La Chambre Sartre

suggéré par le manuel Récit et poésie. On distribue différents textes: ➢ « L’Albatros » de Polydore Bounin. ➢ « Le Saut du Tremplin » de Théodore de Banville. ➢ Histoire extraordinaire de Michel Butor. ➢ Baudelaire de Jean-Paul Sartre. ➢ « Le Pin des Landes » de Théophile Gautier. ➢ « le Pélican » d’Alfred de Musset ➢ « Le Sommeil du Condor » de Leconte de Lisle. ➢ Une biographie de Charles Baudelaire distribuée par le professeur. On divise la classe en différents

l’image d’Anchise à cheval sur Enée qu’il utilise pour les décrire dans Histoire de la littérature française depuis 1789. Plus étonnant et sans doute moins connu - c’est pour cette raison que nous nous plaisons à l’évoquer - l’extrait tiré des Mots où Sartre nous dit que son grand-père, Charles Schweitzer comparait la relation qu’il entretenait avec lui à celle de Flaubert et Maupassant. Et de rapporter le discours du père de sa mère : « Sais-tu ce que faisait Flaubert quand Maupassant était petit ? Il

ne saurait exprimer que ce vide qui se creuse à l’ombre des mots. « Imiter le chinois au cœur limpide et fin « De qui l’extase pure est de peindre la fin « Sur ces tasses de neige à la lune ravie « D’une bizarre fleur qui parfume la vie » - Sartre Qu’est-ce que la litt ? : le poète a choisi »l’attitude poétique qui considère les mots comme des choses et non comme des signes. Mots comme un piège pr attraper une réalité fuyante ; Le langage comme « miroir du monde » entre le mot et la chose

elle est émue parce qu’elle est de père flamand et de mère andalouse. Il faut trouver des raisons pour les esprits rassis de l’époque pour justifier de raconter des quintes de toux. Mme de La Fayette n’aurait pas décrit le mucus du type dans la chambre avec le mort, comme l’aurait fait Hemingway. C’est parce qu’entre elle et Hemingway, il y a eu Balzac et Stendhal et compagnie. Mou du caleçon. Beatrix a des ascendants hispaniques : preuve d’un tempérament de feu. « Si elle eût été normande ou wallonne

lui aussi, le vertige du « grand trou noir ». Et il en a quelque peu voulu à Sartre de l’avoir désillusionné en lui faisant apparaître la négritude, dans Orphée noir, comme un « passage », un « moyen », un « moment négatif », « le temps faible d’une progression dialectique », un « mythe », « un absolu qui se sait transitoire » : n’était-ce pas, justement, retirer au Noir toute possibilité d’y recourir ? Lorsque Sartre écrivait : « ce moment négatif [posé comme valeur antithétique contre l’affirmation

explicable ». De plus, sans réussir à expliquer l'absurde, la possibilité d'expression du personnage absurde connait soit la disparition soit la modification : C'est la crise du langage. Enfin, les auteurs absurdes tels que Samuel Beckett ou Jean-Paul Sartre n'hésitent pas à utiliser des idées philosophiques existentialistes pour construire leurs œuvres. b. Une situation absurde pour un héros absurde L'insaisissable personnage qu'est Joseph K. Joseph K. est un personnage très ambigu

mœurs commis par la voie du livre, exerçable par le Garde des Sceaux à la demande de la Société des gens de lettres. Celle-ci décida, l'année même, de demander la dite révision pour Les Fleurs du Mal, qui fut enfin accordée, le 31 mai 1949, par la Chambre criminelle de la Cour de cassation16,17,18. Regards sur l'œuvre [modifier] Horreur et extase [modifier] Article détaillé : Spleen baudelairien. Baudelaire par Nadar «Tout enfant, j'ai senti dans mon cœur deux sentiments contradictoires :

qu'elle fait l'éloignent de moi. je m'en allai donc à Sainte-Marie, toujours pleurant et toujours mourant. Il me semblait qu'on m'arrachait le coeur et l'âme, et en effet, quelle rude séparation ! je demandai la liberté d'être seule. On me mena dans la chambre de Mme du Housset, on me fit du feu. Agnès me regardait sans me parler ; c'était notre marché. J'y passai jusqu'à cinq heures sans cesser de sangloter ; toutes mes pensées me faisaient mourir. J'écrivis à M. de Grignan, vous pouvez penser sur quel

traduit en français en 1973 alors que ses grands travaux ont été réalisés en 1940. C’est un historien, psychologue et sociologue. II) Sa méthode Il dit en 1982 dans La solitude des mourants : « Nous faisons parti les uns des autres » comme le dit Sartre « Je suis tout un Homme fait de tous les autres ». Il a montré 2 choses : - Nous sommes tous interdépendants : interdépendance

n’épargnent ni les femmes, ni les enfants. La découverte des camps de concentration et d’extermination, la « solution finale » et le génocide des Juifs ont crée un immense choc en 1945. Partout, la science a été utilisée pour tuer : le zyklon B dans les chambres à gaz, les pseudo-expériences scientifiques des camps nazis, la force inouïe de la bombe atomique. Un tel tableau suscite une profonde remise en cause de la vision de l’homme et de la science. De puis Rousseau et les Lumières s’était développée