution finale » organisée et décidée lors de la conférence de Wannsee par des acteurs important du régime nazi, des SS, et de la Gestapo, a décidé du sort de ces millions de personnes mortes dans les Camps d’extermination et les chambres à gaz. Ces victimes étaient des juifs mais aussi des handicapés, des homosexuels, des opposants, des communistes, des tziganes, des slaves ou toutes personnes ne correspondant pas à l’idéal Aryen (issue de l’idéologie nazi) et appartenant aux

sincère, s'exprime maladroitement. Trop de souvenirs les préoccupent, trop de non-dits les séparent, trop d'obstacles les gênent. Après une journée de cérémonies et de festivités épuisantes, les deux époux se retrouvent seuls face à face dans la chambre de Jocaste, pour la première fois. Ils souhaitent ardemment réussir ce moment, attendu par l'une comme une renaissance, par l'autre comme un couronnement et une initiation à l'amour. « Je suis vierge », dit Œdipe à Tirésias. Le devin, en effet, tente

chez Jacques pour écouter son histoire. Le château du baron a été détruit durant la guerre, le baron et son fils ont été tués, tout comme Cunégonde, également violée et éventrée. Il explique ensuite qu'il tient sa maladie de Paquette, la femme de chambre, avec qui il a couché. Pourtant, tout est selon lui toujours pour le mieux dans le meilleur des mondes. Candide, Pangloss et Jacques sont finalement obligés de partir pour Lisbonne. Au cours de ce voyage, Pangloss et Jacques s'opposent sur leurs conceptions

de Montsou Père Victor Deneulin † Fils Mouquet p.89 moulineur p.586 Reçoit une balle dans la bouche p.146 Vielle femme maigre qui leur sert depuis 30 ans p.146 Fille dans la vingtaine, recueillie et élevée dans leur maison, femme de chambre p.146 Cocher Mélanie Honorine Francis Jardiniers p.145 Propriétaires de la Piolaine, à deux km de Montsou Père Léon p.147 60 ans, grands traits honnêtes et bon, cheveux bouclés et blancs Personnel 22 ans p.418 Grande, brune,l'air superbe p.419

joyeuse et l'autre au contraire car elle trouvait qu'elle n'était pas assez aimé puis Mme. Margot compta une histoire qu'elle avait réellement vécu : Elle trouva une femme de chambre elles s'aimait et une complicité ce créa entre eux deux jusqu'au jour où , grâce au commissaire , elle découvrit que cette « femme de chambre » était un homme , un prisonnier condamné pour viol ! Le Père Un employé du ministère , François Tessier , devait prendre tout les jours l'omnibus pour se rendre à son lieu de

temps son propre interlocuteur, son propre destinataire. En effet, le poète se parle à lui-même : « toi, sous ce scaphandre, tu te racontes sans fin, et tu te ressasses ! » Il va même jusqu’à se questionner : « Seras-tu donc toujours un qui garde la chambre ? ». Le « Un qui » ne manque pas de mettre de la distance entre lui et lui et rappelle le « un qui préside » désignant le Val-de-Grâce au vers 8 : Laforgue serait-il déjà un vieux monument ? « Ô sordide limace » peut également être lu comme une apostrophe