La Chevelure Mallarmé

(l'angoisse chauve souris, la femme navire, le ciel-couvercle,,,) et oblige le regard à s'y fixer (la charogne) => poésie = peinture, un paysage. Car l'image suggère et organise les «correspondances» ou les sensations associées nommées synesthésies : la chevelure est parfum, le parfum est voyage, le voyage est jouissance...=> effet de glissement soutenu par la mélodie du vers lui-même, dont le dessin rythmique est Invitation au voyage. La mouvance symboliste -contours flous qui tiennent à la doctrine

œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique, de la réalité la plus triviale et qui exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Structure : Les poèmes ne sont pas classés dans l'ordre chronologique de leur écriture, mais selon des principes propres. Les poèmes séparés sont une collection d'instants privilégiés d'une exceptionnelle densité, mais

Le Poème du haschisch  (1858) ; · Salon de 1859  (1859)  ; · Les Paradis artificiels  (1860)  ; · La Chevelure  (1861)  ; · Réflexions sur quelques-uns de mes contemporains  (1861)  ; · Richard Wagner et Tannhäuser à Paris  (1861)  ;

André BRETON, « L’Union libre» Lecture méthodique. L’auteur : voir l’introduction au surréalisme. Il est le chef de file du mouvement, en raison de son autorité et de son originalité : inspiré par Baudelaire, Mallarmé, Lautréamont, Rimbaud et Apollinaire (poètes de la fin XIXème siècle), il cherche les « correspondances » du monde réel, que peuvent seules mettre à jour des techniques comme l’écriture automatique ou le rêve éveillé. Il cherche un nouveau langage poétique, libéré de toutes

Poèmes saturniens sont édités à compte d'auteur grâce à l'argent d’Elisa Moncomble, une réussite auprès des critiques. Mais c'est un échec commercial En1883 il publie dans la revue Lutèce la première série des poètes maudits  concernant Stéphane Mallarmé, Tristan Corbière et Arthur Rimbaud dont il s'attache  à éditer l’œuvre. Cette série confirme sa notoriété. En 1894 Verlaine est couronné « Prince des poètes » et se voit doté une pension. Œuvres : Paul Verlaine a rédigé : Romance sans paroles qui

revue La Jeune Belgique, dont il est l'écrivain le plus doué avec son ami d'enfance Émile Verhaeren, il parvient à organiser en Belgique une tournée de l'écrivain Villiers de l'Isle-Adam. Peu après la mort de celui-ci, il invite son ami Stéphane Mallarmé qui évoque Villiers dans les cercles littéraires belges. Par des conférences, Georges Rodenbach introduit également la pensée pessimiste de Schopenhauer, qui va imprégner une grande partie de son œuvre. Correspondant du Journal de Bruxelles, il

L’auteur : voir l’introduction au surréalisme. Il est le chef de file du mouvement, en raison de son autorité et de son originalité : inspiré par Baudelaire, Mallarmé, Lautréamont, Rimbaud et Apollinaire (poètes de la fin XIXème siècle), il cherche les « correspondances » du monde réel, que peuvent seules mettre à jour des techniques comme l’écriture automatique ou le rêve éveillé. Il cherche un nouveau langage poétique, libéré de toutes contraintes, qui laisse s’exprimer l’inconscient. Oeuvres

clarté, Il brille, le sauvage Été. Mallarmé Tristesse d’été Le soleil, sur la table, ô lutteuse endormie, En l’or de tes cheveux chauffe un bain langoureux Et, consumant l’encens sur ta joue ennemie, Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux. De ce blanc Flamboiement l’immuable accalmie T’a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux, « Nous ne serons jamais une seule momie Sous l’antique désert et les palmiers heureux ! » Mais ta chevelure est une rivière tiède, Où noyer sans

Cécile Sauvage: " Nature, laisse-moi..." Mallarmé : " Les fleurs" Apollinaire: " Les sapins" Sully Prudhomme : "La jacinthe", "l Automne". Francis Jammes : " Quand vient l'automne". Maurice Carême : " Le brouillard". R. M Rilke : " Petite cascade". Alfred de Musset, Poésies nouvelle sA une fleur Chanson d’automne , Paul verlaine Nature, laisse-moi... Le discours de la colombe Ahmed ben yessef Le discours de la colombe Ahmed ben yessef Nature, laisse-moi me mêler à ta fange, 

comme un départ. Stéphane Mallarmé (1842 – 1898) Tristesse d'été Le soleil, sur la table, ô lutteuse endormie,  En l'or de tes cheveux chauffe un bain langoureux  Et, consumant l'encens sur ta joue ennemie,  Il mêle avec les pleurs un breuvage amoureux. De ce blanc Flamboiement l'immuable accalmie  T'a fait dire, attristée, ô mes baisers peureux,  « Nous ne serons jamais une seule momie  Sous l'antique désert et les palmiers heureux! » Mais ta chevelure est une rivière tiède,  Où noyer